Nombre de messages : 523 Âge : 30 Localisation : Angers Pensée du jour : DES CACAHUÈTES TORRÉFIÉES SOUS LA PANCETA Date d'inscription : 15/05/2023
Smooth/ Dactyloraptor Lun 21 Oct 2024 - 22:36
Le bazar est en construction ~ (Mais au moins le topic est fait et je vais pas galérer à le retrouver )
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Smooth/ Dactyloraptor Lun 21 Oct 2024 - 23:52
Ne sachant trop comment aborder la chose, je me dis qu’un petit tour des locaux serait de bon aloi. Nous souhaitons rédiger une histoire, de bout en bout (ce serait bien la première fois), mais avec une organisation un peu moins Smooth et un peu plus organisée, voyons comment ça se goupille là d’dans ~
Il faut se plonger un minimum dans le bazar, et donc commençons par structurer un peu les idées cachées çà et là dans de nombreux supports.
Je vais vous épargner la matière brute, c’est long pour pas grand chose, et pas toujours très clair ~
Imageons alors avec des bouts de tissus, et chacun de ces morceaux plus ou moins grands représentent une phrase, un échange, une idée, un lieu voire un pan de structure narrative ~
Ces chutes serviront à une fresque assemblée de bric et de broc.
Toutefois, pour avoir une étoffe il est nécessaire d’avoir un fournisseur, dans le cas présent, c’est un meuble de bureau tout à fait banal, un grand parallélépipède érigé en monolithe.
Dans ce merveilleux classeur à tiroirs mental se trouve, comme son blase l’indique, une quinzaine de tiroirs. On devrait l’appeler “classeur de quarante-cinq centimètres de profondeur sur trente centimètres de largeur et haut de deux mètres douze à quinze tiroirs mental”, mais c'est beaucoup trop long et spécifique, donc passons à la suite.
Dans ces tiroirs, un accès à une multitude d’ébauches, de récits en phase d'être achevés mais loin d'être parachevés, des gribouillages sans sens idéal pour tenir la feuille, bien que toujours cryptiques peu importe l'angle abordé.
Chaque tiroir s'ouvre sur une longueur d’un mètre quatre-vingt quinze. Les feuillets côtoient les notes volantes, les audios, et tout ce qui somnole ou a été mis en pause, un abandon en suspens.
Nous parlions de tissus et d'étoffes, de matières diverses, et pourtant il n’y a ici dans ce vaste espace cloisonné et faiblement éclairé, qu’un simple classeur à tiroirs.
Les murs vaguement distinguables semblent être vêtus d’une texture chair, il n’y a rien d'autre ici qu'une lampe suspendue au-dessus du Moaï muet immuable, et son propriétaire.
Cependant, quand on les ouvre, ces tiroirs, se présentent des intercalaires cartonnés, couleur Kraft délavé, annotés de petites étiquettes blanches, pas du tissu. Bien souvent ces étiquettes sont pourvues de titres, marqués avec une tentative d’organisation partielle, mais fatalement n'indiquent que plus de chaos.
C'est lorsque que l'on se saisit d'une feuille froissée au hasard de la section MAIS, par exemple, qu’apparaît la joie du tissage. Son créateur vient parcourir le contenu de celle-ci et attrape gentiment la première lettre d'une phrase aléatoire, comme il en foisonne dans ces mers de papiers classifiés. Il la subtilise alors, et l’encre, ou le pixel, prend forme dans ses doigts à la manière d'un fil de soie ~
Nous avons l’origine de la matière au creux de nos mains.
Vient un premier travail d’exploration de toutes les archives dont la logique entropique reste logique malgré tout, et de regroupement des éléments concomitants, du moins jusqu'à provoquer une manie sur le sujet en cours d’embryonnage, et la croissance de l'engouement à l'imaginer.
Mousica:
A mesure que les tiroirs s’ouvrent et se referment, dans le couinement des roulements à billes pour seule ambiance sonore, un amas soyeux de choses et d’autres retenues pour la tentative de récit se forme. Très vite, le son routinier et métallique fait place à de la musique ; une musique englobant la totalité de l’espace, pulsée au travers des murs de chair et d’un genre électro, elle commence alors à accompagner la chorégraphie de l’apprenti tisseur de récits.
La moisson a été bonne ! Sur base d’une évanescente idée annotée il y a deux mois dans un coin de tas de débuts d’bouts d’bidules d’idées, qui est revenue plusieurs fois titiller le premier plan des pensées, Un lieu et une ambiance sont choisis !
