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| Commentaires [Maison Patotie] - Lucharo Reyes | |
| | Nombre de messages : 7 Âge : 53 Date d'inscription : 15/11/2023 | Lucharo Reyes / Magicien d'Oz Mer 15 Nov 2023 - 14:13 | |
| Bonjour, Voici la boîte aux lettres. Et je me répète, mais personne n'est bienvenue chez moi !! |
| | Nombre de messages : 954 Âge : 20 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 14/03/2023 | Pénélope / Bile au trésor Lun 27 Nov 2023 - 13:39 | |
| Dring......
Je me surprends à ne plus respirer durant le temps d'attente. J'espère qu'il est là... Imagine s'il est absent, je ne sais pas ce que je vais faire... |
| | Nombre de messages : 7 Âge : 53 Date d'inscription : 15/11/2023 | Lucharo Reyes / Magicien d'Oz Jeu 30 Nov 2023 - 20:37 | |
| Y a quelqu'un qui sonne à la porte... Je me demande bien qui ça peut être. Je suis bien entendu occupé à nettoyer mon arme, sinon ce ne serait pas rigolo. Je prends le temps de la ranger dans son tiroir, au cas où ce serait quelqu'un de malveillant... Car je cache beaucoup trop de choses.
Je me traîne jusqu'à la porte, et, sans même regarder qui c'est, je l'ouvre en grand, pour bien montrer ma prés- Oh putain, Esperanza. Devant moi. Elle a un air surpris... et elle me regarde d'un air un peu bizarre je trouve. Qu'est-ce qu'elle fout là ?! Ma fille, présente devant la porte, à attendre que je lui dise d'entrer... et je me surprends à lorgner sur elle, pensant déjà à la fin de la journée... Je vais me la faire, elle est encore plus mignonne qu'avant. Elle semble plus fatiguée mais plus rayonnante, comme si elle avait trouvé quelque chose qu'elle n'avait pas... et elle a décidé de revenir me voir... Sûrement pour s'excuser du fait qu'elle ait fui la dernière fois qu'on a voulu coucher ensemble, et qu'elle regrette son geste. Et elle vient le réparer aujourd'hui. Je lui souris, et la fait entrer d'un geste accueillant.
Lorsqu'elle passe devant moi, je lui mets la main à la taille, pour la faire avancer. Je sens son ventre se contracter, sûrement de plaisir, à l'idée de ce que l'on va faire. Je l'amène jusque dans le salon, sans dire un mot, en profitant de ce contact prolongé.
- Vas-y, assieds toi dans le canapé, on sera mieux, tous les deux à côtés, ma fille. Tu veux peut-être un café, avec des petites madeleines, comme tu les aimais quand tu étais encore là ? J'en ai toujours un petit paquet pour le cas où tu revenais... Et j'avais raison d'en garder un...
Esperanza semble surprise que je me souvienne qu'elle aime ces petites merdes. Que du sucre, juste pour qu'elle grossisse. Et franchement, elle gobe vraiment tout ! J'ai acheté ce paquet avec répulsion, le lendemain de mon rêve, parce que j'étais quasi sûr qu'il allait se réaliser. Et ça me permet de la séduire...
- Non c'est bon père. Je ne suis pas là pour longtemps, j'ai juste à te demander quelque chose... Je dois repartir dans quelques heures, pour être rentrée avant le couvre-feu.
Je suis étonné qu'elle ne veuille pas mais ne le montre pas. Je m'assois sur le canapé pour qu'elle fasse pareil mais je la vois s'asseoir sur le fauteuil juste en face de moi. Dommage... Je vais devoir la basculer sur le canapé, ce sera plus compliqué... Mais je n'abandonne pas comme ça... J'attends alors qu'elle me dise ce qu'elle veut me demander. Pendant ce temps, je détaille tous ses contours, savourant sa présence. Ca fait tellement longtemps que je n'ai pas pu satisfaire mon plaisir... Je sens déjà un afflux sanguin provenant de ma tête descendre jusque dans mon entrejambe. Et je sais que ce n'est que le début. |
| | Nombre de messages : 7 Âge : 53 Date d'inscription : 15/11/2023 | Lucharo Reyes / Magicien d'Oz Ven 1 Déc 2023 - 20:06 | |
| Elle finit par me regarder et prendre la parole.
