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| Résultat - Concours poésie | |
| | Nombre de messages : 2068 Âge : 40 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 24/09/2017 | SuperAlice / Adjointe sérénissime à la modération reconnaissante Mar 12 Sep - 21:36 | |
| Kikoooo ! Je tiens à préciser, avant tout, que des messages d’amour m’ont été envoyés avec les votes ; pas vraiment des messages qui m’étaient personnellement adressés mais des messages qui vous étaient adressés ! Je suis super ravie qu’on ait été aussi nombreux à participer ! Ensuite je m’excuse pour la mise en page inexistante, je ferai mieux les prochaines fois. Juste de votre côté : Pour les prochaines fois, il vous faudra ajouter votre pseudo à la fin de chaque commentaire ! Ce sera plus pratique, parce que c’est super long. Pour ceux qui n’ont rien mis et pas précisé qu’ils voulaient que leurs commentaires ne soit pas anonyme, j’ai laissé tel quel. Vous vous signalerez aux autres si besoin. Voici donc voilà donc les fameux résultats !!! Je ne fais pas de tableau et je ne sais pas mais je trouve sympa de ne pas mettre les pseudonymes… Si vous voulez dire qui vous êtes, je vous laisse l’honneur de vous démasquer ! 3 / 4 / 16 / 13 / 7 / 6 / 8 / 5 / 10 / 15 / 14 / 1 / 9 / 11 / 12 / 2 / 17 Et n’insistez pas je ne ferai pas de tableau ; j’aime bien comme ça. 1. Fleurs aux damnés Thème sombre de l’automutilation (ouais j’aime pas le mot scarification ça me glace), celui qui ne peut plus supporter, et celui qui veut garder la personne à ses côtés. Le ressenti du premier est bien exprimer je trouve, et l’amour persistant du deuxième a des accents si réels… « la lame sur tes veines », j’aime bien ! « … Mutilé, bafoué, souillé, Tu veux juste qu’il disparaisse, Qu’il n’est que ton Aloès… » Tu commences une nouvelle sorte de phrases puis tu reprends avec la conjonction de coordination à celle du début « Tu m’as dit hier encore » donc comme c’est coupé je trouve ça dérangeant à la lecture. « Je veux t’offrir ces Centaurée » Cela ne prend-il pas le pluriel ? « toi même » -> « toi-même » « Dieu entendra-t’il mes prières » -> « entendra-t-il ». Horus Sappho “Fleurs aux damnés” -> Un beau poème avec un rythme et des sonorités plaisants. J’aime particulièrement : "Refuse cette Cigüe/Qui de la mort/N'est que le tribut." Je trouve simplement dommage de ne pas avoir conservé un rythme similaire du début à la fin, je suis moins touché par les deux derniers distiques. 4ème placeFleurs aux damnés : beaucoup de potentiel mais l'emphase excessive fait qu'au final l'émotion décroît au fil de la lecture. Parfois il vaut peut-être mieux sacrifier des vers même beau au bénéfice de la forme globale du poème. Huitième place. Mawu Le thème est décrit avec sincérité. Quelques erreurs de temps, de rythme. C’est terriblement triste et ces rimes rendent la chose encore plus difficile à lire. J’ai l’impression de lire une comptine pour enfant qui raconte la mort dudit enfant, le pauvre. Constantine Fleurs aux damnés, le n°1. J’aime cet « égoïste » altruiste de qui on veut que Dieu entende les prières. Il y a quelque chose de sympathique au thème qui est horrible. J’adore les ancolies. Alice 2. Les effets dévastateurs de l’alcool après l’euphorie vus par le prisme d’un calme sombre, ils gisent, ivres. C’est bien réalisé mais cela ne me touche pas. J’aime le vers « Les nantis chutent et sont au bar » pour son allitération et son évocation des ivrognes vus comme débiles car ils titubent. Je suis peu exigeante sur les syllabes mais la longueur du dernier vers ici me dérangent beaucoup, on souhaite le couper à la lecture. Horus Sappho “Difficile de les reconnaître...” -> Les mots sont, selon moi, très bien choisis, ils ont de l’impact, et je trouve l’ensemble très poétique. Cependant, je n’ai pas été totalement convaincu par le dernier vers, osé il est vrai (28 syllabes tout de même !), mais un peu trop “coupe-souffle” à mon goût. De belles images mais l'ensemble manque trop de clarté pour être prenant. Je trouve qu'il y a un bel effort sur les différentes images qui se répondent, le thème est prenant, les vers majoritairement biens construits, pourtant la magie n'opère pas. Neuvième place. Mawu il y a dans ce poème un charme désabusé et un mystère qui me plaisent. cela me fait un peu penser à une salle de bal, très tard, quand la fête est finie, cette atmosphère ... Je ne vois pas quel est le sujet abordé. Quelques rimes mais pas systématiquement. Rythmes trop différents Bravo ! Un peu trop de métaphores qui s’enchainent pour le plaisir de nos beaux yeux, mais c’est vraiment pour trouver quelque chose à dire. Constantine J’aime les nantis au bar et les câbles à terre ? Peut-être bien ! Je trouve ça courageux d’écrire sur des thématiques modernes. J’aime bien l’aspect vieillit que le texte prend avec le style. Alice 3. J’aime beaucoup toutes