FICHE TECHNIQUE
Titre : L'Épée Sans Nom
Auteur : Frédéric Demagny
Type: roman
Genre : fantastique / historique

Éditeur : AngelCorp
Nombre de pages : 208
Dimensions : 150x210mm
Disponibilité : le shop de mon éditeur, en commande dans toutes les bonnes librairies, sur les salons auxquels je ou mon éditeur participe.

Quatrième de couverture :
Soissons, Vème siècle
L'ultime lambeau de l'empire romain lutte contre les assauts des Francs.
Kyria a dix ans. Ses parents sont partis à la guerre et ne sont pas revenus. La petite fille, adoptée par une famille romaine, range ses glaives de bois et devient Clara.
Envoyé commbattre les hordes barbares, Lucius, son époux, ramène de la guerre une immense épée douée d'une volonté propre qui ne se réclame qu'une chose : Quel est mon nom ?
Clara est prête à tout pour protéger sa famille. Kyria, la valeureuse guerrière qui sommeille en elle, se saisit de l'arme, dans l'espoir de survivre au flot de l'histoire et à la marée magique qui l'accompagne.

Je n'arrive pas vraiment à choisir un extrait pour l'instant. Disons que, le jour où on m'aura répété "j'adore ce passage", je le partagerai ici.

Enfin, je suis ravi de pouvoir partager avec vous la sortie de ce premier roman avec les JE. Avant même de me lancer dans la recherche d'éditeur, avant même de m’inscrire sur ce forum, je le consultais pour être prêt pour ce moment, éviter les pièges... et désormais je serai ravi de partager ma propre expérience pour qu'elle profite à d'autres comme j'ai pu en profiter.

Félicitations !! Bonne route à ton roman

D'abord, merci Aliénor.

Ensuite, j'avais envie de partager le parcours de ce livre jusqu'à sa publication. Nous partageons tous dans différents sujets à travers ce forum, toutes nos expériences, parfois par bribes ici ou là selon le sujet. Je me permets donc de relater comment j'ai fini par réaliser ce rêve.

Je pense que cela permettra surtout à des nouveaux, ceux qui se lancent pour la première fois dans la recherche d'un éditeur, de découvrir un sentier déjà arpenté, pour comprendre combien il peut être long.

Je rajouterai aussi en préambule que je n'ai jamais désespéré pendant ces longs mois. Je pouvais parfois être déçu quand une maison qui me tentait beaucoup (pas forcément les plus grosses) me disait non. Mais je savais que le fameux "oui" tant désiré est un oiseau rare. Ça, je l'ai vraiment appris ici. Merci les JE !

Si vous voulez discuter de certaines parties, je suis prêt à répondre aux questions.

***

Sortir ce livre, quelle histoire ! Il a passé près de douze ans dans un tiroir avant que je le ressorte pour le retravailler. A l’origine, j’étais persuadé qu’il fallait que ce soit un gros roman en trois parties, en trois époques différentes, avec une étape tous les 800 ans à peu près, où je développerais le système que j’avais en tête. J’ai bloqué dès le début de la 2e partie.

Mais la première partie était écrite, j’en étais très content à l’époque mais on me disait que ça nécessitait encore du travail et je n’avais pas le temps, il fallait que je passe à la 2e… Donc, j’ai bloqué, je suis passé à autre chose dans ma vie, pour vivre de ma plume différemment en attendant que les choses se débloquent (bien sûr, comme un idiot, j’ai cru que ça allait se débloquer tout seul, sans travailler dessus).

En 2018/2019, j’ai recommencé à écrire de la fiction, des débuts de roman, des nouvelles. Mais j’avais encore ce roman dans ma tête. Je crois que je n’ai jamais cessé d’y penser mais sans savoir par quel côté le prendre pour en venir à bout, l’améliorer. Début 2021, je me suis dit que je devais définitivement abandonner les deux parties pour lesquelles je n’avais plus d’idée pour tenter de tirer un « petit » roman au moins avec la première partie. Et surtout, j’avais une idée pour améliorer celle-là : un nouveau personnage, une femme, qui est venu sauver mon roman.

