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 Est-ce qu'une bibliographie étoffée ouvre plus de portes ?

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BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Guère épais


Coucou ! 👋

J'ai eu envie d'ouvrir ce sujet de discussions/débat suite à une conversation sur un autre topic. Je pense que c'est quelque chose de très intéressant.

Croyez-vous que vos romans déja publiés vous ouvrent plus de portes (côté ME) ? Ressentez-vous une ascension nette de votre carrière au fil des publications ?

La question s'adresse aux auteurs un peu expérimentés (plusieurs publications), mais j'invite tout le monde à partager son avis.

En ce qui me concerne, j'ai l'impression qu'une bibliographie bien remplie pousse les maisons d'édition à nous faire davantage confiance (même si ça ne fait pas tout, hein ! La qualité du manuscrit devrait primer). Concernant ma propre carrière (bien que encore naissante), je pense pouvoir dire que j'ai ressentie une ascension d'une publication à une autre. Sans mes livres déjà publiés, je ne pense pas que j'aurais pu décrocher un contrat chez Hugo, par exemple. L'éditrice connaissait mes autres parutions et c'est elle qui m'a démarchée. Je refile aussi plusieurs manuscrits à des ME avec lesquelles je travaille déjà, donc cela facilite leur placement que d'avoir un contact interne et accélère le temps de traitement.

Et vous ?
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Licoupeille
   
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Licoupeille  /  Hé ! Makarénine


De mon point de vue d'auteur qui se prend râteau sur râteau en ce moment, NON.

Et pourtant, je le croyais au début.

(je nuancerais néanmoins en disant que le réseautage paye, mais sinon...)
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Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


Moi j'ai pas vu de différence...

Mes premiers écrits ça a été Bayard, acceptés immédiatement (une seule ME démarchée) et ma biblio était vide.
Ensuite j'ai écrit des romances avec seulement ces 2 trucs jeunesse dans ma biblio, qui ont été acceptées par 3 ME (SoRomance, BMR et &H)
Puis j'ai écrit mon truc histo et j'ai eu du mal à le placer (60 ME contactées) : 2 approbations (Libre2lire et City).

J'ai pas du tout l'impression que l'épaisseur de la biblio ça joue. C'est plutôt le genre et la chance. J'ai l'impression que la romance, c'est validé facilement, les ME sont mortes de faim.

Le reste : eh bin non. C'est là que les vrais défis commencent.
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Tengaar
   
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elopez7228 a écrit:
Mes premiers écrits ça a été Bayard, acceptés immédiatement (une seule ME démarchée) et ma biblio était vide.
Ensuite j'ai écrit des romances avec seulement ces 2 trucs jeunesse dans ma biblio, qui ont été acceptées par 3 ME (SoRomance, BMR et &H)
Puis j'ai écrit mon truc histo et j'ai eu du mal à le placer (60 ME contactées) : 2 approbations (Libre2lire et City).
C'est peut-être parce que tu n'écris pas toujours dans le même genre / pour la même cible, là où BoiséeNoire a une biblio plus cohérente 🤔
 
BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Guère épais


Oui, des publications jeunesses ne vont pas spécialement être un appuie pour des publications en romance et des publications en romance ne sont pas forcément des appuies pour du thriller ou de l'historique je pense.

Après plusieurs publications dans le même genre, je pense qu'on cumule une certaine crédibilité auprès des éditeurs publiant le même genre ?
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CC33
   
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Moi je serai plutôt dans la team Boiséenoire. Cela doit aider, quand même, de proposer un manuscrit à une maison d'édition après avoir déjà eu la validation d'une autre, disons que ça doit mettre dans de bonnes dispositions. ça ne peut être que bénéfique à priori. Ce n'est pas neutre.
Ceci dit, j'y connais rien Very Happy
 
Plumerose
   
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ELOPEZ a écrit:
 j'ai eu du mal à le placer (60 ME contactées) : 2 approbations 
Shocked Wouah... je suis loin d'en faire autant ! City t'a répondu au bout de combien de temps (environ, hein Wink ) ? 

LICOUP. a écrit:
De mon point de vue d'auteur qui se prend râteau sur râteau en ce moment, NON.

