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| Le fiancé du feu [Éditions du Jasmin] | |
| | Nombre de messages : 905 Âge : 35 Pensée du jour : Pantagruélisme : vous entendez que c'est certaine gaieté d'esprit confite en mépris des choses fortuites Date d'inscription : 01/08/2015 | Nedjma / Bile au trésor Sam 6 Mar 2021 - 23:31 | |
| [FICHE TECHNIQUE]
Titre : Le fiancé du feu Auteur : Eva Dézulier Type: roman Genre : réaliste/historique
Éditeur : Éditions du Jasmin Nombre de pages : 316 pages Disponibilité : À commander dans votre librairie préférée : https://www.placedeslibraires.fr/ (ou en ligne : Decitre, Amazon, etc.)
Livre-Voyageur : oui, d'ici quelques jours
4e de couverture
Espagne, 1948. Juan s'enfuit d'un orphelinat franquiste avec son petit frère Luis, et les deux enfants traversent les Pyrénées à pied pour rejoindre leur mère, remariée en France. C'est à Decazeville qu'ils vont grandir et tenter de s'affranchir du passé pour construire une nouvelle vie.
Aujourd’hui, Emmanuelle, la petite-fille de Juan, remonte le temps pour découvrir les secrets de famille enfouis, et transmettre l'histoire au fils qu'elle attend.
En déroulant le fil des relations et des amours de ses personnages, Eva Dézulier brosse avec délicatesse un portrait de famille intimiste inscrit dans une page d’histoire, celle des Espagnols immigrés en France après-guerre et celle, aussi, des Trente Glorieuses et d’une vie populaire disparue.
Extrait
- Spoiler:
Tout le monde est déjà en train de dîner. Le silence se fait lorsqu’on apparaît sur le seuil. Les autres travailleurs s’échangent des regards amusés. Depuis qu’on nous a mis aux vaches, c’est tous les soirs la même scène. À l’instant même où on porte notre première cuillère à nos lèvres, le vieux Lucien s’empare de son couteau et le replie. Clac. Il a fini. Dès lors qu’il a refermé son couteau, le repas est terminé. Pas question d’avaler une seule miette supplémentaire. Avant, ça ne nous arrivait pas très souvent, mais maintenant, on a tellement de travail qu’on ne dîne plus du tout. Clac. Un bruit minuscule. Et c’est fini, le repas s’envole. Quand ils voient nos mines déconfites au claquement de la lame sur le manche, tous les saisonniers se payent notre tête. Ils disent entre eux que les Espagnols ne connaissent pas l’heure, ou qu’ils sont si lents au travail que c’est une chance qu’ils soient clandestins, car s’il fallait les payer comme les autres, on n’en voudrait pas. On évite de répliquer. Juan bouillonne, et je vois bien qu’il a envie de leur casser la tête à tous. Moi, je m’en fiche un peu. C’est surtout la faim qui me fait souffrir. Comme je les ignore, ils s’imaginent que je suis idiot et que je ne comprends pas les mots. Juan et moi, on rejoint les deux chaises libres et on se sert une louche de soupe, tout en jetant des coups d’œil inquiets du côté de Lucien, qui trône en bout de table en aspirant bruyamment le contenu de son assiette. Il n’a pas levé les yeux vers nous. Il lui reste une tranche de pain à peine entamée. Peut-être qu’on aura le temps, ce soir… Je plonge ma cuillère dans ma soupe, bien décidé à l’avaler sur-le-champ même si elle est brûlante. Clac. Déjà ? Je relève la tête. Le vieux Lucien nous observe du coin de l’œil, une ruse de singe sur le visage. Il n’a même pas fini son pain. Sûr qu’il l’a fait exprès. Je sens mes mains trembler de colère et d’humiliation. Je pourrais pleurer comme un enfant. Lucien se lève, aussitôt suivi par tous les autres. Je m’apprête à les imiter quand la main de Juan se pose sur la mienne. — Rassieds-toi. Tu n’as pas mangé : mange. Le ton de mon frère ne souffre pas de discussion. Je m’exécute sous le regard médusé de toute la tablée. Comme un seul homme, tous se tournent vers Lucien, guettant sa réaction. Celui-ci s’intéresse à Juan. Il le fixe, des calculs dans le regard. Il pèse la situation. Il pourrait renvoyer ces deux illégaux, c’est sûr. Ça ferait un effet du tonnerre, on en parlerait longtemps dans le village. Eh