En quatre mois, j’ai utilisé tout mon temps libre (alors que j’ai deux jobs, un ménage, deux enfants…) pour retravailler mon manuscrit de fond en comble. Franchement, j’aurais aimé foutre des tartes à l’ancien moi tellement certaines parties étaient tartes, ne tenaient pas debout, ou parce qu’il en faisait des tartines avec des figures de style outrancières. J’avais l’objectif d’être publié en 2021, donc il fallait que j’ai terminé au début du second semestre 2021 pour avoir une chance que mon plan fonctionne. J’ai compris depuis que j’étais un peu trop optimiste, pas encore bien au courant du fonctionnement de l’édition, mais ça m’a tout de même motivé pour ne pas m’arrêter dans mon élan.

Après une phase de bêta-lecture, les premiers retours de mes lecteur.rice.s m’ont donné confiance, j’ai lancé les démarches auprès des éditeurs. D’abord, les plus grosses maisons d’édition, celles qui figurent dans ma bibliothèque et qui travaillent avec le genre de mon roman. Je privilégie exclusivement les ME qui demandent un envoi électronique. 27 juillet 2021, premier vague d’envoi. Je fais sept soumissions de manuscrit en une journée grâce au site Lisez.com, de Fleuve à Presses de la Cité en passant par Plon et Robert Laffont. Chaque fois, je dois retravailler mon résumé ou synopsis car chaque maison réclame un texte d’une taille différente. Épuisant. Et sur ces sept maisons, je n’ai reçu pus tard que trois réponses, négatives, bien sûr, entre deux semaines (erreur de sélection de ma part, c’était couru d’avance) et quatre mois.

Moins d’une semaine après, je poursuis mon effort. Cinq maisons. De Bragelonne (qui était redevenu safe, après la sale affaire de harcèlement sexuel) à Denoël. Là encore, trois réponses négatives dans les deux mois qui ont suivi.

A partir de là, je relance d’une, deux ou trois soumissions chaque fois que je reçois une réponse négative. Je commence à m’intéresser aux petites maisons d’édition. Si possible de ma région. Pour l’importance de la proximité, du contact humain, pour tenter une aventure humaine.

***

A suivre dans le prochain post. Ça me paraît déjà un assez gros pavé à lire sur un forum.

Hâte que tu nous racontes la suite de l'histoire

Félicitations ! Le 4° de couverture donne envie

Merci Flora et Epineuse. Je continue donc...

***

Je continue comme ça jusqu’en février 2022. J’ai bien compris entre temps que, si ce n’était pas pour 2021, ce serait pour 2022. Je modifie le titre en lequel je n'ai plus trop confiance (de toute façon, un titre, ça peut changer même après avoir signé). Je n’en suis pas encore à douter de mon manuscrit. En fait, je commence à recevoir des retours encourageants, et qui me prouvent que j’avais raison de me concentrer un peu sur les jeunes ME. Parmi les maisons contactés en août 2021, Les Titanides m’ont répondu en décembre 2021 en me disant : « Nous avons beaucoup apprécié votre manuscrit, notamment pour son contexte historique extrêmement bien maîtrisé et ses personnages principaux très intéressants. » Le 12 janvier 2022, Plumes de Marmotte (envoi le 03/01) m’écrit : « Votre manuscrit a retenu notre attention et part en comité de lecture. » Mais un mois plus tard, résultat négatif : « Malgré ses qualités, nous ne retiendrons pas ce texte pour publication. Ce dernier aurait besoin d'être retravaillé pour éliminer des descriptions parfois fastidieuses et au contraire approfondir certains passages. Le texte aurait alors un beau potentiel. »

Là, je commence à savoir que quelque chose cloche dans mon roman. Et encore plus précieux (oui, car cela a beaucoup de valeur de le savoir), on me donne ses principaux défauts. Mais je n’ai pas le temps de me pencher là-dessus. Et moins de quinze jours après, Le Beau Jardin m’envoie à son tour : « Après dépouillement des 120 propositions reçues pour notre appel à textes, nous avons retenu une dizaine de synopsis, dont le vôtre. » Je fais partie des 10/120. Ça fait du bien.

