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 Vaut-il le coup d'écrire des "dead genres" ?

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hodobema
   
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hodobema  /  Six-Cent-Team


Hello,

Comme vous avez pu le remarquer, certaines genres littéraires meurent avec le temps, c'est-à-dire qu'ils ne se vendent plus et par conséquent, ne se publient plus. Comme la dystopie, l'urban fantasy, la fantasy paranormal, le steampunk, les voyages dans le temps (bon c'est pas moi qui le dis, c'est ce site)
Moi, je me le demande : Faut-il persister à écrire ces genres parce que ça sort de nos tripes, qu'on ne le choisit pas forcément, ou bien faut-il être un peu plus malin et écrire des genres qui se vendent ?

Je dis ça parce que j'écris mon quatrième roman dystopique et franchement je démoralise un peu de voir que ça ne se lit pas. Peut-être que je devrais plutôt retravailler ma romantasy qui se vendrait un peu mieux ? scratch (romantasy que j'ai complètement abandonnée après le premier jet)

Oui, j'ai besoin d'être rassurée Laughing

Vous allez me dire "écris ce qui te plait" oui mais quand t'es à ton 6eme bouquin sans qu'aucun ne soit publié, ça devient plombant à force. J'ai envie d'être lue aussi quoi.
 
Mika
   
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Mika  /  Tentatrice chauve


Mais oui, il faut écrire des dead genres. En plus, c'est n'importe quoi ces articles sur les dead genres, moi ça me donne juste envie de m'y plonger. C'est peut-être en lisant ces trucs-là que j'ai inclus des Elfes et des Nains dans ma fantasy et que je suis partie sur de la hard fantasy à la Trône de Fer. Tanpis si ce genre est dénigré par certains en France et qu'on dise qu'il n'est plus à la mode (vu le succès des séries fantasy américaines et des séries de bande-dessinées franco-belges, est-ce même réellement le cas que ces genres sont morts ? Moi j'en doute, c'est juste qu'ils ne sont pas prisés par les éditeurs de romans, en France du moins). Je pense qu'il y aura toujours un public cible pour les livres qu'on aime. Et les modes évoluent...

Mais rien ne t'empêche de t'essayer à un genre plus à la mode pour voir. Pas besoin de t'acharner à écrire une dystopie, si tu as des idées plus tendances pour toucher un autre public. 

Le soucis avec le fait de suivre les modes, c'est qu'il y a plus de concurrence et il est donc plus difficile de s'imposer comme auteur phare de ce genre, voire de le renouveler.

Au final, le plus important est de prendre plaisir à l'écriture, surtout si tu n'en vis pas.
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Tengaar
   
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Tengaar  /  (de Dunkerque)


Par contre, attention, le concept de dead genre est souvent associé au YA pour lequel les tendances tournent bien plus vite. Mais il n'y a qu'à aller dans la librairie la plus proche pour constater par exemple que la bitlit est morte, que le thriller scandinave est moins proéminent et que le feel good est désormais plus porté sur le cozy mystery.

On peut tout écrire, il suffit d'écrire qq chose de si neuf qu'il relance le genre :mrgreen:
 
Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


C'est cyclique... effectivement en ce moment c'est Romantasy et cosy mystery à fond.
La dystopie a connu son boom avec Hunger games et Divergente ; mais je suis sûre que ça reviendra. Faut juste s'adapter à son époque. La dystopie en mode cauchemar numérique (façon Black Mirror) à mon avis c'est dans l'air du temps, par exemple.
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Chimère
   
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Chimère  /  Constamment Fabulous


L'Urban Fantasy et le Steampunk ne se vendent plus ? Ha bon, première nouvelle. Il est pas un peu aux fraises, ce site ? 8D

Plus sérieusement, ma réponse sera immédiatement et indubitablement "oui, il faut continuer d'écrire des dead genres". Pourquoi ? Car :

- Ça peut toujours revenir à la mode, et en force (dans le domaine du divertissement, la moindre étincelle fait feu de tout bois)
- Ne plus écrire de dead genres, c'est accepter un conformisme appauvrissant, un moule définit par les autres, lisse et sans surprise, et une dégradation du patrimoine culturel, artistique, imaginaire...
- Il y a toujours un public pour les dead genres, même s'il faut le trouver, même si c'est une population plus silencieuse.
- Taire les projets qui nous plaisent le plus, qui nous prennent aux tripes, et se restreindre à des trucs commerciaux, c'est la meilleure formule pour se tuer un peu l'âme et intoxiquer sa créativité, lentement mais sûrement.
- Plutôt mourir que de vivre dans une sphère littéraire uniquement meublée par les machins bourrés de clichés qui visent plutôt la culotte que les neurones de leur lectorat, entre autres.

