Corwyn a écrit:

Tout ça ne m'explique toujours pas ce que fait le gars sur cette photo de falaise. Je trouve ça vachement tendancieux moi.

c'est juste qu'une grande histoire d'amour!!!

Corwyn a écrit:

Tout ça ne m'explique toujours pas ce que fait le gars sur cette photo de falaise. Je trouve ça vachement tendancieux moi.

T'as jamais fait l'amour à une falaise, toi ?

J'avoue trouver les falaises trop froides et peu réactives, c'est dommage. Sinon c'est vrai que ça peut être sexy.

Bon, je vais peut-être arrêter de poster des conneries pour ce soir. Peut-être. En fait non. On verra.

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cette là je l'adore
toujours la montagne, l'hiver, la neige, les couloirs, la solitude, les espaces, et à donf
mon garçon.

Beau style, dommage que ses bâtons soient un (tout tout tout) petit peu trop écartés.

Ca me rappelle cette saison, tiens, quand j'ai déclenché une coulée...Première fois, ca fait bizarre.

Oui, après le frigo, tu devrais essayer la falaise, Nox, pour voir si tu es vraiment endurant

Ah la neige, ça inspire aussi. Mais quand il fait moins dix d'un autre côté ça m'anesthésie l'esprit

C'est la ville qui m'inspire moi. Les villes sans gens, ou les villes qui ont de très grands espaces (comme Lilles, avec ses rues qui font trente kilomètres de large et des places où il n'y a rien, sauf un truc classe au fond).

Oui, Lille c'est très Kafkaïen je trouve ^^

Nox a écrit:

Beau style, dommage que ses bâtons soient un (tout tout tout) petit peu trop écartés.

Ca me rappelle cette saison, tiens, quand j'ai déclenché une coulée...Première fois, ca fait bizarre.

tiens, toi aussi!! Mes deux gars sont passés et moi, le "gros père" comme ils disent affectueusement, il a tout embarqué!!!
80 mètres à brasser dans le couloir en attendant que ça s'arrête!!!
J'adore la montagne, ça m'inspire

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j'avais 13 ans quand j'ai vu ce tableau pour la première fois
un choc
ça n'était pas un lieu précis mais la représentation de tous ceux que je voulais voir
être là et pouvoir lancer mes regards sur des horizons ouverts
l'altitude, être au-dessus des vallées, dans l'air épuré, exploiter mes forces pour me hisser, que le monde soit une échelle, cette certitude absolue que la Nature était un calice, un écrin sans être une enceinte.
ce sommet au loin était un appel, une aimantation
je redescendrai pour remonter plus loin. Et ça n'aurait pas de fin.
peu importe l'altitude pourvu que je puisse continuer à marcher sur la Terre.
Pas de ville, peu d'hommes, le silence, le ciel, les yeux vers le haut. Toujours vers le haut.

Ah, c'est bien d'apprécier ce tableau, il est vraiment marquant je trouve. Pour moi c'est un peu l'allégorie du mouvement romantique sur une seule toile. Bref, l'est chouette.

Même si ce tableau là n'est pas mon préféré, j'aime beaucoup l'Oeuvre de Friedrich, c'est vraiment une ambiance que j'apprécie particulièrement .

Menear a écrit:

Même si ce tableau là n'est pas mon préféré, j'aime beaucoup l'Oeuvre de Friedrich, c'est vraiment une ambiance que j'apprécie particulièrement .

oups, j'avais oublié de mettre le nom de l'artiste
merci

Corwyn a écrit:

Ah, c'est bien d'apprécier ce tableau, il est vraiment marquant je trouve. Pour moi c'est un peu l'allégorie du mouvement romantique sur une seule toile. Bref, l'est chouette.

C'est exactement comme ça qu'on me l'avait présenté au collège.

Personnellement, il y a des lieux en eux-mêmes qui m'inspirent, mais il y a surtout des lieux où j'aimerais revenir écrire. Pour écrire sur un sujet, peut importe, mais pour écrire Là.

Par exemple, le Vallon des brumes et le Chemin des fers sauvages, dans les jardins du château de Chaumont-sur-Loire. Je leur trouve quelque chose de fascinant, de calme et de dépaysant... J'essaierai de retrouver des photos.

Le Portugal en entier est un lieu de pure inspiration pour moi. En particulier le palais de Pena sur sa montagne (photo prise de ma fenètre):



Lisbonne, mais surtout les transports public de Lisbonne (j'adore le train) :



Toute la ville de Sintra:



Et en fait, tout le pays, sauf peut-être Fatima ou la ferveur religieuse trop intense me déstabilise et décrébilise tout effort d'imagination.

Étrangement aussi, je me découvre un fibre inspirationnelle à Montréal (ce que je n'aurais jamais cru possible, photo pas de moi) :