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 Jusqu' où peut-on pousser les scènes violentes/choquantes

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Jusqu'où peut-on aller avec les scènes violentes/explicites
Il n'y a pas de limite tant que cela renforce l'intrigue ou une thématique
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ça dépend, tant que c'est pas trop violent/choquant ça ne me gêne pas
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Peu importe la raison, nul ne devrait écrire ce genre de chose
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josephcurwan
   
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josephcurwan  /  Effleure du mal


vraiment pas fan de l'ultra violence / gore / trash en littérature, et encore moins au ciné.

mais j'apprécie hubert selby (Last exit to Brookline, Le démon),

tout en ayant jamais osé lire La geôle, qui est parait-il son livre le plus dérangeant.
 
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Oui moi aussi quand je regarde un film ou bien une série, l'ultra violence me dérange, certains films qui en font d'ailleurs leur thème principal sont trop dérangeant pour moi.
Cependant en littérature je ressent beaucoup moins que ça, j'entends un peu tout le monde dire que vu que tu imagine tes propres images, un livre peut se révéler être bien plus dérangeant qu'un film. Amateur d'horreur, j'ai lu le chef d'oeuvre qu'est ça de stephen king et regardé le film de 2017. Franchement la version cinématographique était je trouve bien plus dérangeante que le livre qui restait gérable.
 
josephcurwan
   
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josephcurwan  /  Effleure du mal


jamais rien lu de stephen king, mais j'ai vu une adaptation de "ça" au ciné vers 1990.

c'était assez éprouvant.
 
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Ah oui la première, elle faisait peur à l'époque mais de nos jours, je trouve, avec les films comme ça de 2017, les conjuring, etc les vieux films qui terrifiaient avant ne font plus du tout peur maintenant mais il faut dire que le film à un certain charme, c'est certain. Enfin bref...
 
Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


Pour rester sur la comparaison avec les films :
La série SAW est absolument monstrueuse et assumée en ce sens. Les films annoncent la couleur et les gens qui vont voir les films savent ce qu'ils vont voir. On ne peut pas lui reprocher d'être trop gore, c'est clairement son but.

Par contre une scène de mutilation à la scie dans un film vendu comme une fresque épique, (allez, le Seigneur des Anneaux) peut déranger et être considérée comme excessive / inappropriée. Entendre hurler hors-champ suffirait sans doute.

Je n'ai pas été dérangée par des scènes très gores dans Stephen King, parce que ça faisait partie du cahier des charges ; mais j'ai jeté contre le mur "my absolute darling" vendu comme un roman grand public parlant de l'émancipation d'une adolescente à travers l'amitié et la nature.

Spoiler sur ce dernier
Spoiler:

Enfin voilà, ça dépend ce que tu veux raconter et à quel public tu adresses ton livre.
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C'est ça, d'ailleurs les Saw que tu as cité sont en effet un très bon exemple, c'est ultra gore même si je ne vois pas la morale/fait que l'auteur veut dénoncer ( oui l'impact de la la société sur un homme qui a tout perdu, patati, patata, c'est pas très subtil) cependant si on va voir un de ces films, on sait à quoi s'attendre.

Sur un des autres exemples que tu as également nommé, je trouve ça déplacé de vendre quelque chose en faisant c'est un truc de tranche de vie, cool et tout et d'au final montrer de telles choses, ça veut dire en plus de ça que l'éditeur était conscient du problème que posait ces passages et qu'il a tenté de les masquer dans le marketing

D'ailleurs j'ai une question: est-ce que vous aussi vous avez une fois ressentit lors de vos écrits que vous dépassiez une certaine limite, un cap que vous n'aviez jamais passer dans la maturité ( violence et ou intimité) de certaines de vos scènes ?


Dernière édition par Thomas0111 le Dim 14 Avr 2024 - 1:18, édité 1 fois
 
Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


Je n'adresse pas tant d'intentions à l'éditeur. Il est spécialisé dans le roman américain, le nature writing et le roman noir. Ce roman est au croisement de ces trois genres.
Mais il est vraiment violent, une info qui ne se ressent pas du tout dans le résumé.

Donc quand on ne s'y attend pas, on peut trouver ça mal à propos.

