Moi quand j'ai dit Gallimard c'était un exemple bateau pour "Grande maison d'édition". C'est comme quand on dit "Carrefour" pour "Supermarché" alors que techniquement, il y a plus d'intermarchés que de carrefours sur le territoire.

Oui, mais ce qu'ont dit en premier, hein? Tant fait pas c'est rien...

Je sais pas si tu as déjà accepté leur offre mais sache que c'est une vraie arnaque. Ils te publient quaziment à tes frais, ils corrigent le style et l'orthographe contre monaie sonnante? La belle affaire, un traitement de texte word et une lecture et le tour est joué. Tu vas te retrouver avec un stock d'invendable. Si ton bouquin vaut vraiment le coup, si c'est le chef d oeuvre de l'année, tu n'auras rien a débourser, ne t'inquiète pas pour ça.

Pour ce qui est de l'embouteillage des maisons d'édition, je n'y crois pas. Pas plus qu'aux pistons! Ils publient s'ils sont certains que ça se vend, c'est clair, mais si t'es original et génial, t'inquiète pas, faut pas être le fils à Sarko pour être publié.
En résumé, c'est quand même chez les grosse maison d'édition qu'on trouve les plus nombreux chef d'oeuvres. Et une maison d'édition investira toujours dans ce qui risque de lui rapporter. Autrement dit, oui au best seller, ce qui ne veut pas dire commercial dans le sens où on peut l'entendre pour la musique par exemple.
En bref, ne faites pas confiance à ces pseudo maison d'édition qui vous presseront comme des citrons pas mûrs.

Etre publié dans une bonne maison est davantage qu'une question de chance. C'est une affaire de talent et d'originalité et un tas d'autres ingrédients que je ne connais pas, sinon je serais déjà publié moi-même.
A mon avis ça coutera bien moins cher d'aller dans une imprimerie, de faire une vingtaine d'exemplaires que tu pourras distribuer autour de toi (famille, amis et ton propre exemplaire en bibliothèque).

Sinon je suis producteur de chanteurs, il suffit de me payer 2500 par mois de travail plus les coûts des différentes locations de studio et autre matériel. Après, l'artiste se charge lui-même de la distribution et si ça marche je prend 85%. Des gens intéressés? N'hésitez pas, même si vous ne savez pas chanter, on arrangera tout ça avec Sonnoshop

De toute façon la question ne se pose plus car j'ai décidé de ne pas leur renvoyer leur contrat, mais je tiens à préciser que je n'aurai pas hésité et j'aurai dit non aussitôt si je devais payer !!

Or là, le contrat précisait bien que la maison d'édition prenait en charge tous les frais de publication (basique, certes) et de distribution. Je n'allais pas me retrouver avec un carton dans mon garage, c'était eux qui se chargeaient de la promotion et de la distribution.

Si je n'ai pas accepté, c'est parce que leur système de distribution est limité à mon avis, et parce que, en effet, il y a des services payants, certes pas obligatoires ou essentiels, mais presque.

T'as bien fait de dire non quoiqu'il arrive
Pour ce qui est de leur méthode de diffusion, faut vois ça dans le détails. Pareil pour la distribution. En général, ils se contentent d'imprimer le nombre commandé et de les livrer (normal, tu vas pas le faire à leur place sur ta trotinette).
Bref, il faut rester méfiant vis-à-vis de ces pratiques.
Je vois mal une grosse maison ne pas éditer un best seller potentiel si l'auteur ne veut pas payer pour la correction de sa mise en page par exemple. C'est surement pour ça que ces maisons d'édition ne font rien payer à leurs auteurs(?).
ok ok je sors => []

En tout cas, en voila une qui ne croit qu'au piston :
http://wrath.typepad.com/wrath/le_milieu_hostile_de_ldition/index.html
A ne pas lire si vous avez un manuscrit prêt à partir ;-)

Bonjour

Mon roman avait été accepté par le comité de lecture de personnes expérimentées d'une maison d'édition assez connue mais qui a été mise en liquidation judiciaire avant que mon livre ne sorte. Je l' ai alors proposé à Edilivre et le "comité de lecture" d'Edilivre n'a pas jugé utile de le publier dans les coups de cœur.... J’ai entendu dire sur les forums qu’Edilivre faisait lire ses romans par des stagiaires, et j’en ai eu la confirmation en découvrant par hasard une offre d’emploi provenant d’Edilivre et recherchant _ justement _ un stagiaire pour son comité de lecture. Cela laisse à réfléchir…

Je dis qui n'a même pas lu le livre car mon livre, un roman policier, à été classé dans les romans d'aventure, et les mots clefs proposés pour le situer on été empruntés aux premières pages et ne traduisaient pas du tout le contenu. Ne parlons pas de la mise en page réalisée sans tenir compte du texte, ce qui donnait un résultat bâclé et, disons le mot, une mise en page « dégueulasse ».