bien, maintenant, prenez la porte, ingrats, saloperie d’Espagnols ! Moi qui vous ai recueillis ! Ou quelque chose dans ce goût-là. Mais le moins chétif des deux abat une quantité prodigieuse de travail. Sa force physique étonne tout le monde, et Lucien craint peut-être aussi un peu pour sa propre personne. Juan mange tranquillement, sans se presser, dans le silence tendu qui s’est fait. Le tintement de sa cuillère contre l’assiette me paraît énorme, embarrassant. Moi, je déglutis avec difficulté ma soupe brûlante. Je compte les gorgées. Toujours cette manie. J’attends. Lucien ne dit toujours rien. Juan est allé trop loin, c’est sûr ! Ce n’est même pas de ma faute : c’est lui qui a fait fuir la génisse tout à l’heure… Et maintenant, je vais me retrouver dehors avec lui. Vraiment, il exagère. Il faut toujours qu’il monte sur ses grands chevaux. Quelques jours sans manger : on a connu pire. — Bien. Finissez, vous deux, tranche tout à coup le vieux Lucien. Il fait mine de quitter la table le plus naturellement du monde, comme s’il était habituel que deux gamins finissent leur dîner après le clac du couteau, seuls dans la salle à manger, comme des princes. Mais Juan se redresse et le toise avec orgueil. C’est alors qu’il fait ce geste à la fois téméraire et absurde. Lentement, il tend la main et s’empare de la tranche de pain abandonnée par le maître des lieux lui-même. Un murmure de surprise parcourt l’assemblée. Oh ! Non-non-non ! Juan, qu’est-ce que tu fais ? Cette fois, pas de doute, Lucien va nous renvoyer à coups de pied au cul ! Lui manger son pain ? Cette maudite fierté ! Mais le vieux hausse les sourcils, puis se détourne simplement avec un petit rire.
*
— Bravo pour ta scène, tout à l’heure, petit ! — Oui, c’était quelque chose ! Ha ! ha ! — Jules dit que tu es un socialiste, est-ce que c’est vrai ? Lui, il fait partie de l’Internationale, c’est pour ça qu’il s’y connaît. — Un socialiste ? Un anarchiste, oui ! Tous les saisonniers se sont attroupés autour de nous derrière la ferme, après le repas. L’un d’eux offre pour la première fois une cigarette à Juan. Il m’en donne une, que je n’ose pas refuser. À la première bouffée, c’est comme si ma poitrine prenait feu, et tout le monde rigole en me voyant cracher mes poumons. Juan fait bonne figure : c’est pourtant la première fois qu’il fume, ça, j’en suis sûr. — Alors, socialiste ou anarchiste ? insiste Simon. — La politique, c’est des conneries, réplique Juan avec fierté. Les autres rient de nouveau. Pour eux, on est juste deux gamins. Ils nous donnent de grandes tapes sur l’épaule, avant de se dissiper dans la nuit. Je lance à mon frère : — Tu nous as bien sortis du pétrin, tout à l’heure. J’ai vraiment cru que tu avais dépassé les bornes, mais c’est encore toi qui as eu le dernier mot, pas vrai ? Juan me sourit. — Tu es comme papa. Le camarade Jules dit que s’il a été arrêté par les nationalistes, c’est que c’était sûrement un héros de la République, et qu’on devrait en être fiers et en parler à tout le monde, parce qu’il… — Notre père n’était pas un héros, coupe Juan d’un ton dur auquel je ne m’attendais pas. Il s’est rembruni. Il regarde la cigarette qu’il tient toujours entre ses doigts et en aspire encore une bouffée. Je bredouille : — Quand même… C’est courageux, de mourir pour ses idées… — Et ça t’a avancé à quoi, jusqu’ici, d’avoir un père fusillé ? À quoi ça a servi à qui que ce soit ? Merde, Luis, il nous a abandonnés ! Mourir pour ses idées, tu parles… Il n’y a rien d’héroïque à laisser crever ses gosses pour des idées. Crois-moi, la politique, c’est des conneries. C’est la grandeur des imbéciles, et se sacrifier pour la cause, c’est la petite gloire des lâches, qu’on s’achète à peu de frais. Mourir, c’est facile. Tu n’as qu’à fermer les yeux et attendre la balle qui te délivrera de tes trois fils, de ta femme infidèle, de ton usine à faire tourner. Et voilà : en un claquement de fusil, de cocu minable, à court de noblesse et d’amour, te voilà héros