Et pourtant, je le croyais au début.
Mince...  :calien:

BOISEE NOIRE a écrit:
Après plusieurs publications dans le même genre, je pense qu'on cumule une certaine crédibilité auprès des éditeurs publiant le même genre ?

Je le pense vraiment, après, pour ma part, je suis en train de tester le truc, on verra... Wink 

J'ai, par contre, deux biographies pour les deux genres : celle de la romance + feel good avec pseudo et mise en avant d'une nouvelle feel good remarquée, etc... 

Et l'autre, pour le thriller (qui marche aussi pour les nouvelles, qui marchera pour la dystopie, je pense... ) avec mise en avant des autres prix. Wink Et là, je ne parle pas du tout de ma face cachée d'auteure de feel good et romances...  Cool :mrgreen:

AJOUT :

CDR33 a écrit:
Cela doit aider, quand même, de proposer un manuscrit à une maison d'édition après avoir déjà eu la validation d'une autre

Ce qui est sûr, c'est que deux à trois "oui" pour un même manuscrit, ça donne confiance en ce qu'on écrit, donc peut-être qu'on propose d'autres choses en étant plus sûr de soi et que ça se ressent... ?
 
Jimilie Croquette
   
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Citation :
City t'a répondu au bout de combien de temps (environ, hein Wink ) ?
deux semaines
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BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Guère épais


En effet, Plume, je me présente avec une plus grande assurance aux éditeurs aujourd'hui. Cela se ressent peut-être !
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elopez7228 a écrit:
Citation :
City t'a répondu au bout de combien de temps (environ, hein Wink ) ?
deux semaines
Wouah...  Shocked (le rêve... drunken merci pour l'info !  :mrgreen: ) !
 
Flora
   
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Je n'ai pas l'impression que mes premières publications m'ont ouvert des portes... par contre, elles m'en ont fermé plusieurs. J'ai vu passer plusieurs fois des concours ou des événements réservés à ceux qui n'ont jamais été édités : le concours Gallimard, le concours Auzou, le speed-dating auteur-éditeurs...

Pour le concours Rageot, c'était juste, puisque c'était 3 publications max Wink
 
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Je suis pas publiée donc j'ai pas d'expérience à partager, ceci dit j'ai quand même l'impression qu'une fois que t'as la possibilité de réseauter, c'est plus facile ou en tout cas plus rapide. Plus rapide parce que tu peux soumettre sans attendre la réouverture des soumissions chez ta ou tes ME, qu'on te répond plus vite qu'à un auteur pas publié dans ladite ME, aussi. Donc du coup, ça augmente la vitesse de traitement, réduit l'attente, et un manuscrit que t'aurais peut-être publié en 2026 en temps normal, tu le publies en 2024 parce que tout est allé hyper vite, donc ça rapproche les sorties et ça donne aussi cet effet "facilité", je pense.

Puis faut pas oublier aussi qu'une ME ben… c'est une entreprise. Si elle est satisfaite des ventes du premier publié, forcément, elle va avoir un peu plus envie de prendre le suivant. Parce que ce qui compte, pour une entreprise, et en forçant un peu le trait, c'est les ventes, pas si les lecteurs ont aimé (dans une certaine mesure, parce que si tout le monde dit que c'est nul, forcément, tu vends moins). Par exemple la quatrième de couverture de Blizzard de Pierre Gaulon est dithyrambique et fait aussi d'un argument de vente que le gars a déjà publié (dans un autre genre) alors que le bouquin au-delà des goûts et des couleurs, a des problèmes techniques au niveau notamment du show don't tell et du vocabulaire (par exemple "envergure" est utilisé pour la hauteur et "rond" en synonyme de "sphère", bon.). Adrien Tomas qui a une plume agréable mais pond des trucs hyper caricaturaux, sans fond, sans personnages (pour Engrenages et Sortilèges, en tout cas, parce que j'avais assez apprécié le premier roman) se fait des avoirs de 6 000€ (il l'a dit lui-même sur Twitter) mais évidemment, il est dans le milieu depuis 10 ans et il a une communauté, et ça compte aussi, parce qu'une ME est une entreprise (je poursuis pas parce qu'on a abordé ce sujet pleeeein de fois et que si je continue je finis en HS).
Mais du coup, quand t'as déjà X publications dans un même genre, même dans une autre ME, ça veut dire que t'as une communauté (donc une base d'acheteurs) et que t'as un argument marketting pour conquérir de nouveaux acheteurs/clients.

