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| | | Invité / Invité Dim 19 Mar 2017 - 18:40 | |
| Merci pour vos réponses. - Citation :
- Notre comité de lecture, c'est engagé à corriger au maximum 15 fautes par pages. Quand il y a plus de 15 fautes, nous envoyons l'exemplaire pour correction à l'auteur. Nous l'informons du nombre de fautes et des suites:
- soit il souhaite corriger lui-même ou par des ami(e)s, de la famille. - soit il nous demande un devis de correction. Devis qu'il peut accepter ou non. Et si l'auteur refuse le devis et ne peut compter sur personne pour se faire corriger, que se passe-t-il ? Combien de personnes constituent le comité de lecture, comment sont-elles choisies ? Je note vos réserves sur la dénomination "compte d'auteur". Au fond, vous vous rapprochez davantage des prestataires de publication type édilivre : peu de refus, corrections payantes, et promotion minimale. D'ailleurs votre code NAF ne renvoie pas à l'édition de livres. |
| | Nombre de messages : 9 Âge : 44 Localisation : France Date d'inscription : 19/03/2017 | Editions Biblis Veritas / Magicien d'Oz Dim 19 Mar 2017 - 18:46 | |
| Nous pouvons nous permettre de laisser sa chance à de nombreux auteurs car nous diffusons en numérique. Quand on distribue en format papier, les répercussions des non-ventes sont grandes et c'est un frein économique. Si un livre n'est pas vendu, il est à la charge de l'éditeur de s'occuper de ce stock.
En numérique, nous n'avons pas ce type de problème. Nos partenaires nous accordent cinq ans de diffusion, puis, si l'auteur souhaite être visible après ce temps, on réalise un avenant de diffusion. Nous n'avons pas à gérer de stock.
Si demain, un de nos auteurs réalise, imaginons 20 000 ventes électroniques. Il serait judicieux pour lui d'apparaître dans des librairies physiques en version papier. Ce qui ferait l'objet pour nous, éditeurs, de nouvelles démarches, de recherches de distributeurs "papiers". Ce qui reste à l'heure actuelle spéculatif. Même si nous l'envisageons.
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| | Nombre de messages : 9 Âge : 44 Localisation : France Date d'inscription : 19/03/2017 | Editions Biblis Veritas / Magicien d'Oz Dim 19 Mar 2017 - 19:00 | |
| - Coline a écrit:
- Merci pour vos réponses.
- Citation :
- Notre comité de lecture, c'est engagé à corriger au maximum 15 fautes par pages. Quand il y a plus de 15 fautes, nous envoyons l'exemplaire pour correction à l'auteur. Nous l'informons du nombre de fautes et des suites:
- soit il souhaite corriger lui-même ou par des ami(e)s, de la famille. - soit il nous demande un devis de correction. Devis qu'il peut accepter ou non. Et si l'auteur refuse le devis et ne peut compter sur personne pour se faire corriger, que se passe-t-il ?
Combien de personnes constituent le comité de lecture, comment sont-elles choisies ?
Je note vos réserves sur la dénomination "compte d'auteur". Au fond, vous vous rapprochez davantage des prestataires de publication type édilivre : peu de refus, corrections payantes, et promotion minimale. D'ailleurs votre code NAF ne renvoie pas à l'édition de livres. Edilivre et associés ne lisent pas ce qui leur est envoyé. Notre comité de lecture fixe compte 6 personnes, mais nos lecteurs regroupent 22 personnes. Les membres honoraires ont été des collègues de l'édition et des enseignants en lettres. Nous avons un vivier de lecteurs consultants qui travaillent dans l'enseignement et d'autres qui aiment lire et découvrir de nouveaux auteurs. Si le code NAF ne correspond pas il y a erreur. Erreur qui devra être vue avec l'éditeur et créateur du site web. Puisque le code NAF doit être 5811Z. Je m'en occuperai personnellement demain. Si l'auteur refuse le devis, nous lui conseillons des sites et logiciels correcteurs. Ce qui permet de diminuer grandement. |
| | Nombre de messages : 664 Âge : 124 Date d'inscription : 05/02/2017 | OrsonWilmer / Hé ! Makarénine Dim 19 Mar 2017 - 21:32 | |
| Je trouve votre démarche plutôt ouverte, personnellement. Même si on peut ne pas être en phase avec votre modèle, qui se rapproche il est vrai davantage d'un prestataire de service plutôt que d'une grosse maison d'édition, je trouve qu'il y a une certaine logique compte tenu du marché de l'édition, très difficile. Je serais très curieux pour ma part de savoir quels sont vos moyens de promotion des livres, sachant que cela conditionnera pour beaucoup la vente et donc la rémunération des uns et des autres. Vous remerciant par avance de votre retour. Bonne continuation |
| | Nombre de messages : 341 Âge : 35 Localisation : France Pensée du jour : Terre. Brûlée. Au vent. Date d'inscription : 18/01/2017 | Tiphs / Tapage au bout de la nuit Lun 20 Mar 2017 - 16:00 | |
| Compte d'éditeur = 0 cts à débourser pour se faire éditer. À partir du moment où l'auteur doit payer quoi que ce soit, même une toute petite partie, ce n'est plus du compte d'éditeur, peu importent les raisons.
Pour plus d'infos, se référer à La Charte ou à n'importe quel juriste spécialisé.
Après, si chacun est ok avec la démarche, ce n'est pas un problème. Mais appelons un chat un chat. |
| | Nombre de messages : 375 Âge : 56 Date d'inscription : 19/12/2016 | Dr Ray / Tapage au bout de la nuit Ven 7 Juil 2017 - 18:56 | |
| Ce n'est certes pas une critique, mais il me semble que le nom de la maison d'édition prête à confusion (et même son logo) : le simple mortel va s'attendre à ce que vous éditiez missels, rosaires, livres d'heures, évangiles et autres bondieuseries.
Certes, le latiniste impénitent ne fera pas cette confusion... Mais tout de même, c'est assez cocasse ! |
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