Bonjour,
nous sommes une nouvelle maison d'édition créée à la Rochelle l'été 2023. Notre ligne directrice repose sur : littérature et numérique.
Pourquoi "littérature et numérique"  : parce que nous aimons les deux    et parce que le numérique est un puits à imaginaire.
Nous avons édités trois livres de type essai en tirage papier, d'autres travaux sont engagés et nous préparons une édition numérique et ludique de l'un d'entre eux.
Nous ouvrons maintenant la collection "littérature" et RECHERCHONS DES TEXTES dans lesquels le numérique est présent. Tous les styles sont acceptés. Il s'agit d'une maison à compte d'éditeur, nous lisons toutes les propositions qui nous parviennent sous format numérique     dans un délai de trois mois.
Toutes les informations sont disponibles sur notre site : lempreintelegere.fr
A bientôt !

EMPREINTE a écrit:

Nous ouvrons maintenant la collection "littérature" et RECHERCHONS DES TEXTES dans lesquels le numérique est présent.

Cela me semble assez vague... en fait, beaucoup trop vague.

A part ça : il serait intéressant que vous nous exposiez de quelle façon votre Maison compte faire la promo et vendre les ouvrages, une fois qu'ils sont publiés "en numérique".

Car au fond, c'est bien cela qui nous importe, au-delà du livre publié, en numérique ou en papier, ou les deux.

Merci de nous éclairer un peu plus à ce sujet.  

PS : ma réponse en forme de question est un peu directe, mais nous avons régulièrement sur ce forum, de jeunes Maisons qui cherchent des auteurs.

Parfois, elles ont beau être sérieuses, si les ventes ne sont pas là au bout du compte, à quoi sert l'investissement de l'auteur ?

Spoiler:

J'appuie les questionnements de Plumerose, c'est un peu flou tout ça.
S'agit-il d'un appel à textes précis sur le thème "littérature et numérique" ? Ou ouvrez-vous simplement votre soumission de manuscrits dans le cadre de la création de votre ME, avec une ligne éditoriale centrée sur le "numérique" ? Dans ce cas, effectivement ça mériterait quelques précisions : qu'entendez-vous par cela ?

Bref : s'il s'agit d'un AT précis, vous êtes au bon endroit et je me permettrai de modifier le titre du sujet afin que cela soit plus parlant.
S'il s'agit d'une simple présentation de ME dont les soumissions sont ouvertes, je le déplacerai dans la section Maisons d'édition et je vous invite vivement à apporter quelques précisions au sujet de votre structure, éventuellement en vous aidant du modèle qui est mis à disposition à cet effet.

Merci d'avance (:

Bonsoir, et merci pour vos réponses.

> S'il s'agit d'une simple présentation de ME dont les soumissions sont ouvertes, je le déplacerai dans la section Maisons d'édition et je vous invite vivement à apporter quelques précisions au sujet de votre structure, éventuellement en vous aidant du modèle qui est mis à disposition à cet effet.

Il s'agit effectivement d'une simple présentation de ME, avec nos excuses pour le mauvais placement. Nous allons documenter à l'aide du modèle que vous proposer et le placer dans la bonne section

Voici quand même les réponses, espérons éclairantes, aux remarques et questions de Plumerose

> Cela me semble assez vague... en fait, beaucoup trop vague.

"littérature et numérique" nous parait pour le moment suffisant, en expression réduite, pour signifier la direction dans laquelle nous nous plaçons : placer au premier rang l'activité de lecture/écriture mais imprégnée de la nécessité d'intégrer l'univers numérique dans lequel nous sommes immergés, et cela a priori *sans aucune autre contrainte*. ... Mais nous retenons votre remarque pour nos prochaine cogitations )

> il serait intéressant que vous nous exposiez de quelle façon votre Maison compte faire la promo et vendre les ouvrages, une fois qu'ils sont publiés "en numérique".

Les ouvrages retenus sont d'abord publiés au format papier

> si les ventes ne sont pas là au bout du compte, à quoi sert l'investissement de l'auteur ?

... Et celui de l'éditeur, qui prend le risque financier
Mais votre remarque est bien sûr fondamentale, et il est sage de considérer qu'un livre qui vient de paraître est de façon générale mort-né.
Nous n'avons pas encore entamé des discussions avec un diffuseur, et même si ce point n'est pas négligeable, il n'est pas essentiel. Les points que nous privilégions, et sur lesquels la participation de l'auteur peut jouer : la qualité physique du livre, la beauté de sa couverture, l'usage des réseaux sociaux, la participation à des salons... et l'endurance des différents acteurs, dont l'auteur et l'éditeur.

