Je pense que c'est à ceux qui commentent que le choix revient.
Personnellement si j'aime écrire des choses jolies complètement creuses, c'est mon problème.
Et bienvenue à ceux qui me diront que ça n'a aucune portée, ou ceux qui disserterons sur ce que cela vaut. Je les écouterai, ou pas.
On saisit tous les choses de manières différentes et cela peut donner un débat de plus intéréssant.
Il ne faut pas non plus obliger les commentaires à aborder un certain nombre de points, ça casserait toute spontanéité au commentaire.
Je pense que quand on lit un texte, on sent très bien si il nous a inspiré et qu'on désire faire une analyse plus profonde, ou simplement rester de surface sur l'orthographe, etc.
Personnellement je me sais bien inutile sur tout ce qui concerne ces champs là. En revanche sur le reste je peux déborder.
Bien que, pour la majorité, les auteurs n'en ont rien à cirer.
En tout cas, c'est vrai que les deux facettes du commentaire sont importantes, mais en poésie je n'ai pas à me plaindre, en général les commentaires abordent les deux.