Pour ton roman, identifie clairement ta cible et tes intentions, et adapte ton contenu.
https://linktr.ee/emilie_goudin.lopez
 
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Invité  /  Invité


C'est ce que j'ai fais pour le mien en effet.
Au moins il aurait put faire un trigger warning juste au cas où, si l'auteur était d'accord ou prévenir son audience à travers un résumé, je trouve ça moyen car quelqu'un de non auteur qui ne pense pas forcément à vérifier la ligne éditoriale d'un éditeur et détestant ce genre à cause de la violence se tapera un bon traumatisme
 
Sarashina
   
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Sarashina  /  Effleure du mal


Thomas0111 a écrit:
Je te conseillerais de choisir selon ta sensibilité, mais aussi par rapport à l'ambiance de ton histoire et au lectorat que tu vises. Tu devrais aussi te demander si elle est vraiment indispensable à l'histoire ou si tu veux vraiment dénoncer ce fait ou raconter ce passage ? Si la réponse à une de ces questions est oui, je te dirais que tu ne devrais te faire confiance et la mettre sans te préoccuper du qu'en dira t on, après je comprends ta réticence.
En tant que lectrice, comme j'ai dit, je ne suis pas trop sensible, surtout si c'est nécessaire à l'histoire. C'est vrai qu'après se pose la question du lectorat. Je vise assez large (on va dire à partir de 16 ans, mais en fait ça dépend aussi de la maturité des lecteurs). Je me sens assez proche de l’œuvre de Tolkien (je m'y connais en linguistique et mythologie comme lui) mais il y a aussi un côté Game of thrones (les manigances autour du pouvoir).  
Il n'y a pas de scènes intimes dans le premier tome, qui est une sorte de Road book si je puis dire, comme les Road Movies, dans lequel on apprend à connaître l'héroïne et on la voit évoluer et découvrir le monde mais en même temps des choses sur elle-même.
La scène problématique clos cependant le 1er tome, après qu'elle ait été forcée à se marier. Ce qui se passe la pousse à s'enfuir et conduit à sa chute (ou son saut je ne suis pas encore sure) d'une falaise, dans l'océan.
Dans le second tome, elle souffre d'amnésie. Une perte de mémoire dont l'explication pourrait être soit le traumatisme de ce qu'elle a vécu (psychologique, qui pourrait la faire refouler mais aussi physique avec la chute et une presque noyade) ou bien un raison magique (elle s'est noyée mais un truc en elle l'a ramenée à la vie sans ses souvenirs, en faisant comme une "réinitialisation" d'elle-même; mais ses souvenirs reviendraient plus tard, et c'est là que le souvenir de l'agression réapparaitrait et que je devrais le gérer vraiment.). Je crois que je laisserai planer le doute sur ce point pour l'aspect fantastique du roman. Donc la scène d'agression est importante, reste à voir si je peux la limiter à une tentative inaboutie, si oui je le ferai.

Citation :
Pour mon cas à moi, ce qui est étonnant c'est que beaucoup de membres de ma famille sont de gros lecteurs de fantasy, souvent bien crut ( GOT, Witcher, etc), mon père m'a d'ailleurs insufflé sa passion pour la Fantasy lorsque j'étais enfant cependant j'ai l'impression que si ça sort de moi alors il est contre et les autres membres de ma famille s'en fichent même s'ils le liront certainement si je le publies même si j'en ais pas trop envie.
Je comprends ton ressenti par rapport à ton père. Le mien est à fond dans les livres. Il a même fait carrière dedans, il était conservateur de bibliothèque universitaire (Lettres, Sciences puis livres anciens), jusqu'à sa retraite récente.
Il lit beaucoup de livres et me pose parfois des questions sur mes écrits mais quand je lui raconte mes nouvelles, il n'a jamais l'air très enthousiaste ! Le fait que j'ai été publiée a quand même été un signe que je ne suis pas complètement  nulle mdr mais il n'a pas lu mes 2 dernières nouvelles publiées (sur 4), sorties depuis quelques mois, et ne parle pas de le faire. De celles qu'il a lu, il a dû me dire une phrase ou deux avant de passer à autre chose...
Je sais qu'il a un côté élitiste. Tout ce qu'il n'aime pas, "c'est de la me*de" si j'ose dire... Pourtant je pense que mes histoires lui plairait si ce n'était pas moi qui les écrivait ! Jusqu' où peut-on pousser les scènes violentes/choquantes - Page 2 1f605
J'ai aussi un petit frère (enfin il a 28 ans bientôt) que j'adore. Ado il aimait mes histoires mais je ne le vois presque plus, il n'a jamais le temps... et donc encore moins de lire (mais je ne suis même pas sure qu'il lise d'autres choses). Mon grand-père ne lit plus à cause de son âge (96ans en juin) et de la sénilité qui le gagne, et j'ai perdu ma maman il y a 10 ans. Avec mes cousins dont j'étais proche pendant longtemps même s'ils vivaient loin, on s'est perdus de vue. Enfin, ils ne donnent plus de nouvelle, et j'ai essayé de leur parler mais j'ai fini par abandonner car c'était beaucoup de fatigue pour aucun résultat. J'ai des soucis de santé qui m'empêchent en plus de me déplacer pour aller les voir, sinon je l'aurais fait comme avant, ce qui nous permettait de se voir une fois ou deux par an. Depuis que je ne peux plus venir aucun n'est jamais venu me voir... ça en dit beaucoup je pense sur ce qu'ils pensent de notre relation, et même si je sais qu'ils ne sont pas méchants dans le fond, que la distance c'est compliqué, ben ça me rend triste.