Enfin, le printemps 2022 arrive. Nous sommes alors un an après le début de mon travail sur ce roman. J’y crois encore pour la fin d’année même si, à ce stade-là, j’en suis déjà à treize réponses négatives réceptionnées (sans parler des refus par non-réponse dans le délai précisé). J’ai arrêté les envois depuis deux mois, j’en étais à une trentaine. Mais j’avais encore une liste d’une vingtaine de maisons à essayer pour le reste de 2022 (gros boulot de monter cette liste mois après mois).

Le 11 avril, mail des éditions Inceptio (envoi le 03/01 aussi). Refus. Mais je m’engouffre dans une ouverture laissée dans le mail : « nous restons à votre disposition… » OK, je tente (avec un maximum de politesse et de pincettes) d’obtenir plus de détails sur ce qui cloche dans mon roman. Ça passe ! J’obtiens deux semaines plus tard un retour plus détaillé. Ça tient en cinq lignes mais c’est de l’or (merci Inceptio !). A l’époque, je commence à contacter des gens pour refaire une bêta-lecture et cela me donnera des pistes à leur fournir pour bien localiser les points faibles de mon manuscrit.

Quoi qu’il en soit, je ne laisserai pas tomber ce roman. Il sortira un jour, c’est sûr. Et j’attends encore des réponses (encore trois, quatre négatives sont arrivées jusqu’à l’été suivant). Et Le Beau Jardin revient dans ma boîte mail : « Avez-vous une numéro de téléphone auquel vous joindre ? » Rien que de relire cette phrase, ça me fait encore quelque chose dans la poitrine. Mais ce n’était pas pour me proposer un contrat… Pas tout de suite… Nous ne parvenons pas à avoir ce coup de fil alors l’éditeur me fait un gros mail avec plein de points positifs et négatifs. Pour lui, il y a un beau potentiel à ne pas laisser passer et si je peux retravailler ce qu’il me présente, il est OK pour une seconde lecture. C’est du sérieux, ça ! Je n’ai jamais été aussi proche du Graal.

Problème : ça va nécessiter un gros travail pour aller dans son sens. Je n’ai pas forcément le temps (la vie, tout ça…). Je me dis que ça va me prendre des mois. J’ai déjà eu du mal à tourner la page, tant que ce livre n’était pas édité, pour pouvoir écrire autre chose. Et là, il fallait que je passe un temps énorme à rebosser, quasi jusqu’à l’architecture, ce roman. Mais je remercie quand même Le Beau Jardin qui me donne au moins de quoi méditer. D’ailleurs, c’est ce que je dis, je vais prendre le temps de méditer tout cela. J’en profite aussi pour partager ces avis et suggestions avec mes bêta-lecteurs.

Et je médite. Ma méditation passe par l’écriture. Si je dois approfondir certaines choses, il faut que je m’adresse à mes personnages, que je m’intéresse un peu plus à leur vie. Je commence à imaginer des événements plus lointains dans le passé de mon récit. Je me concentre vraiment là-dessus, je prends même plaisir à écrire enfin quelque chose qui pourrait devenir un second livre. Je pourrai rebondir. Les retours de mes bêta-lecteurs sont aussi arrivés durant ce printemps. Je sais comment je vais pouvoir améliorer mon roman. Mais pour l’instant, j’ai un autre livre à finir. Je ne m’imagine plus faire d’envoi à des maisons d’édition cette année. Tant pis, j’ai d’autres projets qui se concrétisent en parallèle. La vie avance. J’écris même des choses que je peux lire à mes enfants. Je vais bien. Et puis…

Un nouvel été. Voilà un an que j’ai tapé le mot « fin » au bout de mon manuscrit. Le tableau Excel de tous mes envois est bien rouge de tous les refus reçus. Je commence à convertir certaines lignes encore noires, couleur de l’espoir, en carmin-chagrin quand il faut bien admettre que celle-ci ou celle-là ne répondra pas. Je ne prends même pas la peine de réfléchir aux premières lignes, celles des grosses maisons contactées il y a bientôt un an. Je regarde encore la poignée d’éditeurs toujours debout, dont deux de ma région en lesquelles je veux encore croire.