Tout ça pour dire que il n'y a pas que la qualité du livre qui préside à une publication.

Mais dans tous les cas, je pense que c'est plutôt le réseautage qui va avec les publications (rencontrer des éditeurs ou des auteurs à des Salons, tables rondes, etc.) plutôt que la quantité de publication en soit. Et que peut-être aussi l'effet "facile" est donné par la vitesse plus grande des réponses des ME dans lesquelles on est publié, je pense.

Edit : Y a un truc que j'ai oublié de dire hier soir aussi c'est que je pense que ça dépend aussi des genres.

Je crois avoir lu quelque part (dans le sujet publications Jeunesse d'Azaby ?) que le Jeunesse fonctionnait beaucoup à la commande, par exemple. Et j'ai déjà vu en librairie des réditions de vieux trucs qu'on me lisait quand j'étais gamine. Du coup, forcément, si sur mettons 12 publications par an t'as 3 rééditions type Petit-bleu et Petit-jaune et 6 commandes et 2 nouvelles publications d'auteurs déjà dans la ME, bah il reste pas grand place pour les soumissions spontanées.

Pareil chez Bragelonne. Ils publient surtout des tomes de saga et de l'anglosaxons. Donc ben si sur 12 livres par an t'as déjà 5 tome 2, 2 tome 7, etc. des trucs nouvellement traduits et des auteurs français débauchés d'autres ME, ben forcément il reste pas beaucoup de place dans le calendrier pour les nouveaux auteurs.

Donc au final je pense que ça dépend de la capacité à réseauter et du genre dans lequel tu écris, plus que du nombre de livres dans ta biblio (en gros, que t'ais publié 1 ou 20 c'est pareil). (Ceci dit, avoir des livres dans ta biblio, ça veut dire aussi que tu t'es tapé les corrections éditoriales et que tu as une capacité de travail sur ton texte, donc c'est probablement moins risqué pour les ME de te prendre toi que de prendre un auteur qui saura peut-être pas accepter de se remettre en question.)
 
BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Guère épais


FLORA, tu soulèves un bon point. Je ne sais pas si j'appellerais ça "fermer des portes", car au final... être publié, c'est déjà extra ! Mais moi aussi, j'ai parfois été déçue de ne pas pouvoir participer à des concours comme ceux de Gallimard, Auzou ou Rageot. Avoir plus de trois publications ne signifie pas forcément qu'on a été publié dans de grandes maisons d'édition offrant la même visibilité qu'aurait pu le faire ces trois géants.

En réfléchissant là-dessus, je me dis que je crois que la taille et le prestige des maisons d'édition qui composent notre bibliographie est important si c'est dans l'optique d'acquérir une crédibilité et de convaincre des maisons d'édition plus importantes de nous accorder leur confiance.

À moins d'un immense succès commercial inattendu, j'ai l'impression que plusieurs romans publiés dans une micro maison d'édition n'attireront pas forcément l'attention d'une maison d'édition plus grande quand elle s'attardera sur la bibliographie de l'auteur.

Il y a matière à réfléchir.

ENI', je crois que tu marques aussi un point important et à ne pas négliger : le réseautage.
Il est vrai que j'ai rencontré l'éditrice de chez Hugo dans un salon du livre. Elle connaissait un peu mes romans, mais si je n'avais pas été à ce salon du livre, je ne sais pas si elle m'aurait approchée de la même façon. À ce salon du livre, elle n'a approchée que deux auteurs sur la tonne qui était là (dont moi), donc je pense tout de même que le label de la maison d'édition sur la couverture de mes livres y a joué (je veux dire : il y avait beaucoup d'autrices auto-éditées ou éditées à compte d'auteur ce jour-là) pour un peu.

À force de publier, tu connais de plus en plus de monde aussi. D'abord les éditrices avec qui tu bosses directement, mais aussi les éditrices freelance qui sont engagées pour travailler avec toi (et qui sont susceptibles d'avoir d'autres contacts), les éditeurs étrangers avec lesquels les tiens négocient les droits étrangers, puis enfin les rencontres professionnelles en salon. Petit à petit, ça commence à faire beaucoup de monde.

