Pour moi, il n'y a pas vraiment de "mieux", mais juste l'effet qu'on attend de ce flash.
Chez moi, c'est le plus souvent au passé simple, comme le récit principal, mais sur un de mes romans, c'est au présent (oui, oui, et le récit principal au passé).
L'important = il faut prendre garde à ce que le lecteur se rende compte qu'on a changé de phase temporelle, car s'il zappe, il sera totalement paumé.
Le choix entre l'imparfait et le passé simple ne se pose pas, pour moi.
Les deux sont complémentaires.
Par contre, il y a le passé antérieur...
Un temps adapté, selon les règles de la langue, mais d'emploi un peu désuet, et guère esthétique, si c'est un long passage (donne une impression de répétition massive sur les verbes être et avoir)