Bien sûr, ce n'est pas simple et c'est frustrant. Mais, régulièrement, on voit surgir de petits ovnis littéraires qui appartiennent à des genres peu, pas ou plus très reconnus, et qui suscitent l'intérêt voire remportent un joli succès. Le monde du livre est en mouvance perpétuelle, les modes et autres trends sont souvent fulgurants, exploités jusqu'à la lie, avant de retomber. Rien n'est jamais vraiment mort.
Et puis, surtout, écrire, pour la plupart des gens, c'est croire à son projet, c'est être la première personne à se séduire avec l'histoire qu'on raconte. Dans l'absolu, je pense que je pourrais écrire des trucs uniquement calibrés commercial, mais je n'y crois pas, je n'en ai pas la moindre envie, ça ne me porte pas. Et je le vis très bien.
Continue à écrire tes dystopies. Et tu verras bien.
 
hodobema
   
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hodobema  /  Six-Cent-Team


Citation :
Mais rien ne t'empêche de t'essayer à un genre plus à la mode pour voir. Pas besoin de t'acharner à écrire une dystopie, si tu as des idées plus tendances pour toucher un autre public.
Justement, j'arrive pas à écrire autre chose que de la dystopie Crying or Very sad avant, j'écrivais de la fantasy parce que j'en lisais beaucoup mais avec du recul, je suis très mauvaise à ça Laughing J'ai essayé du polar/thriller, je n'ai écrit que 2 chapitres. Alors que la dystopie, ça coule de source, j'ai toujours de l'inspi pour mille histoires. Donc ça m'inquiète un peu d'apprendre que c'est un dead genre

Citation :

On peut tout écrire, il suffit d'écrire qq chose de si neuf qu'il relance le genre :mrgreen:
C'est compliqué de révolutionner un genre ! Je ne pense pas avoir le cerveau pour Laughing En plus, je m'inspire beaucoup des vieilles dystopies écrites durant la première moitié du 20eme siècle donc je suis plutôt vieux jeu

Citation :
La dystopie en mode cauchemar numérique (façon Black Mirror) à mon avis c'est dans l'air du temps, par exemple.
Hélas, j'écris pas ce genre de dystopie Laughing J'écris plutôt à l'ancienne, à la 1984
Je crois que je suis encore plus démodée que ce que je pense Laughing

Citation :
Taire les projets qui nous plaisent le plus, qui nous prennent aux tripes, et se restreindre à des trucs commerciaux, c'est la meilleure formule pour se tuer un peu l'âme et intoxiquer sa créativité, lentement mais sûrement.
- Plutôt mourir que de vivre dans une sphère littéraire uniquement meublée par les machins bourrés de clichés qui visent plutôt la culotte que les neurones de leur lectorat, entre autres.
Je suis tout à fait d'accord. Certes, la littérature est un divertissement mais c'est avant tout un art et l'art a toujours fait passer des messages politiques, que ce soit la littérature, la peinture, etc. Et je trouve ça dommage qu'aujourd'hui, tout ce qui est "sérieux" ne fonctionne plus. Je comprends qu'avec le covid, les guerres, le réchauffement climatique etc on ait envie de se remonter le moral avec une bonne romance ou que sais-je, mais je trouve que c'est important de perpétuer la politisation de la littérature
 
Plumerose
   
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Plumerose  /  Roberto Bel-Agneau


Bah, je pense qu'on écrit avant tout "avec nos tripes", et je ne sais pas si ça te rassure, HODOBEMA, mais j'ai deux dystopies qui me semblent aussi être du genre "1984" et une 3ème en cours (mise de côté pour un temps indéterminé because concours Fyctia (où là, se joue justement ce qui est "dans l'air du temps) et que j'ai hâte, mais tellement hâte de reprendre).