les images particulièrement la reprise des doigts autrement dans la phrase (si t’as compris chapeau) et la pâte à modelé. Ce n’est pas mon style de poésie mais pour une fois j’apprécie. Désolée mais je n’ai pas grand chose à dire Horus Sappho “applique” -> Le style est incisif, efficace, presque pragmatique. Je ne suis habituellement que peu séduit par les vers “nains”, mais je dois dire que j’ai bien apprécié le rythme et l’enchaînement qui jouit d’une belle fluidité. Par contre, je vois que l’on a pas le droit de respirer, au vu de la ponctuation, disons économique ; enfin c’est un choix propre au poète. j'ai beaucoup aimé ce poème. Je trouve le fait qu'il appelle à tous les sens très bien amené, cela donne un ressenti particulier à la lecture. Bravo. Seconde place. Mawu très habile mélange d'art poétique et de déclaration érotique. j'ai été charmé par ce poème gourmand et j'apprécie l'évocation du grand poète indien tagore. Joseph Le rythme est rapide, la lecture ressemble à un torrent de montagne. Je comprends le thème. Trouver un titre? Le n°3. Déjà forcément, l’extrême courteur (on va dire que ça se dit mdr j’ai mal au crâne je vais pas me prendre la tête avec un mot ^^) m’a fortement séduite ! J’aime aussi l’image de la pâte à modeler, les gourmandises, etc. J'aurais aimé que ce poème continue son exploration des deux premières strophes sur l'écriture et l'autre. Je trouve la connexion avec la deuxième partie du poème un peu faible et peut-être retombe sur une facilité d'écriture. (Noxer) Je crois que je ne peux pas fermer les yeux sur cette voie, c’est terrible ! Merci de partager. Alice.
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| | | Invité / Invité Mar 12 Sep - 21:37 | |
| Alice ! |
| | Nombre de messages : 2068 Âge : 40 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 24/09/2017 | SuperAlice / Adjointe sérénissime à la modération reconnaissante Mar 12 Sep - 21:58 | |
| 4. J’ai triste Original cette rime différente qui se déplace dans la strophe ! C’est super toute cette métaphore du naufrage avec tant d’eau dans laquelle tu/iel se noie ! JAJ ? Ce n’est pas que ce soit peut-être toi qui joue sur mon jugement. Horus Sappho “J’ai triste” -> Les sonorités sont hypnotisantes (cf. “[...] de ton corps/Et encore et encore”), j’aime tout particulièrement cette formule “avoir triste” qui étonne et est, pour moi, tout à fait agréable à l’oreille. De plus, l'anaphore apporte un rythme appréciable. La seule petite chose que je trouve dommage, c’est de ne pas avoir conservé l’hexasyllabe jusqu’au bout du poème (surtout pour quatre vers), cela aurait harmonisé l’ensemble. 5ème place ex aequoJ'ai triste : mon favori. Je le trouve magnifique. Il est simple, court, poignant. Pour moi il coche toutes les cases d'un poème réussi. Première place. Mawu j'aime ce poème tout en tendresse et en fragilité, et ça ne me gène pas que le "j'ai triste" soit repris de elskamp. j'y voit un hommage et non un plagiat, car pour moi la poésie est tradition, réutilisation et transformation, et on n'écrit jamais à partir de rien. Joseph J'apprécie le rythme. Je comprends le thème. Les rimes sont aléatoires. La chute vient tout écraser, elle est évidente là où le reste reste léger, dans une forme d’évocation agréable à la lecture. C’est dommage…Comme si tu ne savais comment le finir, mais que tu t’es sentie obligé de le faire. Parfois il vaut mieux couper avant, au moment où est encore dans l’écriture, plutôt que de laisser s’étirer le propos, et qu’il se casse de lui-même la figure. Constantine J’aime pas bien noter les poèmes tristes. Relou ! Alice. 5. Demain ne reviendra plus Chagrin d’amour travesti en danse, agonie des dieux, regrets. Pas mal ! Et la musicalité aussi. Hathor, dans mes souvenirs, c’est la déesse de la maternité ? Sans amour plus d’enfant oui, mais j’ai l’impression que c’est la même déesse que Amour plus tôt. N’est-ce pas ? Je ne sais pas s’il y a méprise ou pas, si tu as mis ça pour la rime et que tu t’es dit que ça passait Horus Sappho Demain ne reviendra plus : un poème empli de nostalgie, un peu trop par moment, qui a su me toucher malgré quelques passages à vide. Sixième place. Mawu Je ne me suis empêchée de pouvoir trouver ces vers pleins de grâces et de joliesses ornés. La manière dont l’auteur aborde le passé, les tourments sûrement amoureux vécus dans icelui, qui ne reviendront plus, qui se sont égarés et que le présent a chassé ; me plaît. L’emploi du « si » semble indiquer un espoir vain, jamais réellement pu, au moment où l’amour se fane par lui-même, et semble un doux souvenir pour l’âme et une pierre pour le cœur. Les soupirs paraissent épuisés, flétris, abandonnés, et cela pèse sur le cœur, cela se sent, et indirectement, cela est ressenti droit au mien. C’est en effet un sujet de significatif pour moy et d’ailleurs, en ce qui concerne la forme, les rimes sont