Oui, la question se pose davantage, c'est sûr, et encore... J'ai participé ou collaboré à quelques anthologies, et c'est jamais le nombre de signes qui dicte la réponse. Quand l'éditeur a un coup de cœur, il s'arrange toujours. Après, c'est sûr que ça donne meilleure impression quand tu as respecté les contraintes, ça montre que tu as bien lu les consignes quoi.
La limite est peut-être plus stricte pour les revues qui publient des nouvelles par contre, je pense. Eux doivent avoir une réelle contrainte au niveau du nombre de pages j'imagine ?

Parce que la seule "vraie" limite que peuvent s'imposer les éditeurs, ce sont les 3cm de dos, ce qui correspond à la hauteur maximale en France pour envoyer un livre en lettre (après ça passe en colis et les prix montent). Mais après...

475 avec Word

478 avec https://www.compteurdelettres.com/mots.html (mais en testant de supprimé un des quadratins, ça retire un mot, donc on se demande comment c'est compté...)

487 mots (dont 226 mots différents) : http://compteur-de-mots.net/
là au moins il marque chaque mot et le nb d’occurrences, ça semble mieux

de base je ferais plus confiance à Antidote qui est un outils spécialisé qu'à Microsoft et word ou même libre office qui ne sont pas francophone de base

458 mots avec Scrivener.

Je remonte un vieux topic (c'est bien autorisé si j'ai bien compris ? ça ne l'est pas partout) parce que j'ai un problème avec ce truc-là.

Sur Word/Pages/Obsidian, mon texte est évalué à environ 104/105K mots, tandis qu'Antidote m'en recense 114K ! Je ne sais pas si mon texte a un souci pour que la différence soit telle, mais je n'ai pas l'impression que mes corrections y changent grand chose pour le moment.

Sachant que je sais que je me situe dans la zone grise (on recommande souvent 100K mots max), ça m'embête un peu. De quel chiffre faut-il tenir compte, sachant que trois logiciels sur quatre ont un résultat similaire, mais qu'Antidote est réputé plus fiable ?

Je suis assez réticente à couper mon histoire de façon trop conséquente dans tous les cas, mais autant 5K me semblait faisable (ou constituer une marge acceptable), autant 15K, ça représente plus d'un dixième de l'histoire !

Ce n'est pas vraiment autorisé en soi, [Rectification : tant que c'est en lien avec le sujet, y'a pas de souci !] Je vois que personne n'a eu d'explication sur ce sujet, alors que la réponse est importante et pas si mystérieuse ! 

Tout simplement, les traitements de texte n'ont pas tous la même manière de compter ce qu'est un mot : certains vont compter les espaces pour estimer le nombre de mots (et donc, toutes les ponctuations deviennent un mot en français) ; c'est surtout surtout la gestion des tirets et des apostrophes qui peuvent vraiment changer le compte : c'est-à-dire, par exemple : 1 mot, ou 3, ou 4 ? Selon les règles suivies, selon le pays, ça peut changer !

J'imagine en effet que c'est pour ça (et tous les mots avec apostrophe doivent être en cause), mais du coup je trouve assez difficile de savoir à quoi s'en tenir avec les éditeurs.

Mais j'y réfléchissais encore, et je me disais qu'il faut peut être plutôt se fier au nombre de caractères ? J'en suis à 622K. Et si la limite la plus courante est bien 600K, ça ferait donc bien moins de 10% à enlever pour rentrer dans les clous.

Oui, souvent, les éditeurs comptent en sec, justement pour éviter ces variations Normalement, tous les logiciels trouveront le même nombre, à quelques espaces près !