En tout cas merci pour le soutien, ça fait du bien d'en parler un peu^^
 
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Personnellement, je te dirais que tout ce qui ne sert pas la trame principale est inutile cependant j'ai l'impression que cette scène renforcerait l'impact de ce que ta protagoniste vient de vivre ( mariage forcé, sûrement avec un s*laud), dans ce cas je te dirais que si ce passage va dans ce sens, tu devrais au moins l'écrire pour voir si elle va avec la dynamique du récit ou appui une thématique, si c'est non tu n'as qu'à la retirer et si c'est le contraire, tu peux je pense y réfléchir, tu n'es pas forcément obligé de tout décrire, tu peux même seulement suggérer. Après c'est dur de savoir ce qui colle ou pas dans ton roman en ne l'ayant pas lu.

*

Je crois que je l'ai dit au-dessus ( sur l'autre page) mais je n'ai pas eut des parents qui me portaient un grand intérêt, j'étais souvent d'ailleurs frappé, insulté et puni injustement. Quand j'étais à l'école ou même en dehors ( d'ailleurs peut-être même au sein de ma propre famille, je le soupçonne de plus en plus) j'étais toujours catégorisé comme le Bizarre avec qui il ne fallait pas trainer donc j'ai pas eut beaucoup d'ami et encore moins qui partageait ma passion si ce n'est aucun. D'ailleurs maintenant que je suis au lycée c'est toujours comme ça, personne ne veut me parler, personne ne traine avec moi alors en récréation je marche seul au milieu des gens à imaginer des trucs comme je le faisais en maternelle où j'étais déjà rejeté alors que ma soeur a toujours été populaire, ça fait mal mais j'ai été habitué à cette solitude et me suis enfermé dans les histoires, les livres, c'est peut-être pour ça que je suis une vrai pipelette même si on m'écoute pas souvent et que j'ai tant de choses à dire dans mes romans, parce que là, personne ne peut me contredire et je n'ai pas peur de raconter mes pensées à travers mon histoire.

Tout ça pour dire que je comprends, c'est dur d'en parler autour de soi surtout quand un peu tout le monde s'en fiche même notre famille, comme je te l'ai dit je crois, mon père est un grand fan de Fantasy, c'est lui d'ailleurs qui m'a initié au genre après que j'ai lu HP en me faisant lire Le Seigneur des Anneaux ( j'avais huit ans et demi) et je voudrais parler de mon roman avec lui, de ces thématiques que j'ai crée mais lui il s'en fiche, il ne croit pas en moi. Avant je parlais avec ma grand mère de mon livre quand je la voyais, je lui avait même envoyé les premiers chapitres mais quand une simple bataille à coup d'épée et quelques tirs échangés sont selon elle trop violent, c'est vite agaçant d'avoir une discussion avec elle ( si elle savait ce que contenait le reste du roman)

C'est pour ça d'ailleurs que j'ai rejoint le forum, pour enfin discuter d'écriture là où les livres qui en parlaient devenaient de plus en plus ennuyant puisque je savais très bien ce qu'ils racontaient au bout du dixième. Et pour revenir ( un peu) au sujet, je ne sais pas si ma famille va accepter les passages du livres, certes ils ont lu et vu bien pire mais comme ça vient de moi et que je suis déjà catégoriser comme le Bizarre, bah je vais juste passer pour un cinglé qui écrit des trucs pas net ( alors que c'est à des kilomètres de la violence de GOT)

PS: désolé pour tes problèmes de santé
 
Sarashina
   
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Sarashina  /  Effleure du mal