Soit disant leur équipe y travaillait depuis trois ou quatre semaines. Du vent ! Il a fallu que je m’énerve pour recevoir le fichier original avec les paramètres de mise en page (qu’ils ont, selon leurs dires, exceptionnellement bien voulu m’envoyer), et j’ai pu faire alors une mise en page (300 pages environs) très correcte en 2 h chrono. En fait, à aucun moment la personne qui faisait la mise en page n’est descendu au-delà de la quatrième ou cinquième page pour se rendre compte ce que son « travail » donnait…( !) Aucun souci du contenu du livre en fait.

Pour ce qui est de la couverture, vous fournissez les photographies et 100 euros vous sont demandés pour les frais de l’infographiste, et les délais sont encore de plusieurs semaines. J’ai dit que je pouvait la faire moi-même mais il m’a été répondu qu’il s’agissait d’une option payante. Du vent ! J’ai donc payé mais j’ai reçu une couverture où la photographie de la page de garde était minuscule. Je me suis mis à la faire de mon côté avec Photoshop 7.0, cela m’a prit 15 minutes chronos, et je leur ai envoyé le modèle… Ils m’ont alors pompeusement répondu une semaine après qu’ils avaient terminé et m’ont proposé une page de couverture quasi identique à celle que je leur avais composé..( !) En fait, leur offre de couverture est donc uniquement une manœuvre mercantile pour soutirer de l’argent aux auteurs.

J’ai voulu amélioré mon roman en proposant des modifications minimes juste deux jours après sortie sur site, et sur mes vingt à trente méls je n’ai reçu aucune réponse alors qu’il leur suffisait de faire un copié-collé puisque j’avais le fichier original. Donc, il n’y a rien de fait pour améliorer votre livre, ou alors, il faut l’obtenir de haute lutte en s’énervant beaucoup…

En bref, le suivi est quasi inexistant et votre livre n’est pas considéré comme tel mais reste un produit d’appel qui garnira leurs statistiques ; compte surtout, à leurs yeux, le nombre de livres arborés sur le site internet d’Edilivre.

Publier à Edilivre n’a même pas l’intérêt de protéger gratuitement son manuscrit par l’attribution d’un n° ISBN et par un dépôt légal la BN. En effet, n’importe qui peut se pourvoir de numéros ISBN, il suffit simplement d'en faire la demande, c'est totalement gratuit. De même, il est possible de déposer soi-même son livre à la BN, mais à partir cependant du moment où il en existe cent tirages. Donc, le dépôt proposé par Edilivre reste pour cetted ernière et seule raison intéressant.

Mais à par cela, votre manuscrit ne sera jamais mis en valeur, il sera noyé dans la multitude et si vous voulez qu’il soit connu, cherchez vite un autre moyen.

C'est pas étonnant, c'est un peu ce qui se passe à chaque fois lorsqu'on choisit un éditeur à compte d'auteur ou l'auto-édition.


PS : il faut que tu ailles te présenter dans la section appropriée.

Tout ce qui n'est pas maison d'édition mais qui se réfère à un contrat "participatif" est de la daube. Aucune promotion, les libraires ne veulent pas encombrer leurs gondoles avec ça, aucun journaliste, aucune revue, même pas les blogs sérieux, personne n'en veut, c'est juste bon à les filer à ses propres connaissances après avoir payé soi-même les bouquins une fois que tu as filé le tout petit stock qu'ils vont te donner, aucun salon du livre ne t'invite parce qu'ils ne veulent pas casser leur réputation et les auteurs réellement édités ne veulent pas être accolés à ce type "d'édition"...D'ailleurs le fait qu'ils répondent au bout de trois semaines est déjà une preuve qu'ils se contrefichent de la qualité du bouquin, ils veulent juste de la thune.
C'est pas de l'à-priori, c'est du vécu...
Vaut mieux aller voir les petites maisons régionales. Ce sont des passionnés et ils ont une haute estime de la littérature, ce sont bien entendu des commerçants, faut pas les voir comme des mécènes mais au moins quand ils s'engagent c'est qu'ils savent qu'il y a de la qualité.
Laura Mare éditions par exemple. Quelqu'un de très bien.

Invité a écrit:

En tout cas, en voila une qui ne croit qu'au piston :
http://wrath.typepad.com/wrath/le_milieu_hostile_de_ldition/index.html
A ne pas lire si vous avez un manuscrit prêt à partir ;-)

En effet, très pessimiste

Moi vous pensez que vu mon age il seront étonne et diront oui?

tu ne peux pas percevoir tes droits d'auteur en tant que mineur sans l'intervention des parents, tu y as pensé ? ils t'aideront à te renseigner sur le sujet, car ils seront els premiers à ne pas vouloir te voir subir une arnaque.

Moi, j'ai fait un texte, je l'ai envoyé et ils l'ont acceptés!
J'ai envoyer le contrat!Et puis tu aurait pu te dire que tu n'as rien a perdre!

Mmh c'est ce qu'on appelle ressortir un vieux sujet... C'est sur édilivre, toi aussi ? (et si, il y a des choses à perdre)

Je ne sais pas où tu as envoyé, mais il y a une arnaque derrière.