de la République ! La blague. C’est vivre, qui est difficile. Continuer, tenir. Moi, si j’ai des enfants un jour, je ne les laisserai pas tomber comme un lâche. Mais il s’est fait avoir aussi, au bout du compte. Personne se souviendra de lui, et il est mort pour rien. Je voudrais répondre, défendre mon père, mais j’ai l’impression que ma voix ne voudra plus jamais sortir. Les mots de Juan m’ont fait l’effet d’une gifle. J’ai même les oreilles qui carillonnent. Infidèle. Femme infidèle. Est-ce que c’est pour ça que maman est partie ? — Peut-être… peut-être qu’il n’est pas mort pour rien, il est sûrement allé au Paradis… — Bon sang, quand est-ce que tu vas arrêter avec ces trucs-là ? Tu es grand maintenant, tu comprends bien qu’il n’y a pas de Paradis. Ton héros de père serait content, tiens ! Un vrai bigot ! Juan rit de bon cœur maintenant, sa colère est passée. Mais moi je sens les sanglots se bousculer dans ma gorge. Je déteste qu’il se moque de moi à cause des choses que je crois. Ma poitrine me fait mal. Il tire une bouffée de cigarette, d’un air crâne. Je regarde le bout briller un instant dans la nuit. J’ai presque envie d’aller coller mon poing sur figure de Juan. Mais c’est moi qui finirais par terre, c’est sûr. Pardonnez-moi, ô Reine, Mère de miséricorde, de ne pas aller casser le nez de mon frère pour lui faire comprendre que le Paradis existe. N’empêche, personne n’ose jamais s’en prendre à lui, et quelquefois je me dis que ça ne lui ferait pas de mal.
Diverses informations sur le livre, les événements liés au livre sur mon site : https://evadezulier.wixsite.com/website
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| | Nombre de messages : 905 Âge : 35 Pensée du jour : Pantagruélisme : vous entendez que c'est certaine gaieté d'esprit confite en mépris des choses fortuites Date d'inscription : 01/08/2015 | Nedjma / Bile au trésor Dim 21 Mar 2021 - 15:19 | |
| Les premiers retours arrivent : je suis vraiment heureuse de l'accueil que reçoit mon roman ! Après les avis bienveillants de mes proches, je commence à avoir de "vrais" lecteurs, que je ne connais pas, et qui semblent apprécier le livre. Par exemple, j'ai eu ce commentaire très positif sur amazon : - Spoiler:
Hasard, heureux hasard, je viens de reposer sur ma table un livre que j’ai lu en trois jours, d’une jeune auteure : Éva Dézulier que je ne connais pas, que j’ai découvert, comme je vous le dis : par hasard. Donc, si je dis du bien de ma lecture, je ne pourrai pas être accusé de complaisance. Le titre du roman, « Le Fiancé du Feu » et je suis sous le charme du Fiancé, et je le revisite par la pensée, comme cela arrive quand on a aimé… Je ne vous dirai pas simplement que je l’ai aimé, je vous dirai que j’aurais aimé l’écrire. Je plante le décor, la Guerre d’Espagne : deux frères, deux jeunes enfants vivent dans ce que fut cette tourmente avec ses horreurs. Je ne m’étalerai pas plus pour ne pas déflorer l’histoire si ce n’est qu’ils se retrouvent en France pour le reste de leur vie, à Decazeville où leur mère s’est réfugiée... Pas de misérabilisme dans ce livre, l’auteure, écrit et dépeint une histoire de famille, avec humour, amour, avec des dialogues savoureux. En le lisant, je pensais au cinéma D’Almodovar, j’étais en plein dedans, je me faisais même le casting. Si le « Maître » est en panne de scénarios, je ne peux que lui conseiller de se pencher sur cette histoire. Vous avez compris, je me suis régalé et j’avais envie de partager. https://urlz.fr/fchE
Le roman est maintenant disponible pour les Livres Voyageurs, si vous avez envie de le découvrir. Vous pouvez aussi tenter de le gagner sur FB : https://www.facebook.com/editions.dujasmin Le concours est ouvert jusqu'au 30 mars. (Les partages sont aussi très appréciés ! ) |
| | Nombre de messages : 4072 Âge : 43 Localisation : Région Parisienne Date d'inscription : 11/01/2019 | Jimilie Croquette / De l'Importance d'être Constamment Là Dim 21 Mar 2021 - 15:52 | |
| wow ! super retour !