Et cela dit, je crois que la bibliographie ajoute un certain "sérieux" auxdites rencontres professionnelles. C'est quelque chose qui est revenu parfois... quand j'ai rencontré une éditrice de chez Bragelonne et que je suis allée prendre un café avec elle, elle m'a répété "oui, mais toi, tu es pro" lorsque nous parlions de soumissions et de présentation de projet. C'est étonnant, mais les éditeurs reçoivent ÉNORMÉMENT de textes pas même près d'être potables. Mon expérience comme autrice, même si elle ne m'avait pas lue (encore), l'a mise en confiance, parce que les éditeurs sont "harcelés" et "submergés" par des auteurs débutants (je crois).

Dans les mails que j'ai échangés avec Hugo, on m'a aussi complimentée sur ma bibliographie. Enfin, on m'a dit que j'avais déjà beaucoup de publications à mon actif, probablement un beau futur en littérature... etc.


Ce que j'en conclus :

L'auteur expérimenté commence à se "libérer" petit à petit de la soumission traditionnelle pour passer de plus en plus par des contacts privilégiés qui facilitent et accélèrent le traitement de ses textes, car plus de personnes lui font confiance d'emblée.


Ensuite, si ça dépend du genre. Je pense qu'une bibliographie dans le même genre ou qui vise des thématiques ou des publics similaires, ça aide côté marketing, car effectivement, la maison d'édition voit que tu as un public susceptible de suivre publication après publication sans être trop dépaysé.

Et, en effet, je pense que le réseau aide à entrer dans les maisons d'édition qui fonctionnent moins par la soumission traditionnelle. Et la bibliographie vient t'appuyer dans les projets de commande, puisqu'on voit que tu as une certaine expérience. On ne propose pas de commande à des auteurs qui n'ont jamais publiés... on ne sait pas s'ils pourront terminer à temps (ou terminer tout court), si ça tiendra la route, s'ils abandonneront, s'ils pourront faire les corrections éditoriales... etc.

Merci pour les échanges. J'espère que ça se poursuivra c'est ultra intéressant !
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MaddyForeigner
   
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MaddyForeigner  /  Journal du posteur


Sans doute. Quand j'ai commencé en tant qu'auteur jeunesse, ça m'avait donné cette impression : Nats éditions, puis La Palissade avec 3 contrats solides et des illustrateurs jeunesse reconnus, des salons rémunérés, une publication dans Bayard jeunesse... ça s'enchaînait bien.
Ensuite, j'ai eu un enfant handicapé à plus de 80% avec une longue hospitalisation, donc j'ai arrêté pendant un an : aucun salon, aucune nouvelle... il y a même une ME qui a arrêté le contrat à ce moment-là à cause d'une baisse des ventes puisque je m'investissais moins.
Quand j'ai émergé, des ME jeunesse m'ont contactée, la région aussi pour un contrat à plus de 200 euros (une nouvelle jeunesse pour une publication numérique sur leur site). Mais je n'avais plus le cœur à écrire pour la jeunesse. Je bataillais déjà pour garder mon métier tout en ayant un enfant handicapé (ce qui constitue déjà un emploi, "vous avez pensé à arrêter de travailler ?") alors cumuler les trois, honnêtement, ce n'était plus possible.
C'est d'ailleurs la raison principale pour laquelle je ne souhaite plus du tout vivre de ma plume.
Et puis les maisons avec lesquelles j'ai travaillé à mes débuts n'existent déjà plus, même si j'ai fait le Salon du Livre de Paris en 2014, même si c'était très bien et à compte d'éditeur. Mais il aurait fallu battre le fer quand il était encore chaud et là, tout est à recommencer. study
 
BoiséeNoire
   
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BoiséeNoire  /  Guère épais


Je n'avais aucune idée que tu avais tout ce parcours, Maddy, j'avoue que c'est impressionnant !
On voit bien que tu étais en train de te faire un nom et que ça s'enchaînait bien. Il y a une nette ascension dans ce que tu décris : Nats Editions < Palissade < Bayard (et pour le coups, ces maisons-là, elles existent encore)

Je suis désolée que tu aies du tout arrêter et j'espère que ta famille va bien aujourd'hui :calien:
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