les bienvenues dans mon appréciation. Voilà donc, pour conclure – quoique peut-être brièvement – un poème fort bien pensé, félicitations. Parfois le rythme trébuche. Je comprends le thème. La dernière strophe n'est pas structurée comme les autres. Poème 5 C’est vraiment trop de pathos d’un coup, on est pas prêt à la lecture à avoir autant, d’un seul coup. On nous attaque de tous les côtés : au-dessus, en-dessous, par derrière, par devant, de profil ! Constantine Demain ne reviendra plus, le n°5. Je sais pas quoi dire, j’aime énormément, le bal des regrets-amants, les espoirs exilés, en croisière, c’est bien sympathoche ! Joli travail ! Merci pour la ponctuation, pour moi c’est vraiment signe d’un texte abouti. Alice 6. Errance Je ressens ce poème, et j’aime ses rimes et sa prononciation. On transforme tout lorsqu’on écrit, surtout lorsque l’on recherche la beauté. Soit ça enfonce soit ça sort. La nuit, c’est particulier, je retrouve ce sentiment dans ton poème, Smooth ? Ce n’est pas que ce soit peut-être toi qui joue sur mon jugement. Horus Sappho “Errance” -> Bravo pour ce poème magnifique, doté d’une plastique très soignée. Les mots sont beaux, bien choisis et l’ensemble tient parfaitement. Le distique est sublime et la rime intérieure ajoute un charme indéniable. Je n’ai relevé aucune fausse note, le style est marquant. 1ère placeErrance : j'aime bien. Il passe pas très loin du j'aime beaucoup mais je trouve certaines tournures trop exagérées pour vraiment être prenantes, ce qui est gagné en effet de manche est perdu en sincérité. Dommage. Septième place. Mawu C’est une histoire de perdition et de recherche qui me touche également. Le.a poète est perdu dans son spleen poétique et implore sa Muse, – selon mon interprétation – avec son « Ô toi... » au vers cinq, et nous déambulons en même temps que cedit poète, dans son affaire fabuleuse. Vrai, nous n’en menons pas plus large que lui et de ses fantasmes, nous – ou plutôt moi-même – en sommes interdits, désorientés, nous recherchons la cause de l'enlèvement de ses charmes, qui terrifient... Il y a un silence de plomb dans l’envers du décor ; et, d’un autre côté, des souffrances, des plaies ruminées, renâclées, une fièvre inénarrable, une folie, des extrémités impossibles, qui bruissent dans son esprit. C’est un poème assez génial et superbe, mes félicitations de même. Les rimes sont présentes. Le rythme un peu trop déséquilibré. Je comprends le thème. Qu’est-ce que tu apportes au lecteur ? Qu’est-ce que tu veux nous dire ? C’est aussi ça la poésie, une ouverture vers soi, et là je n’ai rien senti d’encourageant. Constantine La première place a changé plein de fois, car j’hésitais avec trois poésies en particulier. Finalement, j’ai porté mon choix sur Errance, le poème n°6. Que se soit dans la taille du vers ou du poèmes en lui-même, je préfère en général quand c’est court. En plus, le poème utilise, de façon plutôt fluide je trouve, plein de mots que j’adore utiliser et que je ne croise pas si souvent. Le thème et le propos me parlent vraiment. C’est presque un de ces textes où je me dis « Ouais, on peut pas dire les choses autrement, y a pas de mots mieux que ceux-là ! » Le poète maudit. Bien mené. Alice 7. Quelle métaphore (approprié, par la vue d’une robe moulante) pour parler d’un sujet tabou comme celui-ci ! On ressent bien la détresse de la narratrice (je suppose). J’ai une vague impression d’allitération, ça me plaît ! Bravo ! J’adore ! C’est à la fois original et engagé. « Tel des habits » -> « tels ». Ça s’accorde avec le nom qui le suit. « rendent mes contours cru » -> « crus » Horus Sappho “Des mots un peu trop serrés…” -> Un poème qui véhicule beaucoup d'émotions, on ressent la détresse, l’angoisse, la peur… Toutefois, j’ai été davantage convaincu par le fond que par la forme. Le choix du sonnet est louable, mais je note quelques éléments légèrement dissonants au niveau du rythme (je ne trouve pas que rimer “frêles” avec “coutures” soit tip-top). Peut-être que l’ensemble profiterait d’être un peu fluidifié, avec moins de mots, d'adjectifs ou des mots qui “coulent” mieux. Soit dit en passant, le dernier vers est puissant. Encore une fois j'aime beaucoup. Le rapport au corps et au regard des autres est très bien amené. Il réussit à aborder des thèmes sombres sans tomber dans l'excès. Troisième place. Mawu Le thème est intéressant. Le rythme est inégal. Parfois quelques rimes. Trouver un titre? L’idée se tient, ce qui est dommage c’est l’execution. C’est comme au cinéma, pense à la scène de la douche dans Psychose : ce qui est sous-entendu, esquissé, ou laissé à l’imagination du spectateur, marche beaucoup mieux qu’une scène en plan fixe où on voit tout. Et là c’est un peu le travers dans lequel tu tombes ; à vouloir tout nous montrer, tout nous expliquer, la tension qui aurait dû être présente, le tragique, se perd complètement. Constantine Encore une fois c’était dur de faire un choix. Je classe ici le n°7 ! J’ai beaucoup aimé dérouler le fil des « mots un peu trop serrés » jusqu’à devoir abriter « encor le peu qu’il me reste à cacher ». Tout du long l’image est vraiment bien menée. La terrible scène est vraiment bien décrite. Brrrr le poème qui fait froid dans le dos. Bien joué. Alice