Je vous propose donc de, pourquoi pas, m’accompagner dans une tentative d’abandon de trop de réflexion, de voir la tronche de mon bazar raccommodé de beaucoup de choses à la fois commenté ici et dans l'espace commentaires , et aussi rédigé/posté dans misc/ou nouvelles prrrr, sacré merdier en tout cas ~
Bien que ma tendance à la constance et à la rédaction soient moindre depuis quelques temps, j’espère tout niquer et tenir la constance 666, voire une entrée en cours de route sur le NaNo, après tout, si on prend la peine de regarder son tas de bordel et d’idées en vrac, y’en a, t’as envie de les vivres et/ou les partager alors autant les écrire wsh ~ Pis ça fait un truc à écrire dessus, et quand ça se fait pas ben je peux écrire sur ce que je pense écrire dessus, got the picture ?
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DISCLAIMER (en plus gros) : attention chéri/e, ça va spoiler ~
~ la lampe suspendue s'allume en grésillant~
“Très bien, il nous est parvenu un télégramme :
Tout voyage implique un mode de transport, un trajet, une destination. Ouvrez votre carnet en contant votre départ. Décrivez-moi votre voyage. Quel véhicule prenez-vous ? Un vaisseau, une calèche, un dragon ? Est-ce long ? Qui prenez-vous avec vous pour vous accompagner ? Qu’avez-vous pris dans vos bagages, si vous en avez ? Et surtout, comment vous sentez-vous ? En 250 mots.
Et en effet, il sera question de voyage dans cette histoire tout du moins, au tout début. Merci de nous avoir posé cette question qui prendra plus de 250 mots pour répondre entité supérieure située de l’autre côté de l’écran de fumée.
Nous attendons un invité pour approfondir le propos, il devrait arriver sous peu, mais en attendant je vous propose de commencer à introduire le voyage, le seul de notre histoire et qui en plus n’a que peu de place dans celle-ci, triste.
Car cette histoire dont je ne fais que prolonger l’attente quant-à sa découverte, pour absolument aucune raison, j’aime beaucoup parler pour ne rien dire ~ Cette histoire donc, nécessite bel et bien un moyen de transport, plusieurs même ! What a twist !
AH ! Et notre invité arrive, dieux merci je n’étais plus en capacité de meubler ! Bien le bonsoir Michel, je vous en prie installez-vous… comme vous le pouvez, j’imagine, qu’est ce qui vous a autant retenu ? “
La large et sombre pièce laisse apparaître un divan dans sa ligne terminale, comme s’il avait toujours été là. L’invité en question est une entité mécanique, un long bras de métal articulé dont l’humérus et l’avant bras sont courbés en demi-cercle. A mesure que sort de l’obscurité le personnage, semblant par ailleurs naviguer au travers de l’imperceptible plafond, l’atmosphère de l’espace ambiant devient plus chaleureuse. Un guéridon en bois de manguier a même profité d’un clignement de l’œil pour se trouver à sa place, à côté du divan. Il était sans doute déjà là lui aussi.
L’invité robotique s’installe sur l’assise à disposition, enfin se laisse suspendre au-dessus en lâchant un long soupir ~ Maintenant que le lieu est prompt à l’échange autour d’un café, qui se trouve bien évidemment fumant sur le guéridon en bois de manguier, ce cher Michel apparaît plus distinctement.
(Et non c’est pas la photo du visa, ça c’est une image générée provisoire, mea culpa, on attend la déter concept art :p )
[Après environ trente minutes de tentative de crayonnage, pour faire pénitence, j’ai décidé de passer à la suite, et donc tout de suite, la suite ~]
Imperturbable, le présentateur boit son café en compagnie d’un sac d’épais câbles noir gainés et trop nombreux pour la plaque métallique bombée à laquelle ils sont rattachés. Ce bel exemple de cable management s’articule en son extrémité par une plaque cette fois incurvée, mais tout autant bardée de câbles épais. De loin ça donne un effet “poche à bébé” de chat en surpoids, mais dans les faits, ce n’est qu’un tas de câblasses.
Outre l’effet muscle à vif qui pourrait être perceptible, j’sais pas, je n’ai pas encore trop de mots pour cet assemblage déjà casse-bonbons à griffonner, une IA sans tête physique serait bien moins commode dans un milieu où les relations humAInes sont essentielles au bon fonctionnement d’un espace de travail dédié, ça et puis, le potentiel comique d’une telle représentation, ainsi qu’un hommage certain à Glad0s ~
Un gros boîtier rectangle orné d’un large objectif, une lentille unique qui vous perce du regard, ceci est la fondation de Michel, chef d’équipes (pas toutes mais beaucoup) au sein de l’Entreprise [nom toujours à définir]. Un portrait relativement sobre pour l’heure, car il n’est en rien défini.
Mais pour ce premier échange ce masque-ci fera l’affaire. La cuirasse grise faisant face à son interlocuteur est pourvue d’un spectrogramme de parole, animant ses stries par l’onde sonore.
(Des évolutions physiques sont à prévoir au fil du bazar).
