Une fois, je me suis relevé violemment d'une sieste alors que je rêvais, ou pensais plutôt – je dors consciemment –, que la plupart des athées, ou des agnostiques, me rirait au nez ou hausserait un sourcil sûr et moqueur si, pour illustrer la raison qui m'empêche de croire à l'inexistence de Dieu, je me contentais d'ouvrir un dictionnaire à la bonne page ; mais la plupart des croyant·es s'offusquerait.

Comment se fait-il que j'ai absolument raison mais que, pourtant, personne ne me croit ? Quand donc naîtront les hemmes qui connaîtront mon être comme je l'ai connu ? Qui sera celle qui, d'entre les morts, devinera mes songes, et les silences des morceaux restants de quelques textes obscurs ?

Dehors, en bas, mon corps s'enlise dans les fils de l'histoire. Je la connais, mais on dirait qu'elle n'est propre à personne, sinon tout, sinon rien. Mon esprit rit : l'absence d'information aux origines suffit à ses plaisirs.

Puisque je suis, quelque part, tout de mon information dans cette Bibliothèque sans confins que ceux que l'on n'a pas déjà éloignés, il est vraisemblable que tôt ou tard, ces souris qui me sont des amies dévoreront des pans entiers de moi, mémoires dormantes en moi que les rayons bibliophores conservent à mon insu ; si tant est qu'elles ne l'aient pas déjà fait. Ou, peut-être, je finirai en languettes léchées et collées çà et là, ici et maintenant, comme un chewing-gum les chaises les bancs de classe, au sol la cour, comme les boulettes de PQ mouillées et malaxées puis jetées au plafond à, quoi ?, onze ou douze ans.

Nous irons en retenue mais, à cause du ballon en plastique, de la proximité de deux garnements, et de l'absence de surveillant : nous finissons par soulever plusieurs plaques, laissant de notre passage et de notre punition, des trous béants, carrés, sur le mur du fond d'en haut. Nous avons ri, je me souviens ; on a pris cher aussi, mais ça, ça ne m'a pas marqué.

Je ne crois pas vraiment que je dois lire, plutôt, je dois croire qu'il est bon, pour moi, de lire : ça fait grandir.

Quasi 22:55.

http://8mars.info/tag/1939

Citation :

Les Lois de Manu considèrent qu'en sept générations une lignée de « hors caste » peut retrouver une caste, la plus élevée (celle des brâhmanes), grâce aux pratiques purificatrices collectives :

« 63. L'Ahimsâ (refus de violenter, nuire aux créatures), la véracité, le non-vol, la pureté et le contrôle des sens, Manu a déclaré être le résumé du Dharma (« loi ») pour les quatre castes (varṇa). 64. Si une femme, issue d'un homme Brahmane et d'une femme Shudra, porte l'enfant d'un membre d'une plus haute caste, les inférieurs atteignent la plus haute caste au sein de la septième génération. 65. Ainsi, un Shudra atteint le rang d'un Brahmane, et (d'une manière similaire) un Brahmane choit au niveau d'un Shudra ; mais sachez qu'il en est de même avec la progéniture d'un Kshatriya ou d'un Vaishya. (...) 67. La décision est la suivante : « Celui qui a été engendré par un Arya (« Noble ») avec une femme non-noble, peut devenir Arya par ses vertus ; celui qui a été porté par une mère arya (« noble »), mais qui a pour père un non-noble, est et reste l'opposé d'un Arya ». »

— Lois de Manu, livre 1013.

Citation :

REGARDE MOI BIEN

Pas qu'aujourd'hui. C'est tous les jours qu'il faut se battre, qu'il faut gueuler, qu'il faut s'aider et s'apprendre. La bise à toutes mes sœurs, merci pour aujourd'hui et pour demain aussi

Spoiler:

Citation :

L’individu qui réussit à se lier avec un Dëverstyr obtient de lui un charisme et une force militaire impressionnante, ainsi que la paix dans son foyer, avec les siens.
:epervie_cuivre: Les rumeurs disent qu’un vaahva a des chances d’attirer un dëverstyr par la générosité. Plus il donne de richesse, plus un dëverstyr en balade pourrait s’intéresser à lui si le don est fait avec le cœur.

Citation :

Dans le Monachisme,  on considère donc qu'une responsabilité du riche est de pratiquer la charité auprès des plus pauvres et de contribuer au financement du culte.

Citation :

ierne est représentée comme une femme d'apparence musculaire et forte. A l'origine, les récits de Tierne la décrivait comme une mageneta qui visitait les pauvres et leur apportait du réconfort. Cependant, avec le temps, le folklore ocolidien lui a donné le rôle des services rendus, de l'affection et des tâches faites en silence. Ainsi, elle repêche ou récupère les dépouilles de ceux qui sont morts accidentellement ou qui ont été tués sans sépulture et tient les calamités à l'écart. Elle aide aussi les malheureux à trouver le sommeil.

Citation :

:PointEsperwin: N'attendez plus, Esperia a besoin de vous, soyez rp, ça se passe ici => https://www.paypal.com/paypalme/esperiadons

Nous souris ont l'impression qu'on parle d'Aä ; métaphétesse. On dit que le méta est interdit, sur Esperia, et, en règles générales, lors de tout déroulement d'une partie de jeu de rôle .. mais, tout le monde sait, que le méta est impossible à déjouer tout à fait : on l'interdit pour le contraindre, et le diminuer.

D'ailleurs, souvent, les personnages finissent par traîner plus avec les joueurs et joueuses dont nous aimons le plus le style, l'ambiance, la créativité, le contenu, et j'en passe et j'en passe ; mais, ça, tout le monde le sait que c'est déjà du méta. Et tout le monde le pardonne : après tout, on est des hemmes.

Trois affiches ne couvrent pas le dos des livres malgré elles :

Citation :

Mais c'est la mère en premier, déjà, avant que l'enfant fut.

N'est-ce pas ?

dit .te

Citation :

Chaque cellule somatique humaine possède 22 paires de chromosomes homologues (également appelés autosomes), numérotés de 1 à 22, et une paire de chromosomes sexuels (également appelés hétérochromosomes ou gonosomes), soit un total de 23 paires.