Et encore merci pour vos remarques.

Je déplace le sujet dans la bonne section du forum.

Plus qu'à modifier le premier post pour correspondre au modèle fourni par Mardi, mais ça, je vous laisse vous en charger, Empreinte Légère

EMPREINTE a écrit:

"littérature et numérique" nous parait pour le moment suffisant, en expression réduite, pour signifier la direction dans laquelle nous nous plaçons : placer au premier rang l'activité de lecture/écriture mais imprégnée de la nécessité d'intégrer l'univers numérique dans lequel nous sommes immergés, et cela a priori *sans aucune autre contrainte*. ... Mais nous retenons votre remarque pour nos prochaine cogitations Smile)  

Donc, vous ne n'apportez pas de précision (sachant qu'à l'heure actuelle, à moins de situer ce qu'on écrit au siècle dernier ou bien avant, les textes sont forcément imprégnés de l'univers numérique, nous baignons dedans).

PS : au passage, rectifiez "prochaines" en ajoutant le "s" pluriel.

EMPREINTE a écrit:

> il serait intéressant que vous nous exposiez de quelle façon votre Maison compte faire la promo et vendre les ouvrages, une fois qu'ils sont publiés "en numérique".

Les ouvrages retenus sont d'abord publiés au format papier  

Ok, ça ne répond pas à la question.

EMPREINTE a écrit:

> si les ventes ne sont pas là au bout du compte, à quoi sert l'investissement de l'auteur ?

... Et celui de l'éditeur, qui prend le risque financier Wink

Mais votre remarque est bien sûr fondamentale, et il est sage de considérer qu'un livre qui vient de paraître est de façon générale mort-né.


Nous n'avons pas encore entamé des discussions avec un diffuseur, et même si ce point n'est pas négligeable, il n'est pas essentiel. Les points que nous privilégions, et sur lesquels la participation de l'auteur peut jouer : la qualité physique du livre, la beauté de sa couverture, l'usage des réseaux sociaux, la participation à des salons... et l'endurance des différents acteurs, dont l'auteur et l'éditeur.

Ok, rien n'est au point, donc... sans aucune méchanceté, mais vous vous rendrez vite compte que ça ne sert à rien d'engloutir votre énergie, celle des auteurs, votre argent... si c'est pour au bout du compte, ne pas rentrer dans vos frais en ne vendant pas.

Et ne croyez surtout pas que c'est chose acquise d'avance. De loin pas.

La promo. des livres et les ventes sont ce qui fait la différence entre une ME qui fonctionne et une ME qui part sur des chapeaux de roue, et qui se casse la figure très vite.

Je vous dis ça, je prends le temps de vous dire ça, car j'en ai vu, des ME pleines d'enthousiasme, ne pas rentrer dans leurs frais, s'épuiser, et fermer très vite.

Après, vous en faites ce que vous voulez.

Spoiler:

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EDIT :

EMPREINTE a écrit:

Nous n'avons pas encore entamé des discussions avec un diffuseur, et même si ce point n'est pas négligeable, il n'est pas essentiel. Les points que nous privilégions, et sur lesquels la participation de l'auteur peut jouer : la qualité physique du livre, la beauté de sa couverture, l'usage des réseaux sociaux, la participation à des salons... et l'endurance des différents acteurs, dont l'auteur et l'éditeur.  

OMG quand je lis ça...      

Plumerose, il n'est pas nécessaire d'être si frontale avec une maison qui débute

Laissons-leur le temps de développer (et de se présenter selon les règles du forum), avant de leur sauter à la gorge.

Aliénor a écrit:

Plumerose, il n'est pas nécessaire d'être si frontale avec une maison qui débute

Laissons-leur le temps de développer (et de se présenter selon les règles du forum), avant de leur sauter à la gorge.

Oui, je sais que c'est un peu direct, mais c'est pour qu'elle prenne conscience des réalités : si on dit "bravo" et que tout va bien aller , alors qu'on sait que cette façon de faire mène directement dans le fossé , on ne l'aide pas (enfin, à mon avis).

Après, je sais que  je ne suis pas une championne de l'emballage et de la forme, donc si la forme peut froisser, je m'en excuse : ne prendre en compte que le fond, ça ne se veut pas méchant.  

Bonsoir,
pas de soucis pour le ton de fait engagé, les faiblesses d'un mail par rapport à une discussion directe sont assimilées. Et sur le fond (... du fossé promis), pas trop d'inquiétude(s ?) non plus à avoir, nous sommes comme Johnny, on les aura à l'usure )
Encore merci pour votre accueil, et peut-être à bientôt au détour d'un message.