Les procédés de cette maison (le lys bleu édition) peuvent être qualifiés d’escroquerie. A ce jour, mon livre (bon ou mauvais, là n’est même plus la question) est pris en otage et coincé chez eux, alors qu’ils l’ont retiré de toutes les plateformes de ventes en ligne ainsi que de ceux des distributeurs le rendant invendable, même par les libraires qui ne peuvent plus le commander. Représailles à mes contestations quant à leur travail ou plutôt nontravail et mes demandes d’explications. Ils sont injoignables par téléphone, ne réponde au mail que quand ça les arrange. Ils m’ont bloquée sur Facebook et Instagram pour m’empêcher de dénoncer ce qui se passe avec mon livre.
Une maison d’édition, ce sont des professionnels qui mettent leurs talents au service des écrivains et des lecteurs. Elle doit être un guide, un pilier, un mentor. Elle peut être modeste, connue ou reconnue, mais toujours, elle devra s’entourer d’honnêteté. Et puis, il y a les usurpateurs qui n’ont rien d’une maison d’édition, tout juste, peut-être, peuvent-ils être rangés dans la catégorie des imprimeurs. Et encore, pour exercer ce métier, il faut une bonne dose de savoir-faire et l’humilité de ne pas s’élever au-delà de ses compétences. Dans cette profession également, il y a les bons, les excellents et les médiocres.
Moi, j’ai rencontré le médiocre, pour mon plus grand malheur et celui de mon livre retenu en otage par un contrat truffé de conditions et d’obligations réciproques, dont seules les miennes sont d’application.
Chaque écrivain a droit à la franchise sur son travail et un non ou une analyse critique n’est jamais un échec. Par contre, un oui racoleur habillé d’un savoir-faire de façade pourra parfois flatter certains égos, mais toujours, renverra dans les cordes les plus inexpérimentés et les naïfs qui seront un vivier précieux pour de telles pratiques.