Oui c'est ce que j'ai fais, j'ai écris trois versions ! ^^ Je me déciderai quand j'aurai fini le second tome (enfin encore faut-il que je le commence, je suis partie sur la réécriture d'un autre roman depuis près d'un an).
Le marié se comporte comme se comporterait un roi des temps passé (vu que c'est un roi lol), avec l'idée que tout lui est dû et les gens le pensent aussi. Il est un roi efficace, un bon chef de guerre et, jusqu'au moment de la nuit de noces, agit de façon qui laisse penser qu'il est OK, ce qui fait que mon héroïne hésite à dire non ; mais il "craque" quand elle ne le laisse finalement pas faire ce qu'il considère comme son droit (la consommation du mariage valide la mariage). Je voulais un personnage nuancé, pas une grosse brute cliché, même si on va se rendre compte au fil du temps qu'il y a une folie cachée en lui.
Je ne sais pas si tu as vu "Blacksails" mais ce serait comparable au moment où, dans un épisode :
Spoiler:

Ce que tu me racontes de tes soucis au lycée et surtout de ton isolement me rappelle moi-même. J'étais souvent à l'écart et je passais ma vie à rêvasser à mes histoires du coup ! Mais tu sais, une fois le lycée passé, les choses ont progressivement changé et j'ai pris confiance en moi. Je te conseillerais d'essayer de prendre part à des activités qui te font rencontrer d'autres personnes en été. Ce qui m'a beaucoup aidé en effet, c'est d'avoir pris part à des chantiers de fouilles archéologique bénévoles (il y en a pas mal en France, c'est gratuit et on est nourri et logé la plupart du temps). J'ai gagné beaucoup confiance en moi et mes relations avec les autres ont changé à partir de là. Tu pourrais aussi faire d'autres sortes de chantiers bénévoles, si l'archéo ne t'intéresse pas. Le truc c'est d'être dans un cadre avec pas trop de monde et en général les gens deviennent comme une seconde famille, assez vite ! Et puis ça fait du bien de s'éloigner un peu de la (vraie) famille (pour ma part mon manque de confiance en moi venait en partie de ma mère qui me surprotégeait et avait tout le temps peur qu'il m'arrive des trucs, alors je n'osais rien faire, comme quoi que ce soit l'ignorance ou trop d'affection, les relations avec les parents, c'est compliqué!).

Tu as songé à mettre en ligne tes écrits sur des plateformes comme wattpad ou autre ? Tu pourrais rencontrer des lecteurs par ce biais. Je me suis liée d'amitié avec des filles qui lisaient mes fanfictions à l'époque où je les postais sur le (regretté) site franco fanfictions. Et ces amitiés ont perduré dans le temps! Bon après cela dépend : si tu espères publier, évite de tout mettre sur internet bien entendu.
Bon courage en tout cas pour tout!^^
 
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Tout d'abord concernant ton roman, je trouve que c'est une idée vraiment intéressante de faire croire que ce roi est plutôt clean avant de le montrer comme un s*laud. En considérant toutes ces nouvelles informations que tu m'a donné, ça me paraîtrait vraiment intéressant d'interrompre le v*ol avant qu'il n'aille au bout ou même que ta protagoniste s'enfuit, cela ferait une gradation, un coup le souterrain à l'air clean puis il se révèle en fait être un énorme fdp en tentant de la violer mais n'y arrive pas puis tu montre le sommet de son caractère de fdp dans le deuxième tome dans le climax par exemple, en plus ton personnage aurait fait un reset tu m'as dit du coup elle ne se souviendra plus de lui, il peut alors se servir d'elle. Voilà, c'était quelques pistes sur lesquelles tu pourrais partir, espérant t'avoir un peu aider.
*

Hélas, je ne pourrais pratiquer une de ces activités souvent trop cher, mon père ayant des problèmes financiers ( mes parents étant en train de divorcer et celle qui se faisait appeler ma mère a soutirer à mon père 250 000 euros environ par crédit, pour la maison, etc alors qu'elle gagnait le smic et qu'elle ne travaillait plus depuis 4 années, regardant la télé toute la journée, me frapper, m'insulter ma soeur et moi et tromper mon père, enfin ça c'est un autre sujet).
Qui plus est je voudrais bien m'inscrire dans un atelier d'écriture mais mes notes chutent en flèche ce qui fait que mon père dirait non. J'ai toujours été un élève avec des notes correct mais  la pression d'écrire chaque jour que me mettait mon livre, Un monde à moi et la pression de ne pas exactement savoir comment décrire certaines scènes de fin, en plus du divorce, en plus du fait que je n'ai personne pour me filer les leçons quand je suis coucher au lit en train d'avaler des médoc ( étant donné que personne ne veut m'adresser la parole) et que j'ai des difficulté dans toutes les matières scientifiques et du fait que j'ai la prof d'histoire la plus sévère sur la notation, tout ça fait que j'ai dégringoler et que mon passage en première est incertain alors que mon projet par rapport au matière où je suis bon tient la route, vraiment j'ai même plus la force de réviser, je suis déprimé, la rencontre parent prof + le rendez-vous avec la conseillère d'orientation m'a dépité, j'attends juste les vacances dans une semaine pour commencer le second volet de ma saga de fantasy ( la réécriture du premier commençant pendant les grandes vacances) mais en attendant on a le pire emplois du temps des secondes. Enfin bref, ça fait du bien quand ça sort, mon père s'en fiche, quand je lui raconte ça, il se contente de dire que c'était plus dur à son époque, peut-être, mais c'est pas ça qui me fera aller mieux, j'ai juste l'impression d'être la honte de la famille, mon oncle a un doctorat, mon père un master en math info, ma cousine fait des études de droits et de politique et vise la cour européenne, ma soeur, qui a peur d'être en dessous et qui m'a causer tellement de tort que la liste ferait vingt mètre, veut faire comme notre cousine, ma tante à travailler dans une banque et puis y a moi, l'écrivain auquel personne ne croit, le bizarre qui écrit ce livre au titre bizarre
 
