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| Je cherche un titre a mon roman | |
| | Nombre de messages : 1755 Âge : 27 Date d'inscription : 14/08/2016 | Don Rumata / Fiancée roide Ven 31 Jan 2020 - 1:06 | |
| J'ai trouvé ton titre : "Arô sur le bénitier" |
| | | Invité / Invité Ven 31 Jan 2020 - 9:33 | |
| - leasaurusrex a écrit:
- Même quand certains enfants peuvent parler on ne les écoute pas forcément...
Les scandales de pédophilie dans l’église catholique qui ont éclaté récemment prouvent qu’il n’y a rien d’absurde dans le pitch raconté par David. Salut Je ne sais pas si c'est par rapport à ce que j'ai écrit que tu dis ceci ? Parce que je suis tout à fait d'accord avec toi ! Les victimes de viol, très souvent, ne sont pas écoutées ; et quand elles sont écoutées, pas crues ; d'autant plus quand l'agresseur est un prêtre, un prof, un parent etc. Que personne ne croit Eliott ne m'étonne pas du tout. Mais que le prof et tous les élèves pensent qu'un autre élève est devenu muet parce qu'il a injurié Dieu/blasphémé (le pitch parle d'une punition divine pour cette raison), ça ne me convainc pas trop, sauf à la rigueur s'ils évoluent dans un milieu à la fois très religieux et très fermé. Après, peut-être que je me trompe sur la mentalité des élèves à la fin des années 80. |
| | Nombre de messages : 14908 Âge : 49 Localisation : Côte d'Or & d'Opale Pensée du jour : Confiance et longueur de Temps... Date d'inscription : 11/01/2013 | Séléné.C / La femme qui tomba amoureuse de la lune Ven 31 Jan 2020 - 10:58 | |
| - leasaurusrex a écrit:
- Même quand certains enfants peuvent parler on ne les écoute pas forcément...
Les scandales de pédophilie dans l’église catholique qui ont éclaté récemment prouvent qu’il n’y a rien d’absurde dans le pitch raconté par David. Ce qu'on remet en cause n'est pas que les victimes peinent à trouver écoute. Quand rien ne semble anormal, il est facile de considérer que la victime affabule, et c'est la parole de l'un contre la parole de l'autre. Mais ici, il y a - un cas pathologique (adolescent subitement devenu muet) qui, si ça se passe à notre époque, fera rapidement entrer en jeu un regard médical, et probablement plusieurs. - une agression non masquée en séduction (mais agression de force) qui a failli être surprise - un confessionnal truqué, ce qui représente une preuve utilisable pour prouver que la situation n'est pas normal (et peut sembler rocambolesque) > factuellement, on est très loin de l'agression par attouchements progressifs contre lesquels l'enfant ne dit rien parce qu'il ignore que c'est anormal et qui ne produisent aucun signe évident dont une tierce personne puisse s'intriguer. Quant à employer le mot "absurde" = c'est à David de voir comment il veut tourner les ambiances de son roman, et donc comment il faut traiter les questions qu'on lui a soulevées. S'il a des réponses cohérentes aux questionnements qu'on lui soulève, alors tant mieux. |
| | Nombre de messages : 282 Âge : 47 Date d'inscription : 28/02/2018 | Ancolie / Autostoppeur galactique Ven 31 Jan 2020 - 21:40 | |
| Bonjour David, une solution pour rendre crédible les points soulevés serait de situer l'action dans un milieu ultra-catholique, limite sectaire. Ce qui expliquerait pourquoi tous le monde prend son mutisme pour une punition divine, pourquoi le prêtre est autant respecté, pourquoi la victime ne peut espérer aucun soutien de son entourage. Il y avait justement eu dans les années 80/90 des histoires dans ces milieux (d'enfants noyés à cause de l'imprudence d'un prêtre je crois, au sein d'une communauté non reconnue par le Vatican), les parents n'avaient jamais porté plainte et avaient continué à soutenir leur "gourou". |
| | Nombre de messages : 2610 Âge : 125 Date d'inscription : 08/04/2019 | Leasaurus Rex / Terrible terreur Lun 3 Fév 2020 - 15:48 | |
| L'avantage avec la fiction c'est qu'on peut aussi faire que l'histoire se passe dans un monde actuel, mais pas identique au nôtre. L'auteur n'a peut-être pas forcément envie de se baser sur quelque chose de 100% réel et factuel, et je trouve intéressant de voir comment on peut imaginer des situations "parallèles" à des problèmes réels. - Séléné.C a écrit:
- Quant à employer le mot "absurde" = c'est à David de voir comment il veut tourner les ambiances de son roman, et donc comment il faut traiter les questions qu'on lui a soulevées. S'il a des réponses cohérentes aux questionnements qu'on lui soulève, alors tant mieux.
Merci de me lire correctement. Je n'ai jamais parlé de ton ou d'ambiance absurde, j'ai dit que l'idée de David n'était pas absurde. Avant d'être un type littéraire, l'absurde c'est surtout : - Le Larousse a écrit:
- Absurde : Qui est contraire à la raison, au sens commun, qui est aberrant, insensé.