Et puis ce matin du 19 juillet 2022. Je crois que j’étais au travail. Dans ces cas-là, j’ai pris pour habitude de ne jamais ouvrir les mails de maisons d’édition tant que je ne suis pas posé chez moi, dans un lieu où je peux me sentir bien. Je ne veux pas ruminer un nouveau refus toute la journée. Quand j’ouvre le mail : « Je me permets de vous contacter au sujet de votre manuscrit L'épée sans nom. […] Votre texte a retenu notre attention. Est-il toujours disponible ou a-t-il trouvé son éditeur ? »

C’est AngelCorp. J’avais participé à leur appel à textes début novembre 2021. Presque neuf mois d’attente. Est-ce qu’on n’appelle pas un accouchement « la délivrance » ? Elle fait partie de ces maisons d’édition de ma région dont j’espérais le plus une réponse positive. Basée à Saint-Étienne, je peux y être en train en une heure, sans correspondance, c’est dire si je trouve que les choses s’alignent déjà bien. C’est une jeune maison d’édition, elle a été submergée de manuscrits pour son premier AT, d’où son retour tardif. Mais pour une première expérience dans l’édition, je n’ai pas envie d’être un petite poisson dans un grand océan.

Elle me prévient dès ce premier mail qu’il y aura du travail encore sur le manuscrit dans les prochains mois et elle veut être certaine que je serai disponible dans les prochains mois pour cela. Ça tombe bien : je savais déjà où se trouvait les problèmes dans mon manuscrit. Je réponds positivement à ses demandes. Nous nous donnons déjà rendez-vous par téléphone le surlendemain.

Au cours de la conversation téléphonique, nous faisons connaissance, on parle des qualités du livre mais aussi de ses défauts, bien sûr. Tout va bien : ils sont exactement où je pensais qu’ils se trouvaient. Je déclare donc être prêt à effectuer ce travail. On parle d’un planning de sortie. Idéalement, si on avance vite, on pourrait le présenter à un festival à Bourg-en-Bresse en octobre. Je suis né dans cette ville et je pourrais mettre au monde ce livre au même endroit ? Il n’en fallait pas plus pour me motiver. On parle contrat. Elle va m’envoyer un modèle, m’affirme que tout est discutable car c’est un contrat-type. Elle me l’envoie le lendemain. Neuf pages à éplucher. Je ne suis pas juriste, mais je sais le sens des mots et jouer avec eux si besoin donc je suis extrêmement prudent. Je pars vérifier chaque article de loi cité dans le contrat, je compare avec des contrats « équitables » disponibles sur la Toile, je note des questions chaque fois que quelque chose n’est pas clair. Je prends à peu près autant de pages de notes que le contrat. Moins d’une semaine après, je recontacte la maison d’édition pour en discuter. On répond à mes questions, on satisfait quelques-unes de mes demandes (on ne peut pas tout avoir) et j’ai un contrat remanié que je suis prêt à signer début août.

En même temps, on me demande si j’ai des idées pour la couverture. J’avais évoqué ça dans la conversation téléphonique car, en un an, j’avais envisagé à certains moments l’auto-édition et imaginé ce à quoi ressemblerait mon livre. Ainsi, je commence à travailler conjointement, à distance, avec une illustratrice de la maison. Un super dialogue s’opère qui fait que L’Épée Sans Nom ressemble à ce que j’avais en tête.