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| | | Invité / Invité Mar 12 Sep - 22:03 | |
| We believe in you |
| | Nombre de messages : 2068 Âge : 40 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 24/09/2017 | SuperAlice / Adjointe sérénissime à la modération reconnaissante Mar 12 Sep - 22:22 | |
| 8. Ans J’aime beaucoup les images complexes. Est-ce bien l’histoire de quelqu’un qui est tellement âgé qu’il a tout dit et tout pensé, exploré de nombreux vices, et veut s’isoler maintenant, plus rien ne l’atteint ? Horus Sappho “Ans” -> Un poème mystérieux, je ne pense pas en avoir saisi toute la subtilité. Mais, c’est plaisant à lire et à relire, les mots ont une fois un sens, une fois un autre sens. Pour ce qui est de la forme, on voit bien qu’elle est négligée, mais c’est assumé, le rythme n’en pâtit pas excessivement. Ans : argggg j'ai eu du mal à le classer celui-là ! D'un côté j'aime beaucoup le rythme et la construction des vers, de l'autre il ne m'a pas parlé du tout sur la thématique et ne m'a pas transporté. Je regrette de le mettre aussi bas dans ma liste mais je n'arrive pas à me justifier de le mettre plus haut. Curieuse de lire d'autres poèmes de l'auteur. Dixième place. Mawu Je ne vois pas quel est le sujet abordé. Rythmes trop différents. Je ne vois pas les liens entre les phrases. Oui ! Ça se tient, il faudrait quelques coupes et resserrer certains passages, mais l’idée est là, le support aussi ! Constantine J’ai longtemps hésité encore avec deux autres ici ! Ans, le n°8 ! Je ne sais pas trop quoi dire, je pense que c’est criant de vérité. Un coup de cœur pour ces vers : « Je fus ce que je n'eus à dire / J'eusse brandi ma raison // Je n'ai de vent, lointain / Que la montée des âges ». J'ai beaucoup aimé la paix de ce poème. (Noxer) 9. Qui parle ? Autour de sonorités qui nous plaisent, on brode. Tu as raison. J’aime tes expressions. Les mots nous entraînent, et tout dépend du vécu et de la perception du lecteur. On ne ressent pas toujours ce que l’on écrit, et lorsque c’est le cas c’est que l’on souffre. J’ai été touchée par ce poème, pourtant c’est assez rare, bien qu’il n’ait pas la forme qui m’est coutumière. « Eux même » -> « eux-mêmes » Ou bien est-ce eux qui creusent, même la feuille ? Beau double sens si c’est le cas. « J’aimerai tant rester » : futur -> « J’aimerais » : conditionnel exprimant ici un désir. Tout dépend si c’est sûr comme futur ou pas. Horus Sappho “Qui parle ?” -> C’est beau, véritablement beau, et même, je dirais, puissamment évocateur. Tout particulièrement ces vers : “Moi qui couds maladroitement/Quelques mots entre eux/Pour édifier mes vers” (coût -> couds ?). Un petit bémol toutefois, j’ai l’impression que ce poème est saturé de questions (qui perdent leur impact car trop nombreuses), ça alourdit et casse un peu le rythme, selon moi. Mais je sais que c’est volontaire et assumé, puisque, d’emblée, le titre est une question ; je suis simplement peu convaincu par cet aspect. 3ème placeQui parle ? : un poème qui pêche par sa longueur. Tous les vers (sans exception) sont intéressants et les images bien trouvées mais la surenchère fait que l'investissement émotionnel s'émousse, raison pour laquelle je le place aussi bas malgré sa qualité. Onzième place. Mawu Le thème de l'incertitude et du questionnement de l'inspiration? Le rythme est trop hétérogène. Pas de rimes. Évidemment Constantine Qui parle ?, le n°9. Suis-je à ma place, c’est une question tellement forte à se poser, tellement touchante. Et ce terrible syndrome de l’imposteur très bien décrit ! Le rapprochement de « mes cris » et « mes écrits » est parfait et les rendre muets est brillant ! Et oui, excellente question, cerveau ou cœur ? Merveilleux poème ! J’aime bien les poèmes du genre. Réflexifs. Alice 10. Si c’est ça, la manière d’évoquer la dévotion religieuse est super. Toutefois rien ne m’a touchée. Très subjectif encore une fois. « et de ce travail, de terre, de pierre, sort des statues… » Ce sont les statues qui sortent non ? Logiquement « sortent » mais je ne sais pas s’il y a un but à cela, musicalement. Tes syllabes n’ont pas l’air de contraindre le restent, mais peut-être une répétition moins agréable serait la conséquence de la modification. « … et de ce silence naît souffles / et voix ténues » Exactement la même chose. « Naissent ? » Horus Sappho “dans la terre, dans la pierre…” -> Le thème abordé est intéressant, l'édification et la chute condensées en un poème m’ont vraiment plu. L’anaphore en “et” est appréciable. Je note le style moderne/libre, qui consiste à ne pas mettre de majuscules en début de vers, c’est moins ma tasse de thé, mais ce n’est pas dérangeant. 