Quant à la cohérence des réponses de David... Hm, aucune opinion à ce sujet n'était demandée, l'auteur cherchait juste de l'aide pour trouver un titre. Donc en fait, je ne vois pas pourquoi la critique est faite sur l'histoire du confessionnal, sur l'histoire de la punition divine ou encore sur le cas pathologique de l'adolescent qui devient muet. |
| | Nombre de messages : 14908 Âge : 49 Localisation : Côte d'Or & d'Opale Pensée du jour : Confiance et longueur de Temps... Date d'inscription : 11/01/2013 | Séléné.C / La femme qui tomba amoureuse de la lune Lun 3 Fév 2020 - 15:59 | |
| Je n'ai pas non plus parlé d'ambiance absurde.
Ce qui serait absurde, c'est de donner un avis sur le scénario avec la certitude qu'il va dans le sens de l'idée de David, qui ne nous a fourni qu'un pitch de type 4° de couverture, qui n' equivaut ni a un synopsis ni a une note d'intention (note où aurait pu se trouver l'ambiance planant sur l'intrigue). Même l'idée de la paroi amovible, que je trouve douteusement réaliste, peut devenir une bonne ficelle dans une ambiance adaptée. Connaître l'ambiance ou le genre littéraire aiderait d'ailleurs beaucoup, pour proposer des titres...
Soit dit en passant que le terme "absurde" désigne aussi un genre littéraire, qui ne traite pas de choses impossibles ni surnaturelles mais hautement improbables et cependant possibles, que le personnage ne comprend pas, et dont il peine à s'extraire. Genre qui pourrait être employé sur le scénario décrit par David. Une ambiance absurde est donc effectivement envisageable (mais c'est ta réponse qui m'y fait penser, et je n'avais pas cela en tête à mon précédent post).
Concernant le titre, je crois que presque toutes les réponses vont dans le sens : "rien ne presse"...
Et pour ma part, j'avais choisi de ne pas entrer dans des considérations socio-actuelles ni conceptuelles (comme par exemple le fait que les victimes ne soient pas crues) et m'en suis tenue à la logique factuelle du pitch. |
| | Nombre de messages : 73 Âge : 29 Date d'inscription : 25/11/2019 | CorailN / Clochard céleste Jeu 6 Fév 2020 - 8:50 | |
| Ah la plaie de trouver un titre. C'est sûr que c'est génial de pouvoir travailler le roman en l'ayant en tête, mais ne sois pas trop pressé, il peut te venir en chemin ou après avoir fini de tout corriger comme on te l'a dit plus haut. Mais sinon voici quelques classiques pour te débloquer l'inspiration : - Tu peux axer le titre sur ton héro ou ton antagoniste principal selon celui sur lequel tu veux faire l'emphase (est-ce que l'on raconte l'histoire de la vengeance d'Elliot ou la chute d'Henry ?) dans ce cas des titres peuvent se trouver facilement dans le genre : " L'histoire d'Elliot Black" (variante " Mon nom est Elliot Black et je vais vous raconter mon histoire" si c'est écrit du point de vue du protagoniste) ou alors " L'affaire Henry Simon", etc... - Tu peux aussi choisir un titre reflétant l'ambiance globale de ton livre, comme les deux très bons exemples de Profsamedi (la traduction en latin donne toute une dimension au titre et permet d'en dire plus sans en écrire plus ! ) - Tu peux aussi donner en titre une expression sortie de ton livre. Quand le lecteur va lire tes écrits et qu'il tombera dessus il va tiquer. C'est encore mieux quand ces mots ont sens nouveau dans le contexte du livre, ça donne au lecteur l'impression d'avoir accès à une sorte de private joke que seuls ceux qui sont arrivés jusque-là dans leur lecture peuvent comprendre. Dans tous les cas, évite le titre mensonger. Je déteste lire un livre qui me trompe sur son contenu à cause de son titre (même si la couv et la quatrième de couv sont très importantes également). Sache qu'on bon titre peut aussi sauver d'une mauvaise couverture Surtout, essaie de trouver un titre qui te donne envie à toi de lire ton propre livre, ou au moins qui ne t'horrifie pas. Bon courage pour tes recherches ! |
| | Nombre de messages : 9 Âge : 46 Localisation : 22220 Pensée du jour : "écrire c'est hurler en silence" Duras Date d'inscription : 04/02/2020 | iseut / Magicien d'Oz Jeu 6 Fév 2020 - 9:07 | |
| Quel âge a -t-il ? Tu mentionnes qu'il est plus jeune que les autres ? Pourquoi va-t-il se confesser ? C'est vrai que dans un confessionnal , cela semble peu crédible , "techniquement" si je peux dire . Je crois qu'un viol engendre en effet un traumatisme qui se traduit par des images récurrentes entre autres .
Le titre viendra peu à peu , tu peux toujours faire une liste en attendant ! |
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