- Je pense que tu ne te doutes pas de la raison pour laquelle je suis venue te voir... Je viens pour te demander un service, pour changer. Comme tu fais partie de la milice... D'ailleurs, tiens, ton papier, je te le rends. Donc comme tu fais partie de la milice, je viens te demander si tu peux m'y intégrer... Je vis dans un immeuble à Aguacope, un immeuble qui n'est composé que de locataires contre cette milice du peuple et... je me suis donc décidée à m'intégrer dans la milice, je reste vivre là-bas, et je te passe les informations importantes qui en ressortent. Et je fais semblant d'être de leur côté. Je veux aider cette milice père. Lui être utile. Et être utile à Juan Sebastian Feijoo. Et j'ai besoin de toi pour m'y intégrer.
Quand elle semble avoir fini de parler, je la regarde, un peu étonné qu'elle soit venue pour ça... C'est comme dans mon rêve. Je ne sais pas quoi lui répondre. J'ai envie de la prendre dans mes bras, et de lui faire l'amour. En récompense.
- Oui Esperanza. Ma fille. Oui, je suis fière de ce que tu veux faire. Tu veux être utile au peuple, comme moi je le suis depuis déjà des années.
Je me lève pour m'approcher d'elle et l'attrape pour la prendre dans mes bras, pour lui signifier que je suis vraiment fière d'elle. Elle, entrer dans la milice ! Elle n'est ainsi pas comme sa mère, même si elle reste une femme donc elle ne va pas aller bien loin... Elle va sûrement se faire lyncher par les habitants, quand ils apprendront qu'elle n'est pas de leur côté... Elle se tend légèrement sous le contact de mon corps contre elle, signe qu'elle en veut plus. Je commence à lui caresser les cheveux quand elle tente de me repousser. Elle réussit. Ses deux mains tiennent les miennes, et m'éloignent... Elle en a de la force dis donc ! Je savais qu'elle était capable de me faire mal mais j'ai l'impression qu'elle s'est améliorée. Mais je veux aller au bout. Et je suis sûre qu'au fond d'elle, elle veut le faire avec moi. Mais elle préfère résister pour l'instant, pour nous donner encore plus de plaisir.
J'ai l'impression que son poignet droit est beaucoup plus faible... Je me rapproche, lui prend délicatement le poignet en question, et le caresse, du bout du pouce, pour l'observer. Une ancienne fracture j'ai l'impression... Assez récente qui plus est. Son attention me semble fixée sur mon pouce. J'en profite pour l'attraper par la taille et lui enlever d'un coup sec son chemisier... je manque de m'effondrer de plaisir lorsque je vois son torse apparaître. Une vague de chaleur continue de se propager, et je sens mon membre se tendre, prêt à l'emploi. Elle me regarde d'un air furieux, et commence à chercher à s'échapper de mon étreinte. Mais je la sers assez fort pour qu'elle soit coincée. J'approche mon visage du sien, lui souffle qu'elle n'a pas à résister car elle a envie aussi de la faire, et l'embrasse à pleine bouche, avec force. Je sens ses dents claquer contre les miennes, et lui mords légèrement la lèvre pour sentir son sang couler. Elle continue de se débattre, je lui mets un coup dans le ventre pour qu'elle arrête. Effet absolument contraire, elle s'agite encore plus... Je me décide à l'attraper plus fortement pour la mettre sur le canapé, allongée, et moi au-dessus d'elle. Elle ne peut plus bouger. Parfait. Je vais pouvoir faire ce que je veux avec elle. Et je sais qu'elle va suivre.
Je commence à enlever son pantalon, mais, pendant ce petit temps, elle en profite pour me mettre un coup avec sa main gauche dans l'entrejambe. Je sursaute de douleur, la frappe pour ne pas qu'elle recommence. Petite conasse va ! Elle réussit alors à se relever légèrement, mais, en voulant me repousser, j'entends son poignet craquer d'un coup sec, et la grimace qui se tend sur son visage. Parfait, je vais pouvoir la dominer encore plus si elle n'a plus possibilité d'utiliser son poignet droit... Je réussis ainsi à la rallonger correctement, et à l'embrasser de nouveau, en commençant à la caresser au meilleur endroit... juste avant que je lui enlève totalement son bas.
J'espère qu'elle va aimer, parce que j'ai des réserves ce soir... Je commence à défaire ma braguette quand j'entends d'un seul coup la porte claquer, fortement... Je referme, me tends, regarde vers la porte du salon, et me relève légèrement tout en tenant Esperanza. |
| | Nombre de messages : 2254 Âge : 32 Pensée du jour : Crachez-le aussi fort que vous voulez, ça ne sert à rien. Car je ne suis pas un déviant. Date d'inscription : 28/07/2023 | Blackmamba / Guère épais Sam 2 Déc 2023 - 2:10 | |
| Écrit supprimé définitivement, à mon initiative. Les textes associés mettaient en scène un prototype de protagoniste et des scènes prévues pour un futur projet de roman à l'époque. Comme le roman a enfin vu le jour et va être soumis en ME à terme, les mentions du protagoniste ici et là n'ont plus vraiment leur place. Merci à tous ceux qui l'ont lu, ont interagi avec lui et m'ont ainsi permis de le travailler et le peaufiner, l'ancrer dans mon esprit pour donner la version finale qui me tient à cœur.