5ème place ex aequoJ'ai beaucoup aimé ce poème qui me fait presque plus penser à un chant religieux. Me voilà intriguée. Je l'avais classé sixième à la base, mais en relisant pour commenter il vole la cinquième place. Mawu Le thème est intéressant. Le rythme est inégal. Parfois quelques rimes. Trouver un titre? La forme m’a un peu déroutée au départ. Peut-être que mon oeil s’était habitué à ceux d’avant, avec des rimes, et j’en cherchais ici sans les trouver. Mais j’ai beaucoup aimé ! Ces répétitions, ces lourdeurs volontaires, cette affirmation d’une idée, qui se tient, qui reste, j’y étais avec toi. Constantine Lecture agréable. J’aime « architecture » et la « sculpture » du poème, avec ses temples et statues. J'ai bien aimé, je trouve la fin un peu faible, qui ne va pas au nœud des choses, mais je trouve aussi cet échec touchant. (Noxer) En vrai, j’aurais aimé que ça se finisse mieux. Alice 11. Laissez les morts enterrer leurs morts Histoire morale aux rimes libres plaisantes. J’aime les 5 derniers vers, forts calomnieux, de la strophe de Florian, et le côté mort moral de Nicolas. « bien que sans ambition / le cancer du poumon lu a coupé la chique » -> « bien que sans ambition est-il la contradiction de ce qu’il y avait avant, et ce qui suit est-il lié ? Si c’est à suite de la proposition conjonctive amenée par « bien que » ce devra être au subjonctif, « le cancer du poumon lui ait coupé la chique » mais par le sens je ne pense pas que ce soit le cas. Horus Sappho “Laissez les morts enterrer leurs morts.” -> Tout d’abord, félicitations pour ce poème-fleuve, qui a dû demander un peu de travail, j’imagine. On est transporté dès le début dans cette petite histoire. L’écriture est intime, on se sent proche et c’est agréable, pas de fioritures, le poème a le mérite d’être pragmatique. La forme empiète forcément sur la musicalité, qui souffre d’une plastique plus relâchée, c'est un peu moins à mon goût. J’ai particulièrement aimé ces vers : “un animal nocturne errant dans les ruelles/dans ses délires de gloire et d’éternité/persuadé d’être Nietzsche, Baudelaire ou Jésus Christ”. Mention spéciale pour son originalité« Laissez les morts enterrer leurs morts. » : je suis navrée de dire que je n'ai pas aimé. Je pense qu'en l'occurrence je ne suis pas objective car ça me rappelle le travail et que j'ai eu beaucoup de mal à le lire. En soi, ce malaise est une preuve de la qualité de ta plume et de ton propos. Seizième place. Mawu Un témoignage personnel de plusieurs histoires tragiques. Rythmes aléatoires. Pas de rimes. Peut-être que je suis totalement passé à côté, ça ne serait pas la première fois, mais je n’ai pas trouvé d’intention poétique derrière. J’ai eu le sentiment que tu avais écrit un texte, vite, pour dérouler ta semaine, puis coupé un peu au hasard, de façon symétrique, pour en faire des vers et l’appeler finalement un poème. Constantine « Laissez les morts enterrer leurs morts. », le n°11. Des tranches de vie intéressantes même si c’était très long pour moi qui préfère quand c’est court. Plutôt bien aimé. J'aime beaucoup cette littérature de portraits. Peut-être l'écriture est un poil trop précieuse par moments sur des rimes un peu forcées ! (Noxer) J’aime bien la « simplicité » et la sincérité qui sort du texte. Alice |
| | Nombre de messages : 2068 Âge : 40 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 24/09/2017 | SuperAlice / Adjointe sérénissime à la modération reconnaissante Mar 12 Sep - 22:33 | |
| 12. Cœur de Saint Jacques
“Coeur de Saint Jacques” -> C’est beau, c’est original. Le rythme est maîtrisé, la forme soignée (peut-être que garder le même type de vers du début à la fin aurait été d’autant mieux). Seule petite chose, je suis dubitatif pour “magnifique nacre”, le hiatus coupe un peu la lecture
Coeur de Saint Jacques : j'adore les Saint-Jacques et je trouve le thème ambitieux. Pour autant le poème ne m'a pas convaincu, il y a trop d'irrégularités dans les images. Le poème aurait gagné à se défaire de ses vers les plus faibles. Quinzième place. Mawu
Voilà un poème aux assonances fort prononcées, ici, le « C » vogue en avant, sa coque sur les flots. J’y vois une espèce de naissance de la déesse de l’Amour, cette Aphrodite, Vénus, Cypris, ou qu’importe comment nous la nommerons, qui émergeait depuis l’écume de l’Océan, et Botticelli en est un témoignage assez frappant. La beauté de son teint nacré, opale, la douceur ; semble triompher sur les mystères, les brigues et toutes brusqueries et viles cicatrices qui fleuraient méchamment avant cette doucereuse apparition. C’est un poème d’une invention ravissante et dont les associations persuasives tentent plus qu’amplement. Mes félicitations.