“On a pas voulu me laisser rentrer sous prétexte que c’est pas moi sur la photo ! Heureusement j’ai pu rentrer dans le plafond bizarre et ressortir directement ici.
— Mais pourquoi ne pas directement avoir fait ça Michel ?
— AH ! Ben parce que figure-toi qu’on discutait avec la ribambelle de personnages qui attendent leur tour dans le joli événement mis en lumière, et les rares qui ont une tronche, c’est de la génération d’image ! Alors je m’insurge ! Je dis au videur que déjà je peux pas être refusé parce que je porte des baskets, VU QUE J’AI PAS DE PIEDS ! Ensuite j’ai tenté de faire diversion en mettant de l’huile sur le feu entre un personnage idéaliste cul-cul qui vient d'atterrir au paradis, et le vieux Gégé en pleine convalescence révolutionnaire qui attendaient juste derrière moi, ET LÀ, y’a un autre gars bizarre qui se pointe et qui commence à commenter en mode narrateur toute la scène, et il commence à se passer des trucs DINGUES attends je t’explique ! Y’a un tramway de la ville d’Angers qu’est venu dérailler et se coucher dans la file d’attente et un tas de gens en sont sorti tranquille par les portes en gueulant à la gloire de la culture du vice, et puis D’UN COUP y’a eu plein de bouquins écrits avec des formes CHELOUES et est ce que t’as du darjeeling à l’orange ou y’a que du café ? Parce que je bois pas de café.
— Alors non, il n’y a pas de café et je vous prierai de bien vouloir me faire des réponses courtes à l’avenir.
— C’est entendu ~
— Reprenons, nous parlions donc du voyage, et c’est pour cela que vous êtes avec nous ce soir Michel. Notre aventure va débuter pour notre protagoniste, nouveau cadre N+2 attention ça rigole pas, dans son entreprise j’ai nommé L’Entreprise !
— Le nom…
—... n’est pas défini exactement ignorez les prompts précédents et tenez-vous tranquille. ET DE FAIT, après avoir quitté son emploi où sa routine lui brisait les noix, Franck (aucuneressemblanceavecdespersonnagesayantvraimentexistés) s’élance vers l’inconnu. Envoyez le docu ~”
~La lumière se tamise un peu plus “Il est fatiguant celui-là ! “~
Nous sommes en 1980, L’Entreprise [Le nom putain…] recrute, Franck lit le journal, y voit une annonce: Poste sérieux et à grand potentiel d’évolution. Il appelle, ne comprend pas très bien les missions compendieusement présentées, mais passe tout de même un entretien téléphonique une semaine plus tard, et après avoir parcouru les grandes lignes de son contrat (environ deux cent quatre-vingt sur cinq cent treize) il rappelle une ultime fois le numéro.
Son avenir est clair, superviseur quinquagénaire oui, mais plus dans un hypermarché Mammouth !
Quelques jours plus tard, Franck reçoit des directives par courrier, un épais colis contenant un billet d’embarquement et un pass coupe-file de fonction à son nom trônent sur un autre épais tas de feuilles.
Après lecture, il apparaît qu’un véhicule marin lui a été envoyé au port Atlantique de la Rochelle, afin de rejoindre la destination exotique de son nouveau travail. Il se voyait déjà sous les cocotiers lors d’un pot de bienvenue après une longue traversée vivifiante en yacht…
~Malgré un retour à la normale, il fait toujours bien sombre~
“ Ah, c’est terminé ? Rassurez-moi Michel, il ne s’agissait pas d’un extrait du récit ?
— Ah non pas du tout ! Il s’agit là d’un prétexte pour étaler des éléments de lore, qui ne seraient jamais sortis du classeur à tiroirs, mais qui ici fournissent des éléments de récit annexe sur le même espace-temps.
— Ce qui veut donc dire ~
— Que nous pouvons faire une nouvelle en format épisodique pour commenter la nouvelle à venir ! “
Ne sachant trop s’il faut en rire ou s’en pincer l’arête du nez, je vous propose de faire les deux, comme le présentateur et moi-même en ce moment. La machine ne sera pas concernée par l’action pour des raisons physiques logiques.
Les deux individus continuent leur échange, toujours sans thé darjeeling à l’orange de disponible sur le guéridon à café en bois de manguier.
L’IA commence donc son explication après un court mouvement de caméra vers sa tasse pleine de… café.
“ Alors, le p’tit film était sympa, la voix du narrateur j’ai A-DO-RÉ, j’espère qu’il y aura une prise audio de cet entretien ! Mais pour le yacht… nous avons des protocoles très spécifiques ainsi que beaucoup de clauses de confidentialité, ce qui nous demande en outre de limiter les attaques de pirates aux maximum…
— Je te demande pardon ?