J'en ai envoyé une seule à quelques ME (très peu, de mémoire trois, dont l'Atalante... : autant dire que les chances sont plus que maigres...  Vaut-il le coup d'écrire des "dead genres" ? 1f605  mais je persiste dans la dystopie.  Vaut-il le coup d'écrire des "dead genres" ? 1f606 )

En fait, je pense que le mieux, c'est de diversifier : accepter d'écrire "dans l'air du temps", et aussi ce qui sort de nous sans crier gare (pour ma part, les dystopies, donc... ).

ALTER REAL en publie, tu as essayé chez eux ?
 
RitaMartins
   
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Honnêtement, je ne suis pas sûre qu'il faille vraiment se soucier du "dead genre".
Il y des effets de mode, certes, mais une bonne histoire reste une bonne histoire.
Ces modes sont cycliques, et qui sait, peut-être que c'est un de tes romans qui relancera l'un de ces "dead genres" (ou de façon plus réaliste, qu'il trouvera sa place dans un retour à la mode de l'un d'eux).

Tu te soucies particulièrement de la dystopie, et OK, il y a eu une période creuse dans ce genre depuis les Hunger Games etc, mais je pense sincèrement qu'il revient peu à peu sur le devant de la scène. Black Mirror va ressortir une saison après des années d'absence, Lightlark d'Alex Aster est partout, Fourth Wing de Rebecca Yarros s'annonce déjà comme un succès. Pas de raison de s'inquiéter selon moi.

Et pour revenir sur la "littérature sérieuse", message politique et divertissement ne sont pas forcément incompatibles, reste "juste" à trouver le bon équilibre Laughing
 
hodobema
   
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hodobema  /  Six-Cent-Team


Oui, j'ai pensé à toi PlumeRose en postant ce topic, parce que je savais que tu écrivais des dystopies Very Happy

Citation :
En fait, je pense que le mieux, c'est de diversifier : accepter d'écrire "dans l'air du temps", et aussi ce qui sort de nous sans crier gare (pour ma part, les dystopies, donc... ).
Après c'est difficile je trouve de se diversifier. Fin moi, c'est vraiment me forcer. Et écrire un roman entier, c'est quand même minimum 50k mots, ça me parait énorme dans un genre qui ne m'attire pas plus que ça.

Citation :
Ces modes sont cycliques, et qui sait, peut-être que c'est un de tes romans qui relancera l'un de ces "dead genres"
Oui bon j'ai des doutes là Laughing

Citation :
mais je pense sincèrement qu'il revient peu à peu sur le devant de la scène. Black Mirror va ressortir une saison après des années d'absence, Lightlark d'Alex Aster est partout, Fourth Wing de Rebecca Yarros s'annonce déjà comme un succès. Pas de raison de s'inquiéter selon moi.
Merci ! Ca me rassure beaucoup ce que tu dis

EDIT : Oui j'ai envoyé Viridia à Alter Real le 14 juin ,mais je ne me fais pas d'illusions, apparemment ils ne prennent qu'avec de la romance


Dernière édition par hodobema le Lun 26 Juin 2023 - 14:25, édité 1 fois
 
josephcurwan
   
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josephcurwan  /  Effleure du mal


très intéressant, ce topic.

je découvre un monde que je ne soupçonnais pas, ou presque.
 
Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


Il y a aussi la série SILO adaptée des romans eponymes.
C'est vraiment bien, c'est de la dystopie pure et ça fait le buzz en ce moment !
https://linktr.ee/emilie_goudin.lopez
 
Azaby
   
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Azaby  /  Tentatrice chauve


Je fais le même constat que toi : il y a une certaine "injustice" dans la mise en avant de certains genres au détriment d'autres.

Malheureusement ça n'est qu'un découlement marketing logique, puisqu'on parle avant tout d'un marché.

À titre personnel, en dehors de l'exercice de commande (pour des projets qui, même là, doivent entrer en résonnance avec ce que j'aime créer), je ne me pose jamais la question de ce qui se vendra ou de ce qui se publiera.

C'est peut-être pour ça que j'ai enchaîné quelques échecs éditoriaux aussi aha.

Mais même en maîtrisant les subtilités du marché et en s'y pliant, rien ne garantit un succès, et c'est toujours douloureux de voir un de ses romans fétiches bider alors que d'autres fonctionnent bien mieux sans qu'on y voie de raison.