Un thème abordé sous forme de métaphore? Le rythme est erratique. Quelques rimes éparses.
Absolument pas le style de poésie qui me parle, donc difficile de la commenter… Constantine
Cœur de Saint Jacques. En vrai, il est très bien mais je ne trouve absolument rien à dire dessus, et pourtant c’est pas faute d’avoir essayé ! C’est très sombre et d’une profondeur océanique ! ^^
Bien mené ! Comme j’ai dit plus haut, je suis vraiment partisane des poèmes ponctués, je sais que c’est difficile de le faire parfois… Joli travail ! Alice
13. Le levé du soleil
C’est léger, c’est beau, c’est bien trouvé, de belles images, de belles rimes. Un bel effet avec le vers qui revient.
A moins que tu parles du levé du verre, ce qui est très probable, « lever du soleil » s’écrit ainsi. « Il voudrait rester coucher » -> « couché » « Si par malheur tu l’a manqué » -> « tu l’as » « lèves-tôt » -> Quand c’est un mot composé c’est le deuxième qui prend l’accord, mais ici « tôt » est invariable, donc « lève-tôt » aussi. Horus Sappho
“Le levé du soleil” -> Honnête poème, que je trouve très amusant. Ce mélange de couleurs est plaisant, et l’image d’un vent qui vient laver et de nuages qui viennent éponger est bien trouvée. Il faut, cependant, essayer de soigner l’orthographe du mieux possible car cela entache ce ciel coloré.
j'adore ce poème espiègle et fruité. on pense à prévert ou à queneau, et peut-être aussi à ponge. Joseph
Le thème est clairement visible. Les rythmes sont inégaux. Quelques bonnes idées.
On est à la limite du troll mais c’est mignon et bien fait alors je respecte. Constantine
En troisième position donc le troisième que j’ai hésité à mettre en première place, Le levé du soleil, le n°13 ! J’avoue que pour me départager j’ai dû ajouter un petit critère en plus de l’effet que m’a procuré le poème, sinon je n’arrivais vraiment pas à me décider. Ce sont des petites coquilles dans l’orthographe qui ont pris la décision à ma place. J’ai adoré ce cocktail de saveur, de couleurs, de fraîcheur, de légèreté, et moi, je n’avais pas envie de dire « Au revoir le joli mélange / Rouge, rose, jaune et orange » ! C’est le genre de poème qui illumine une de mes journées aussi bien que le soleil !
Mignonne petite histoire ! On en a trop peu du style en poésie. Alice
Dernière édition par SuperAlice le Mer 13 Sep - 12:03, édité 1 fois |
| | Nombre de messages : 2068 Âge : 40 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 24/09/2017 | SuperAlice / Adjointe sérénissime à la modération reconnaissante Mar 12 Sep - 22:51 | |
| 14. Le masque de l’apothéose (?)
Ce n’est vraiment pas habituel pour moi de lire ce genre de configuration !
Parles-tu bien des pensées tordues incompréhensibles qui viennent la nuit, et que l’on ne peut vraiment retranscrire en mots ? C’est assez vague.
J’aime beaucoup l’inversion d’une phrase toute faire avec « Les sens perdirent tous leurs mots ». Mais je trouve la seconde partie un peu décousue.