Je reçois aussi mon manuscrit annoté pour le retravailler. Le plus gros travail se situe sur le début du manuscrit, quasi rien vers la fin. Ça tombe bien, j’avais prévenu que j’avais des vacances à prendre ; je m’y mettrais au retour. Et justement, dès que je rentre, je passe quinze jours à ne faire que bosser dessus. Je fais sauter les lourdeurs qu’on m’a beaucoup reproché pendant un an. Je casse et réécris des paragraphes entiers mais heureusement on ne me demande pas de remanier l’architecture du roman. Mon récit est admis tel quel. J’apprécie. Et début septembre, je renvoie mon manuscrit arrangé. Je rejette quelques demandes de modifications (parfois de simples détails) et ça passe puisque j’argumente bien. On travaille aussi sur la 4e de couverture. Là aussi, j’ai pu apporter ma touche. On passe encore huit jours à travailler cette correction.    

Encore un peu plus d’un mois à attendre avant la sortie. Je suis impatient mais je relativise : je sais que dans certaines maisons, je pourrais attendre trois, six mois, voire un an. L’avantage encore de travailler avec une jeune maison : quand elles n’ont pas un catalogue énorme à gérer, elles ont du temps pour vous. Je m’occupe l’esprit. Depuis le début de l’été, j’avais laissé de côté mon deuxième livre. Je me remets à l’écriture. Je commence à faire de la comm’. J’ai les contacts dans la presse locale, ça m’occupe aussi d’organiser moi-même les interviews (normalement, on doit considérer que c’est le job de la ME mais si je peux faciliter les choses…). J’apporte des idées à ma responsable éditoriale. Le dialogue se passe toujours aussi bien.

Le 15 octobre, mon livre est présenté en avant-première à la Fête du Livre de Saint-Étienne. J’y vais, je le vois pour la première fois en vrai. Je passe là-bas seulement deux heures et demie car j’ai un train à prendre au retour mais dans ce laps de temps, deux lectrices emportent mon livre dédicacé. Ça y est, il commence sa vie…

Je finis d'enchaîner les posts pour mettre un petit extrait choisi par l'éditeur (c'est court mais je ne saurai choisir moi-même) avant de vous laisser venir si vous avez des questions.

Bravo pour cette publi et ce joli parcours

Fred Dee a écrit:

Quoi qu’il en soit, je ne laisserai pas tomber ce roman. Il sortira un jour, c’est sûr.

Comme j'aimerais être capable d'avoir ce genre de conviction sur mes projets...

Hello je découvre ce sujet, j’ai trouvé ton parcours très cool. Pour que tu aies reçu des refus détaillés par plusieurs ME, ça montrait bien que ton texte tapait dans l’œil ! C’est cool aussi de voir qu’une nouvelle ME ait accepté de prendre le « risque » des corrections éditoriales avec toi. J’espère que le roman connaîtra une longue vie !

HilnaMacPhom a écrit:

Bravo pour cette publi et ce joli parcours

Fred Dee a écrit:

Quoi qu’il en soit, je ne laisserai pas tomber ce roman. Il sortira un jour, c’est sûr.

Comme j'aimerais être capable d'avoir ce genre de conviction sur mes projets...

Merci ! Ça ne se lit pas vraiment entre les lignes mais j'ai quand même passé plusieurs mois à faire l'effort de rejeter loin au fond de ma tête l'idée que mon roman ne vaudrait pas le papier sur lequel il serait imprimé. Ces démarches, c'était devenu, certains soirs, une sorte de job répétitif pour ne pas trop y penser : trouver maison, noter coordonnées, faire résumé, envoyer, recommencer...

Page de bâtons a écrit:

J’espère que le roman connaîtra une longue vie !

Merci, moi aussi. Maintenant, il faut doubler cette espérance avec son petit-frère (ou sa petite-soeur).

J'avais loupé ce topic... J'adore découvrir l'envers du décor, que ça soit les errements après la rédaction ou le boulot avec la ME.
Merci d'avoir partagé ça avec nous !

Bonjour à tous, oui très intéressant fred dee, merci pour ce partage

Merci les gars. J'espère rendre le prochain récit (je me relance dans la course aux ME en février) aussi enrichissant.

Vraiment super intéressant, merci d'avoir partagé ton expérience avec nous ! Quelle chance d'avoir eu des retours argumentés ! Et j'imagine bien la masse de travail énorme que cela a dû représenter... En tout cas, ça donne envie de te lire