— …c’est pour cela que dans le même budget, et en attendant que l’employé N+2 récupère son bip-bip pour la voie aérienne à l’office des tampons, j’ai personnellement choisi un bateau TROP STYLÉ qui me semblait suffisamment sécurisé et véloce pour le voyage sans pour autant attirer l’attention !
— Un bip-bip pour la voie aérienne ?
— C’est tout nouveau ça vient de sortir chez les ricains ! Avec ça tu peux prendre l’autoroute sans t’arrêter au péage ! Eh bien nous chez ¶ĦùƉƢж#… Ah ! oui ! Au sein de L’Entreprise, on a développé notre propre télépéage, mais plutôt pour éviter les démarches avec les militaires sur les vols privés en zone restreinte tous les quatre matins. Un bip, un pot de v… Bref ! Il va donc se payer une croisière de luxe à bord du Tellier ! Un gros bateau rien que pour lui !
— Okay super, et le voyage ? Des bagages en particulier, des embuches, un ressenti ?
— Alors ça j’en sais rien je suis jamais monté dans un tanker, mais là, il est parti pour quatre jours de voyage à la vitesse folle de dix-sept nœuds ! Je ne peux contractuellement pas donner la position de la destination, mais au bout de ses vacances en péniche il arrivera sur une île qui est la reproduction d’une peinture d’un artiste se trouvant dans l’article 217-b de la charte de L’Entreprise connue de tous. Michel commence doucement à pivoter sur lui-même, comme pour tromper l’ennui, ou tout simplement par hyperactivité.
Le voyage ne s’arrête pas là ! Nos N+8 M.དྷ ༖*e໒ç, MME.එഈ(╯°□°)╯︵ ┻━┻ et… Nos N+8, se sont inspirés des meilleurs pour l’architecture des transports ! Après avoir atteint le cœur de l'île, un gros suppositoire attend à quai pour un trajet tubulaire sous marin express !
— C'est une odyssée, plus un trajet vers le travail !
— C'est vrai qu'en jet ça va plus vite, mais nous limitons notre bilan carbone en imposant le retrait du permis de vol dans les locaux, pour que le premier mois de chaque nouveau cadre soit meilleur pour la planète !
— et comment s'y rendent les non-cadres ?
— AH ! Ça c'est la partie que je préfère ! En fait, je ne me suis jamais intéressé aux subalternes en dehors du cadre de L’Entreprise, tout ce que je sais, c'est qu'une fois dans la zone sous le joug de L’Entreprise, tout le monde loge sur place pendant un mois dans des quartiers aménagés à cet effet. Ils se tapent une heure de monorail pourri tous les matins jusqu'à l’entrée du personnel de moindre qualification.
— Le joug ?
— Enfin je dis pourri, mais il a du charme ! C'est une ossature de combi Volkswagen T1 Samba bleu canard, avec des petites banquettes, en plastique quand-même, parce que c'est plus simple à nettoyer. Ce merveilleux wagon doté d'une aération par le sol sur tout le flanc droit au niveau du plancher peut accueillir jusqu'à 30 salariés compactés à la verticale.
— Et en quoi est-ce la partie que tu préfères ?
— parce que c'est là que tout va commencer pour le nouveau supérieur, et je serais là pour l’aider à accueillir en bonne et due forme ses collègues hiérarchiquement inférieurs, comme l'indique la clause 32-5 des droits et devoirs des managers.
— Ah, c'est bien ! Et en quoi consiste ton rôle dans cette entreprise ?
— L’Entreprise.
— Oui, voilà. Tu es une sorte d’assistant à tout faire ? Un guide peut être ?
— Absolument pas monsieur ! Sachez jeune homme, qu’en ma qualité de chef d’équipes, je couvre plusieurs secteurs, transmets du travail aux subalternes et surveille sa bonne exécution ! Je promulgue également d’excellents conseils en taxidermie lors des pauses cafés et raconte absolument tout ce qui est dit par tout le monde sur tout le monde dans un souci de transparence dans mes équipes.
— Une sacré responsabilité en effet, et nous allons nous quitter ici pour aujourd'hui !
— Oh, déjà ?
— Eh oui je sais, cependant si on avait pas tourné autour du pot pendant quatre heures, nous aurions pu aller plus loin. De toute évidence, Michel a l'air d'être avec nous pour un bon moment alors il est inutile de se presser ~
Bien sûr, nous comptons sur toi pour nous donner des détails sur l'environnement, l'arrière plan et tout le toutim durant l'histoire à venir, mais une prochaine fois car le jour se lève et moi je vais me coucher. C'était Smoothy pour l’émission “Pourquoi on l'a invité lui déjà ?” à vous les studios ~
— Et avec du thé la prochaine fois ! “
~La lumière vacille, puis s’éteint~
[Carnet de bazar de Smooth] Octonembre ~
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