« De la mêlée de ces ombres ancestrales / Partît la marche de la parole interdite » Ce n’est pas du subjonctif, c’est bien du passé simple, n’est-ce pas ? Dans ce cas : « Partit ». Horus Sappho
“Le masque de l’apothéose” -> Un style que j’aime tout particulièrement. On ressent la maîtrise, c’est convaincant. Certains tropes m’ont vraiment séduit, (cf. inversion “sens”/”mots”). C’est puissant et évocateur. En étant exigeant, je dirais que ça manque un peu de musicalité, que l’on perd en l’absence de rimes. 2ème place
Le masque de l’apothéose : un poème bien construit. Les images sont suffisamment belles pour que l'absence de vers ne me choque pas mais pas assez pour en devenir émouvante. Je ne lui trouve pas vraiment de défauts mais pas non plus de qualité qui le ferait se démarquer. Paradoxalement c'est pour cela que je le place si bas : il ne me marque pas en un sens ou en l'autre. Treizième place. Mawu
Je ne vois pas quel est le sujet abordé. Rythmes trop différents. Je ne vois pas les liens entre les phrases.
Un beau mélange de plein de choses, mais je m’y perds un peu. J’ai l’impression de me retrouver devant plein de tableaux, beaux, cohérents dans leur singularité, mais qui n’arrivent absolument pas à former un ensemble lisible. Constantine
Le masque de l’apothéose, le n°14. Il est agréable à la lecture et à la vue, avec le motif que crée la disposition de chaque vers.
Là on sent le professionnalisme, il faudra d’ailleurs expliquer aux camarades comment on fait le codage pour avoir ce genre de résultats ! Joli travail. Petite histoire bien menée. Alice
15. La colombe et la rose
J’aime beaucoup les deux premières strophes très poétiques. J’ai du mal à comprendre le but de la fin, pousser les gens à agir par eux-mêmes et pas en masse ? D’accord, c’est bien.
« S’aventurent les miens » les enfants ? Sinon on ne comprend pas autre chose. Horus Sappho
“La colombe et la rose” -> Le poème est, dans sa forme, sublime, le style fait preuve d’une grande élégance. Pour ce qui est du fond, j’aime bien, pas à la hauteur de la forme, mais c’est très honnête.
La colombe et la rose : j'aime le principe derrière le poème mais pas sa réalisation. Au final, les vers très lourds desservent le propos : on a du mal à être transporté. Et pourtant qu'il serait plaisant d'ouvrir les bras aux colombes ! Quatrième place. Mawu
On enfile un peu des perles ! C’est dommage, on sent que tu y as mis un certain travail et une réflexion pour agencer le tout. Mais c’est trop grandiloquent ou cliché pour que j’accroche. Constantine
La colombe et la rose, le n°15. J’aime ce rêve de colombe à l’éclat opalin, plein d’espoir, d’attentes, etc.
Il y a vraiment de jolis passages, Joli travail et bien mené. Alice
16.
Que dire ? « Tout me semble si neuf, si frais » est approprié.
J’adore ! Les rimes, la manière dont tu agences ! La petite allitération aussi… Horus Sappho
“Un nuage s’émiette, au loin.” -> J’aime bien le premier vers, le reste est beaucoup moins mémorable.
Simple mais raffiné, efficace mais sans prétention, court mais pas de la merde. J'aime beaucoup. Il mérite un câlin. Quatrième place. Mawu
ce petit poème mystérieux et profond m'évoque quelque bibelot d'inanité sonore, ou pourquoi pas une bagatelle de webern ou un haïku sonore de cage. c'est très habilement fait et ouvre de larges étendues mentales à partir de peu de mots, un peu comme les poèmes de paul auster des années 70. Joseph
Le thème du regret? Quelques rimes éparses. Un rythme aléatoire. Trouver un titre?
Le meilleur pour la fin visiblement ! Merci ! Constantine
En second, l’un des trois poème que j’ai hésité à mettre en première position, le n°16. On voit bien ma préférence pour le court ! J’ai beaucoup aimé les derniers vers avec la sentence « et le vent qui balaie, / balaye / pousières / ce qui n’a pas été. ». Après, je me demande si j’aurais pas encore mieux aimé l’effet s’il y avait eu moins souvent des points en fin de vers.
J'ai bien aimé l'irruption dans le poème de son impossibilité. (Noxer)
Je lis à chaque fois : balaye puis balaie, c’est bizarre. J’aime l’abeille, moins le trait. Alice
17.
C’est quand même agréable à lire à la sonorité. Je n’ai lu qu’un poème en prose (Francis Ponge) jusqu’à toi. « nature rebelle et parle de cet autre temps plein où aucune gloire ne s'offre à ceux qui n'ont pour seul droit que celui de crier et crient ! » C’est ce qui m’a touchée.
Tu transmets leurs émotions en plus d’une histoire, c’est engagé et ça percute. Horus Sappho
“Ô quelle immoralité que cette sentence !” -> Un poème qui se défend bien. Le premier vers presque apophtegmatique est notable. Je suis moins attiré par les vers libres, mais ils sont bien tournés.
Une poésie en prose assez intéressante. Je trouve les images belles et les phrases bien faites. Cependant le thème et ses enjeux me laissent froide. Douzième place. Mawu
Je ne vois pas quel est le sujet abordé. Successions de phrases plutôt que poésie? Je ne vois pas les liens entre les phrases.