Sarashina
   
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Sarashina  /  Effleure du mal


Pour le personnage antagoniste on le reverra plus tard, oui, c'est prévu ! ^^

Ah oui je vois c'est compliqué en effet.
Pour les activités, les chantiers bénévoles d'archéologie sont gratuits pour la plupart et le logement est aussi inclus en général ainsi que la nourriture (nous on cuisinait nos repas mais on ne payait rien pour les courses). Il faut quand même vérifier avant car une minorité de chantiers n'offrent pas d'hébergement mais si tu ne postules qu'aux bons, ça ne coûtera rien de plus qu'un billet de train ou de bus, ou un déplacement en voiture si tes parents peuvent t'y amener. Bon par contre il faut avoir 18 ans dans la majorité des cas (sauf quelques exceptions)
La liste des chantiers est visible là, en pdf. Elle évolue régulièrement et, plus on va vers l'été qui est la période de prédilections des fouilles, moins il y a de choix en général. Il vaut mieux s'y prendre à l'avance car beaucoup de gens postulent. Il faut faire attention aussi s'ils demandent ou non de l'expérience.
https://www.culture.gouv.fr/Thematiques/Archeologie/L-archeologie-en-France/Les-operations-archeologiques/Fouiller-en-benevole-ou-visiter-un-chantier-archeologique

Pour l'atelier d'écriture, tu ne pourrais pas faire ça dans une maison de quartier ? Ça ne coûterait pas cher à ton père et il aurait moins de raison de s'y opposer.

Essaie aussi de ne pas te comparer aux autres, on est tous différents ! ^^ et puis des tonnes de diplômes ne signifie pas forcément qu'on est plus heureux (ou même qu'on trouve du boulot, il y a plein de gens avec des diplômes qui ne trouvent pas dans leur domaine, hélas).
Par contre ne néglige pas non plus de t'ouvrir vers d'autres choses que l'écriture, car il n'y a presque aucun auteur qui ne soit qu'auteur en France, même les plus connus ont souvent un boulot "alimentaire" à la base. Tu peux toujours voir du côté du journalisme ou du professorat, ce sont des métiers qui s'associent bien à l'activité d'écrivain.
 
fabiend
   
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fabiend  /  Effleure du mal


Je ne suis pas sûr de bien comprendre le sens de la question. Est-ce qu'on parle de ce que moi lecteur je suis prêt à supporter de manière purement subjective, ou bien de ce que je pense être la limite objective de la bienséance ?

Parce que je pense que tout le monde peut bien écrire ce qu'il veut, ce qui est certain c'est qu'il y a énormément de choses que moi je ne lirai pas. Je ne lis pas de scène de torture très graphique, et s'il y a une description détaillée d'une scène de viol (surtout sur mineur !) je referme définitivement le livre (donc je crois que le livre dont parle Jimilie n'est vraiment pas fait pour moi). Oui, même si ça sert l'histoire. Ce n'est juste pas une histoire pour moi. Ça ne veut pas dire qu'il est inconvenant d'écrire ce genre de chose, chacun écrit (et lit) ce qu'il veut. Et encore heureux.
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fabiend a écrit:
Je ne suis pas sûr de bien comprendre le sens de la question. Est-ce qu'on parle de ce que moi lecteur je suis prêt à supporter de manière purement subjective, ou bien de ce que je pense être la limite objective de la bienséance ?

Le sens de question est: en tant qu'auteur, pensez-vous qu'il y a une limite à la violence/scènes explicites que l'on peut mettre dans un roman. Avez vous déjà ressentit que vous franchissiez cette limite ? N'hésitez pas à partager des expériences d'écriture.
 

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