Juste... plume_du_reve, je ne comprends pas comment tu fais pour écrire avec de telles polices. Garamond à la limite... J'écris en Verdana taille 9, perso, ce qui équivaut peut-être à un Times New Roman taille 12.

Mon roman, n'en parlons pas. Il doit faire dans les dix pages Word interligne 1,5. Ridicule. Mais j'aimerais bien le terminer (environ 120 pages Word ?).

Marx a écrit:

La qualité d'un roman se mesure à la qualité et à la quantité de choses que l'on peut dire en un minimum de pages. Alors qu'en j'en vois qui se vantent de baratiner sur des centaines de pages word, j'ai envie d'hurler à la perte de temps.

Totalement d'accord...

Et puis tout dépend de la police choisie, des marges en haut et en bas de la page, à gauche et droite, comment vous rédigez vos dialogues, si vous n'écrivez qu'une page sur 2 (pourquoi pas ? ) si vous allez souvent à la ligne... etc, etc...

l'écriture n'est pas un concours de "qui à la plus grosse" !!!!

Il faut compter en signes ou mots pour pouvoir comparer, mais ça aide pas trop à se faire une idée de la taille. Sauf en calculant le nombre moyen de mots par pages.

Mon premier roman va faire pas loin de 150.000 mots soit un peu plus de 200 pages world en police de taille 11 et de manière assez aérée.
Ma mise en page donne des pages de 45 lignes maxi (pages numérotées)

...et je ne me vante absolument pas

Et c'est totalement faux ce que vous déclarez! Regardez guerre et paix de Tolstoi voyons, pas loin de 2000 pages! Ne dites plus de sottise voyons!

Sinon, pour une idée du nombre de page une fois au format roman le plus standard, il faut faire du Times New 12 avec interligne de 1.5.

Et oui on s'en fout de la taille, Nothomb fait bien des " romans " de 100 pages.

On peut refaire le même sondage avec le nb de caractères ?

Citation :

Marx a écrit:
La qualité d'un roman se mesure à la qualité et à la quantité de choses que l'on peut dire en un minimum de pages. Alors qu'en j'en vois qui se vantent de baratiner sur des centaines de pages word, j'ai envie d'hurler à la perte de temps.

Citation :

Alabamasong18 a écrit:
Et c'est totalement faux ce que vous déclarez! Regardez guerre et paix de Tolstoi voyons, pas loin de 2000 pages! Ne dites plus de sottise voyons!

Tout dépend de ce qu'il classe en "qualité quantité" et ce qu'il classe en baratinage. La dernière fois que j'ai vu une remarque du même style, son auteur considérait que peindre avec précision l'état d'esprit d'un personnage principal était du baratinage pour remplir les trous, et qu'il ne fallait pas arrêter l'action pour si peu. Si Marx est du même avis que celui-ci, alors je suis de celui d'alabamasong (bien que je n'ai jamais lu Guerre et Paix, je ne peux pas me positionner sur celui-ci)

Il n'y a pas de règle en écriture, tant que c'est beau. Va falloir le répéter longtemps ?

Le baratinage est rarement beau, selon moi. Sortir des phrases à rallonge et alambiquées, qu'il faut lire plusieurs fois pour la comprendre, et comprendre qu'au final, elle n'est ni fouillée au niveau de la sonorité, ni n'apporte rien à l'histoire, n'est utile ni au fond ni à la forme, bref, qu'elle sert à rien, sinon donner des maux de tête à force d'essayer de la déchiffrer, je ne trouve pas ça beau, et si même les normes de la beauté exigerait que cela soit beau, ça ne m'attirerais pas.

Oui, en résumé, quand c'est moche, c'est pas beau. Merci.

Bon, je suis un peu près de ton avis Who.

Cela dépend de l'histoire du roman, ce que raconte le roman.

Évidemment si vous écrivez un roman d'aventure destiné en partie pour des enfants, vous n'allez pas écrire de la psychologie sur vos personnages, ça c'est clair j'pense.

Comme tu dis, des phrases à rallonge qu'il faut tenter de comprendre en les lisant des dizaines de fois, là c'est une autre histoire. Mais ne sont elles pas obligatoires pour certain style d'écrit?
Philosophique, psychologique, etc.

Le petit prince est un bel exemple de simplicité. Le roman apparaît assez simple, mais il est destiné autant aux enfants qu'aux adultes. Le style est simple mais ce qu'il dégage est complexe.

Nietzsche a une écriture assez complexe (selon moi) et ce que dégage la signification de ses écrits est d'une simplicité déconcertante (avis personnel bien sûr)

Citation :

Oui, en résumé, quand c'est moche, c'est pas beau. Merci.

Tu simplifie et déforme. Je n'ai pas cherché à donner la règle du "quand c'est bien et quand c'est pas bien", j'ai juste dit au préalable que ça dépendais de ce qu'il appelais le baratinage, tu m'as répondu qu'il n'y a pas de règles en écriture, et je t'ai répondu ensuite que je ne prétendais pas que c'était une règle, mais mon avis sur la chose. Ça n'empêche pas certains d'apprécier ce que personnellement j'appelle baratinage.

Who. a écrit:

Citation :

Oui, en résumé, quand c'est moche, c'est pas beau. Merci.

Tu simplifie et déforme. Je n'ai pas cherché à donner la règle du "quand c'est bien et quand c'est pas bien", j'ai juste dit au préalable que ça dépendais de ce qu'il appelais le baratinage, tu m'as répondu qu'il n'y a pas de règles en écriture, et je t'ai répondu ensuite que je ne prétendais pas que c'était une règle, mais mon avis sur la chose. Ça n'empêche pas certains d'apprécier ce que personnellement j'appelle baratinage.

une dispute une dispute une dispute!!! allez y tapez vous sur la gueule!!! Sur la gueule!!!

Alabamasong18 a écrit:

Who. a écrit:

Citation :

Oui, en résumé, quand c'est moche, c'est pas beau. Merci.

Tu simplifie et déforme. Je n'ai pas cherché à donner la règle du "quand c'est bien et quand c'est pas bien", j'ai juste dit au préalable que ça dépendais de ce qu'il appelais le baratinage, tu m'as répondu qu'il n'y a pas de règles en écriture, et je t'ai répondu ensuite que je ne prétendais pas que c'était une règle, mais mon avis sur la chose. Ça n'empêche pas certains d'apprécier ce que personnellement j'appelle baratinage.

une dispute une dispute une dispute!!! allez y tapez vous sur la gueule!!! Sur la gueule!!!

est-ce que tu es d'accord avec mes dires Who?

Invité a écrit:

Et les livres moyens font 200, 300 pages donc 100 à 150 word suffisent :p Je me vois mal lire 800 pages d'un auteur inconnu ! Sauf si bien sûr je le connais.

Ca c'est drôle !