Dernière édition par Blackmamba le Dim 23 Juin 2024 - 23:35, édité 1 fois |
| | Nombre de messages : 954 Âge : 20 Localisation : Bordeaux Date d'inscription : 14/03/2023 | Pénélope / Bile au trésor Dim 3 Déc 2023 - 0:43 | |
| Je fouille la maison pour retrouver de quoi soigner Diaz. De mauvais souvenirs remontent dans mon esprit mais je les chasse, pour m'occuper seulement de l'instant présent et de sa blessure la plus grave. Je réussis à trouver du bandage, du désinfectant et récupère mon foulard, une des seules choses encore potable comme vêtements, pour pouvoir éponger le sang qui coule. Je récupère aussi au passage des compresses... et un peu plus de bandes pour mon poignet. Il faut quand même que je m'en occupe, il me fait bien mal.
Mais d'abord, Diaz. Lorsque je mets mon foulard sur sa blessure, je le vois se mordre la lèvre... Ça doit faire mal. Logique. Je finis de panser son flanc en mettant les compresses et le bandage autour de son ventre. Je le regarde et lui sourit légèrement, le maximum de ce que je peux faire pour l'instant. Avec sa main bandée et son ventre... On a l'impression qu'il sort de la guerre...
Je m'assis sur la canapé, pour réussir à me bander moi-même mon poignet qui me lance... Logique, mon os a craqué tout à l'heure... Je galère pour le faire, grimace, laisse couler une larme et, finalement, réussit à me l'envelopper correctement. Je m'occuperais du reste plus tard. J'ai mon pied qui me lance, vu la force avec laquelle j'ai taper Lucharo tout à l'heure... Et après, ce ne seront que quelques contusions, ce n'est pas très grave. Il vaut mieux que l'on parte d'ici au plus vite. Diaz se rapproche de moi, et essaie de m'embrasser avant que l'on ne se relève. Juste au moment où ses lèvres allaient toucher les miennes, j'ai l'impression de revivre ce que mon père m'a fait subir. Mon mouvement de recul surprend Diaz qui me regarde d'un air étonné sans rien dire... Je me dépêche de me lever et de lui dire qu'il faut absolument que l'on parte, avant que l'on ne soit vraiment dans l'incapacité de bouger d'ici.
Je l'aide à se relever, il tient difficilement debout, pas beaucoup mieux que moi. Il a perdu beaucoup de sang. Je crois que l'on va avoir du mal à rentrer jusqu'à l'appartement là... Mais on est obligé. On se met en route, main dans la main, chacun boitillant, avec un rythme assez lent. On dirait vraiment des blessés de guerre. Heureusement, on ne croise pas grand monde sur la route, chacun est cloitré chez soi... On ne voit que des rats. Et un soldat de la milice aussi. On a eu un peu peur mais il est clairement passé à côté de nous sans nous remarqué tellement il était saoul. On arrive devant l'immeuble beaucoup plus tard que prévu, fourbus de nos blessures et... pour moi, fourbue psychologiquement. La manière dont je n'ai pas pu lui résister m'a vraiment détruite intérieurement j'ai l'impression... Nous avons largement dépassés le couvre-feu. Diaz me regarde et on décide tous les deux d'essayer de rentrer sans faire de bruit, vu que les gardes ont disparu. On ne peut pas rester encore plusieurs heures dehors...
Nous réussissons à rentrer dans le hall, bien silencieux... Ou en tout cas, nous avons l'impression d'être silencieux car vu nos blessures, nous avons sûrement le pas lourd. Diaz s'avance devant moi pour ouvrir la marche et commence à monter les escaliers quand... Je suis encore observatrice et je vois une trace de sang par terre. Mon pouls s'accélère à l'idée que quelqu'un s'est fait mal et je regarde autour de moi. Oh my god ! Je retiens mon cri dans le fond de ma gorge et me précipite dans le coin du hall pour voir si la chatte noire est encore viv- Dès que je m'approche, je vois qu'elle est morte. Elle semble être passée sous... Oh non... Pas là... Je retiens mes larmes et sens une main se poser sur mon épaule, la caressant. Je relève la tête et vois Diaz... Une larme coule de ses yeux. Nous sommes tous les deux si touchés... Je la récupère doucement dans les bras et nous montons à son appartement... |
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