En plus, avec cet extrait, tu me prouves qu'on peut écrire gracieusement à la première personne du présent ! |
| | Nombre de messages : 905 Âge : 35 Pensée du jour : Pantagruélisme : vous entendez que c'est certaine gaieté d'esprit confite en mépris des choses fortuites Date d'inscription : 01/08/2015 | Nedjma / Bile au trésor Dim 21 Mar 2021 - 16:24 | |
| - elopez7228 a écrit:
- wow ! super retour !
En plus, avec cet extrait, tu me prouves qu'on peut écrire gracieusement à la première personne du présent ! J'avais aussi un très fort a priori sur la 1ère personne/présent, mais dans ce roman, j'ai choisi de l'utiliser : il y a quatre narrateurs qui se relaient pour raconter l'histoire de Juan (le personnage central), mais ce dernier ne parle jamais. Ainsi on n'a pas accès à ses pensées, à ses secrets, les quatre autres essayant de les deviner. Aucun d'eux n'y parvient vraiment, mais le lecteur, lui, fort de ces quatre témoignages qui se complètent, se trouve bien mieux placé pour le percer à jour. |
| | Nombre de messages : 905 Âge : 35 Pensée du jour : Pantagruélisme : vous entendez que c'est certaine gaieté d'esprit confite en mépris des choses fortuites Date d'inscription : 01/08/2015 | Nedjma / Bile au trésor Jeu 29 Avr 2021 - 22:57 | |
| De bonnes nouvelles à partager, aujourd'hui ! Cette semaine, l'écrivain kurde Fawaz Hussain a écrit une chronique sur mon roman dans la Cause Littéraire (je dis ça calmement, mais j'étais euphorique ) : http://www.lacauselitteraire.fr/le-fiance-du-feu-eva-dezulier-par-fawaz-hussain J'ai eu aussi une super recension chez Mare Nostrum (où vous pourrez en prime découvrir ma bobine...) : https://marenostrum.pm/le-fiance-du-feu-eva-dezulier/ Petit article dans la presse locale (où j'apparais sur une photo discutable...) : https://www.lacommere43.fr/loisirs/item/37499-parution-sous-le-charme-du-fiance-du-feu-d-eva-dezulier.html Et le blog Les Petites Analyses, moins connu mais que j'aime beaucoup, personnellement, car très littéraire : https://lespetitesanalyses.com/2021/04/04/le-fiance-du-feu-eva-dezulier/ Bonne semaine ! |
| | Nombre de messages : 661 Âge : 74 Localisation : Aquitaine Pensée du jour : Faites vivre votre passion, elle vous réchauffera quand le monde deviendra froid. (Proverbe amérindien) Date d'inscription : 09/04/2016 | Ybatchea / Hé ! Makarénine Ven 30 Avr 2021 - 5:04 | |
| Bravo Nedjma ! Félicitations ! |
| | Nombre de messages : 576 Âge : 25 Date d'inscription : 18/03/2021 | Camusso / Gloire de son pair Ven 30 Avr 2021 - 8:23 | |
| Félicitations, que du positif ! (et la photo est très bien !) |
| | | Invité / Invité Ven 30 Avr 2021 - 9:46 | |
| Bravo pour ces jolies nouvelles, bonne route à ton livre ! :-) |
| | Nombre de messages : 905 Âge : 35 Pensée du jour : Pantagruélisme : vous entendez que c'est certaine gaieté d'esprit confite en mépris des choses fortuites Date d'inscription : 01/08/2015 | Nedjma / Bile au trésor Sam 1 Mai 2021 - 14:26 | |