Merci la gueuse ! Tu es un laideron, mais tu es bien bonne ! Constantine
Court et efficace.
Je trouve courageux d’avoir choisi la prose, franchement j’ai hésité !! On aurait été deux. Alice
Dernière édition par SuperAlice le Mer 13 Sep - 12:02, édité 1 fois |
| | Nombre de messages : 2068 Âge : 40 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 24/09/2017 | SuperAlice / Adjointe sérénissime à la modération reconnaissante Mer 13 Sep - 0:37 | |
| J’ai mis les résultats au début ! Et mon petit mot d’excuse. |
| | Nombre de messages : 538 Âge : 30 Localisation : Angers Pensée du jour : Ça scribouille ou ça vibe ? Moi j'fous pas grand chose ~ Date d'inscription : 15/05/2023 | Smooth / Dactyloraptor Mer 13 Sep - 8:37 | |
| Merci pour tout ce travail d'orga Alice 6 en 6, Impec, bien rangé à ma place eheh Bravo à tous.tes pour votre participation ! Et vivement que le thème soit énoncé par notre 3 vainqueur ! |
| | Nombre de messages : 2068 Âge : 40 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 24/09/2017 | SuperAlice / Adjointe sérénissime à la modération reconnaissante Mer 13 Sep - 8:43 | |
| De rien, la prochaine fois je ferai une présentation plus propre, j'hésite à remettre les poèmes en visuel. |
| | Nombre de messages : 1126 Âge : 51 Localisation : Paris 20 Date d'inscription : 04/08/2022 | josephcurwan / Effleure du mal Mer 13 Sep - 11:03 | |
| 1. alice, je ne comprends pas pourquoi mes commentaires ne sont pas signés ...
2. moins que le classement, c'est les commentaires qui sont intéressants. ils en disent souvent plus sur leurs auteurices que sur le poème dont il est question.
3. mon poème est le 11, bien sûr (mon pseudo est dedans, suis désolé si cela en a gêné certains...)
4. mon auto commentaire (et j'aimerais bien que les autres poètes en fasse aussi un, pour s'expliquer un peu...)
Hello,
j'ai écrit ce poème le 30 aout de 17h30 à 1h du matin environ, avec la pause diner de 45mnvers 19h30, d'abord au crayon à papier sur feuille blanche a4, puis tapé et corrigé sur ordi.
j'ai consommé une bouteille de rosé lors de l'écriture et fumé ma vapoteuse.
l'idée de vers alexandrins blancs, pas rimés systématiquement, vient de poètes du début 20ème, comme apollinaire ou supervielle ou encore reverdy. le thème du poème se rapproche un peu du testament de villon, et je crois que le côté drôlatique et anecdotique me vient de georges perros.
je crois que le poème oscille entre plusieurs émotions, allant de la mélancolie au tragicomique, en passant par le regret et la nostalgie et pour finir la gratitude.
amicalement joseph
5. bravo à tous et toutes et merci pour cet échange, qui aurait été impossible sur un réseau social type facebook, et qui reste particulier aux forums old school.
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| | Nombre de messages : 241 Âge : 26 Date d'inscription : 23/10/2022 | Ozone / Autostoppeur galactique Mer 13 Sep - 11:11 | |
| C'est vraiment un beau concours, les commentaires sont tous intéressants et permettent la relecture sous différents angles. |
| | Nombre de messages : 2068 Âge : 40 Localisation : Toulouse Date d'inscription : 24/09/2017 | SuperAlice / Adjointe sérénissime à la modération reconnaissante Mer 13 Sep - 12:11 | |
| J'ai ajouté le prénom Joseph sous les commentaires qui me semblait être ceux de Joseph. Je ne l'avais pas fait parce quand je me suis retrouvée en pratique à vous faire des copiés collés aller retour boîte messagerie rectangle topic résultat, entrer sortir cliquer : j'ai pris des sueurs, un truc m'attrapait le ventre, mes poumons se bloquaient ; pas du stress, de l'embêtement. C'était atroce... Je me rends compte que je suis une femme de terrain, ça, cet exercice, c'était une méga épreuve de laquelle je voulais me sortir au plus vite. La prochaine fois ce sera autre chose. |
| | Nombre de messages : 3776 Âge : 26 Date d'inscription : 15/11/2015 | Noxer / Au nom de l'Abeille – Et du Papillon – Et de la Brise – Amen ! Mer 13 Sep - 12:17 | |
| Mon classement est bien différent de celui final !
Pour les commentaires, c'est une plaie de rajouter les pseudo, il vaut mieux signer soi même chaque commentaire lors de l'envoi. |
| | Nombre de messages : 3776 Âge : 26 Date d'inscription : 15/11/2015 | Noxer / Au nom de l'Abeille – Et du Papillon – Et de la Brise – Amen ! Mer 13 Sep - 12:17 | |
| Mon classement est bien différent de celui final !
Pour les commentaires, c'est une plaie de rajouter les pseudo, il vaut mieux signer soi même chaque commentaire lors de l'envoi. |
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