Si ça peut te rassurer, la dystopie se vend toujours bien, j'ai plein d'amis dont c'est quasiment le seul registre de publication. Elle n'est peut être plus à son âge d'or, comme il y a quelques années, mais elle n'est pas boudée des éditeurs !

La difficulté, c'est qu'il faut persévérer, même lorsque ça ne fonctionne pas. Mais un texte écrit sous contrainte marketing (en tout cas, avant que tu aies acquis une certaine expérience) aura du mal à être de même qualité, et à t'offrir un même épanouissement... que celui qui viendra de "tes tripes" comme dit plus haut !
 
hodobema
   
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hodobema  /  Six-Cent-Team


Oui tu as raison. Franchement, je pourrais pas écrire sous contrainte... Je n'en retirai aucun plaisir, ça me ferait juste du mal.
Ca me rassure ce que vous dites, que la dystopie marche toujours ! Oui, il faut persévérer, y a pas de secret... C'est juste difficile, au bout d'un moment, d'avoir l'impression d'écrire "pour rien" parce que tu ne trouves pas de lecteurs. Mais je pense qu'il suffit de bien chercher pour en trouver
 
Page de Bâtons
   
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Page de Bâtons  /  Roland curieux


Je pense que j’aurais une position un peu plus nuancée que le reste. Dans ton cas, puisque tu dis que c’est le seul genre qui te plaît à écrire… oui, clairement, continue dessus. Ça sert à rien de se forcer à écrire dans un genre qui nous plait pas/qu’on arrive pas à écrire ; déjà probablement que ça se sentira au résultat, et ensuite, le milieu de l’écriture est déjà suffisamment douloureux pour pas rajouter encore de la souffrance Laughing

Ceci étant dit, si tu avais un peu plus de flexibilité sur ce que tu aimes écrire ET que ton objectif était la publication en maison d’édition (ou de bien vendre en auto-édition)… dans ce cas je dirais qu’il est important de rester à l’écoute du marché, de ce qui se vend et de ce qui ne se vend pas. Pas forcément pour y aller full commercial à cocher toutes les cases des tropes du moment, mais pour peut-être, entre plusieurs projets ou idées qui nous parlent, partir sur celle qui vendrait le mieux.

Toutefois, pour nuancer ma nuance (lol), le problème des genres c’est que, comme Elopez et les autres disent, c’est cyclique : on peut très bien se lancer aujourd’hui dans la rédaction d’une Romantasy fantasy maritime ennemies-to-lovers dans un univers qui n'est pas medieval européen (je coche les cases du moment Laughing )… et au moment de l’envoyer en soumission, la mode est passée, et plus personne n’en veut, ou bien le marché est saturé et ça vend moins. Donc on se fait chier à suivre les tendances… et on rate le coche de la suivante. Car entre le temps de l’écriture et celui de la publication… les tropes et les modes évoluent.

Deuxième nuance : si tu arrives à attirer l’attention (que ce soit parce que tu as vraiment un roman incroyable qui provoque un coup de cœur de l’espace à un éditeur, ou alors que tu es très populaire sur les réseaux sociaux, ou que sais-je encore), tu pourras publier dans un « dead genre ». J’ai envie de dire : Margot Dessenne. Donc ça peut être une stratégie de trouver un moyen annexe de convaincre un éditeur de publier son roman dans un genre qui vend moins.

Pour moi, il faut trouver plutôt un équilibre entre ce que l’on veut écrire (qui nous intéresse, qu’on maitrise, qui nous plait), les réalités du marchés (oui le steampunk vend peu et ce de manière constante ; oui la romance vend bien et ce de manière constante), sans tomber dans le piège d’un cahier des charges qui peut se révéler rapidement dépassé. Bref, ne pas être aveugle et naïf, et choisir en connaissance de cause ; mais en soi, tout peut théoriquement fonctionner (et tout peut théoriquement échouer). Smile


Dernière édition par Page de Bâtons le Lun 26 Juin 2023 - 15:31, édité 1 fois
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Tengaar  /  (de Dunkerque)


Il ne faut pas écrire dans la tendance d'aujourd'hui, il faut écrire dans la tendance de demain.
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 Vaut-il le coup d'écrire des "dead genres" ?

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