| Merci ! S'il y a des membres parmi vous qui vivent près de chez moi (Loire), ça me ferait plaisir de vous rencontrer irl : (photo non contractuelle, il y a évidemment un filtre ) |
| | Nombre de messages : 1979 Âge : 45 Localisation : Devant mon ordi Date d'inscription : 26/01/2014 | MaddyForeigner / Journal du posteur Sam 8 Mai 2021 - 17:46 | |
| Commandé à l'instant. Je pensais l'avoir déjà fait, mais en fait non... |
| | Nombre de messages : 905 Âge : 35 Pensée du jour : Pantagruélisme : vous entendez que c'est certaine gaieté d'esprit confite en mépris des choses fortuites Date d'inscription : 01/08/2015 | Nedjma / Bile au trésor Lun 10 Mai 2021 - 13:37 | |
| Merci Maddy ! J'espère que ça te plaira, et quoi qu'il en soit, que tu me donneras tes impressions de lecture ! |
| | Nombre de messages : 118 Âge : 30 Localisation : Nantes Date d'inscription : 14/02/2021 | Izabou / Barge de Radetzky Lun 10 Mai 2021 - 13:59 | |
| Oh, ca me plait mois qui suis passionnée par l'histoire de l'Espagne, tiens je vais le commander pour mon anniversaire, et je ferai un retour sur mon blog je pense. |
| | Nombre de messages : 1979 Âge : 45 Localisation : Devant mon ordi Date d'inscription : 26/01/2014 | MaddyForeigner / Journal du posteur Lun 10 Mai 2021 - 18:09 | |
| - Nedjma a écrit:
- Merci Maddy ! J'espère que ça te plaira, et quoi qu'il en soit, que tu me donneras tes impressions de lecture !
Je n'y manquerai pas. Il faut déjà que je le reçoive. |
| | Nombre de messages : 905 Âge : 35 Pensée du jour : Pantagruélisme : vous entendez que c'est certaine gaieté d'esprit confite en mépris des choses fortuites Date d'inscription : 01/08/2015 | Nedjma / Bile au trésor Lun 10 Mai 2021 - 21:58 | |
| - Izabou a écrit:
- Oh, ca me plait mois qui suis passionnée par l'histoire de l'Espagne, tiens je vais le commander pour mon anniversaire, et je ferai un retour sur mon blog je pense.
Merci, j'en suis ravie ! Je ne connais pas encore ton blog, tu aurais un lien pour que j'aille le visiter ? J'aime aussi beaucoup l'histoire d'Espagne, je trouve qu'on ne l'étudie pas suffisamment à l'école, c'est dommage ! (Enfin, si, en espagnol, mais pas en histoire, finalement.) - MaddyForeigner a écrit:
- Nedjma a écrit:
- Merci Maddy ! J'espère que ça te plaira, et quoi qu'il en soit, que tu me donneras tes impressions de lecture !
Je n'y manquerai pas.
Il faut déjà que je le reçoive. Oui, chaque chose en son temps ! |
| | Nombre de messages : 118 Âge : 30 Localisation : Nantes Date d'inscription : 14/02/2021 | Izabou / Barge de Radetzky Mar 11 Mai 2021 - 15:05 | |
| - Nedjma a écrit:
Merci, j'en suis ravie ! Je ne connais pas encore ton blog, tu aurais un lien pour que j'aille le visiter ? J'aime aussi beaucoup l'histoire d'Espagne, je trouve qu'on ne l'étudie pas suffisamment à l'école, c'est dommage ! (Enfin, si, en espagnol, mais pas en histoire, finalement.) J'ai deux blogs, mais a priori c'est celui consacré à l'Espagne où je parlerai d'un tel livre : https://escapade-castilla-y-leon.blogspot.com/ . Il y a une rubrique Voyage au fil des pages. |
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