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 Roman refusé par les éditeurs : l'alternative Internet ?

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Odessa_James
   
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Odessa_James  /  Petit chose


Bonjour-bonjour.

Je ne sais pas si ce sujet est parfaitement adapté à la rubrique Édition et Autopubli, j'hésitais entre celui-là et le Général, mais bon, si jamais ça ne convient pas, un gentil organisateur se chargera sans aucun doute de le déménager. Smile

(Mon message va peut-être dépasser la longueur recommandée, aussi serai-je reconnaissant envers ceux qui prendront la peine de se pencher dessus, mais j'ose croire qu'il en vaut la peine, puisqu'il y va quand même de ma santé mentale, et donc, à terme, de ma santé physique. Lisez un commentaire, sauvez une vie.)

J'ai écrit un roman de SF, entre 2013 et 2015, que j'ai envoyé à l'automne 2015 à une vingtaine d'éditeurs (une dizaine via courrier, une douzaine par e-mail)... pour un résultat négatif (logique : s'il avait été positif, plutôt que d'ouvrir ce sujet, je serais en ce moment-même en train de taper ma sixième nouvelle en police 24 sur mon ordinateur étanche, confortablement installé dans le jacuzzi végétarien de mon jet privé). Début 2016, je me suis rendu à l'évidence que les carottes étaient cuites, du moins en l'état... mais ça ne m'a pas non plus traumatisé, car j'étais conscient de sa tare principale depuis le début : sa longueur considérable. Le mix répertoire fantastique/SF + auteur inconnu au bataillon + longueur = le cocktail parfait pour être ignoré. Du coup, je me suis lancé dans l'écriture d'un autre roman, toujours fantastique, toujours un peu tordu, mais bien plus court et accessible (plein de dialogues), que j'ai envoyé en novembre dernier - croisons les doigts.

Toujours est-il que mon premier croupit dans un coin et ne sert actuellement à rien. Il a été lu par ma famille, ma compagne, et une poignée d'amis proches, qui n'ont même pas eu la décence de m'en acheter une copie (pourtant super classe, avec reliure noire, couverture plastifiée, etc.), et ça ne peut pas continuer ainsi. Je veux en faire quelque chose. Mais quoi ? On m'a suggéré l'auto-édition. Y aller de sa poche, se charger de la distribution, faire le Salon du livre, tout ça. Pas que je me sente au-dessus de cette option, je comprends ceux qui y ont recours, mais je ne pourrai jamais m'y résigner, c'est trop à l'opposé de l'ambition que je nourrissais à la base pour ce foutu roman sur lequel j'ai passé trop de temps. L'autre option, le livre numérique, m'inspire une certaine méfiance - mais peut-être ai-je tort ? Un ami m'a recommandé ce site : [url=http://www.leseditionsdunet.com[/url]. Quelqu'un a-t-il un avis à ce sujet ? Et si cette option est viable, connait-il un autre site du même genre en mieux ?

Dans tous les cas, ma compagne m'a récemment parlé de ce couple de quinquas dont les romans étaient rejetés depuis Mathusalem, qui a tout à coup décidé d'en uploader un sur l'Interweb, en plusieurs parties, comme ces romans publiés dans la presse du XIXème siècle... et avec qui ça a "marché". Et depuis, je me demande si Internet ne serait pas une voie intéressante. Peut-être est-il incohérent de se méfier du livre numérique pour envisager cela ensuite ? Et puis, que cela donne-t-il dans les faits ? Quelle est la meilleure plateforme sur laquelle on peut publier son roman de cette manière ? J'ai vu que ça se pratique sur votre site, mais je ne sais pas si c'est approprié, et puis, les textes m'ont l'air de toute façon assez court. Est-ce seulement une bonne idée ?

Bref. Tant de questions, pour encore zéro réponses, d'où ma présence sur ce forum. En remerciant par avance ceux qui me répondront.
 
Irvyn
   
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Irvyn  /  No fun allowed


J'ai rencontré le même souci que toi, à savoir un très gros volume, refusé (enfin, ignoré devrais-je dire) par l'édition. Je me suis mis à l'écriture de textes plus courts, plus traditionnels aussi dans la forme, sans toutefois avoir tiré un trait sur ce premier projet. Personnellement, j'attends juste en vue d'une réécriture. Les années passent, et le style évolue. De plus, il serait bon d'acquérir un bout de terrain éditorial avant de commander le gros arsenal.
L'auto-édition peut être une bonne solution, aussi. Après... Il faut être conscient du travail à fournir, du manque très souvent de résultats malgré des efforts considérables. Ecrire dans un style & genre "vendeurs" est un plus non-négligeable, même si le plus difficile sera de nouer des contacts, via les réseaux sociaux etc, viser les bonnes personnes... Tout peut se vendre à partir du moment où la communication suit. De toute façon, en tant qu'inconnu, elle sera ton seul avantage pour les débuts.
La facilité de notre époque est de pouvoir créer et partager nos productions très facilement. Le souci, eh bien, est que tout le monde s'y essaie, si bien que donner de la visibilité à notre oeuvre est compliqué.
L'autre option, la troisième, serait d'essayer à l'étranger. Le Canada possède ses propres maisons d'éditions, pas tant rattachées à l'édition française que la suisse ou la belge. Sinon, voir une traduction dans la langue de Shakespeare. Si tu vis bien, tu pourras peut-être te permettre de louer les services d'un traducteur. Sinon, un (très) bon niveau d'anglais peut faire l'affaire, sur des textes plus courts pour commencer, bien évidemment.
https://auteurnegora.wixsite.com/necrosang
 
Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


Pour l'auto-édition, je pense que le plus simple est de passer par Amazon Createspace pour la version papier, et Amazon, Kobo et ITunes pour les versions numériques.
Sans oublier, en amont, un correcteur valable pour une relecture approfondie, et un graphiste pour la couverture.
Bon courage, les premiers pas en auto-édition sont parfois difficiles...
http://fcochet.wix.com/fcochet
 
DC
   
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DC  /  Gueule d'ange et diable au corps


Tu es a combien de versions de ton premier roman ?
 
Odessa_James
   
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Odessa_James  /  Petit chose


@Nordgia :
- "Acquérir un bout de terrain territorial", comme tu dis, était la meilleure chose à faire. Il est évident que si jamais un éditeur (un sérieux) prend la décision profondément humaniste d'éditer un premier roman, les chances que ce dernier fasse 500 pages sont de... zéro, sans doute ? Je savais, ça. Mais mon bouquin réunit justement vraiment bien des tares du premier roman : ambitieux parce que je me suis dit qu'il fallait frapper un grand coup pour se faire remarquer, complexe parce que j'ai profité de ce cadre ambitieux (dont l'action est à l'échelle mondiale) pour mettre à peu près tout ce que je voulais raconter de "fort", et long parce que je l'ai écrit sur trois ans. J'ai songé à le séparer en trois volumes, mais il faudrait bricoler deux pseudo-fins aux deux premiers tomes... bref.
- L'auto-édition : a huge no-no, comme disent les Américains. Ni l'énergie, ni le temps de me lancer dans un truc pareil. Encore une fois, j'ai trop mis dans ce bouquin pour le traiter comme un fanzine de lycée, aussi prétentieux que cela puisse paraître (c'est plus du principe ou de l'honneur mal placés qu'autre chose). Si ceux qui ont emprunté cette voie en sont satisfaits, tant mieux pour eux.
- Un éditeur canadien est une bonne idée ! Pour deux raisons : d'abord, ils sont plus ouverts à la littérature de genre ; ensuite, ils font beaucoup de publications bilingues, il me semble. J'y avais pensé il y a quelques temps, sans vraiment m'arrêter dessus (c'est loin Very Happy), mais tu réveilles cette idée au bon moment, thanks.
- Après, l'option la plus abordable reste donc le numérique, nous sommes d'accord... mais comme tu dis, il faut un bon plan, de la com, tout ça. Ou : une sacrée putain de chance. Au moins, pour démarrer, de bons conseils. C'est pour ça que je suis là, après tout.

@ Florence_C : Attention, au contraire, je ne suis pas séduit par l'auto-édition ! ^^; Enfin, quand je dis "auto-édition", j'ai le papier en tête, vous l'avez sans doute compris. On parle également d'auto-édition quand c'est au format numérique ? Le mec qui débarque, je sais. En tout cas, c'est sûr qu'il faut un graphiste. Les couvertures des bouquins m'ont toujours surpris par leur laideur, bien que ça s'arrange avec le temps.

@ DC : "Combien de versions ?" Euh... vous les comptez, vous ? Je ne vois pas comment j'aurais pu le faire, à partir d'un certain stade. Je n'en étais même pas à la troisième ou quatrième version que le bouquin avait déjà pris deux-cents pages, puis perdu cent... Allez, on va dire quatre "vraies", dans le sens avec des différences vraiment notables par rapport aux précédentes. Cela signifie-t-il quelque chose ?
 
Irvyn
   
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Irvyn  /  No fun allowed


Je comprends tout à fait pour l'auto-édition. Publier en numérique "en solitaire" revient à de l'auto-édition oui, mais tous les éditeurs (en tout cas la majeure partie) font dans le numérique aussi.
Clairement, l'édition française est très "spécialisée", ce qui est normal, au vu de sa faible part de marché sur le plan international. Très peu d'auteurs français, enfin, plus généralement d'artistes, arrivent à traverser les frontières et établir une influence à l'étranger. Sur le plan artistique, nous n'avons pas non plus un très bon rayonnement malgré un potentiel certain. Alors qu'au Canada, tu auras un accès très facile à l'anglais (ce qui ouvre de très nombreuses portes). Toutefois, certains éditeurs sont complètement fermés aux manuscrits français. D'autres les acceptent, mais il me semble qu'ils restent très pro-canadiens. Ils priorisent les auteurs du pays, ce qui est assez logique.
J'aurais tendance à dire que ce n'est pas si dramatique de se voir refouler ici. Finalement, ici, c'est assez petit.
Notamment pour tout ce qui est littérature de l'imaginaire, les anglo-saxons demeurent très loin devant nous (ils publiaient déjà du fantastique lorsqu'ici nous vénérions le mouvement réaliste. En même temps, ils ont donné naissance à tous les genres qui le composent désormais).

Mon discours peut paraître très pro-saxon, mais je pense qu'il n'est pas très utile de se voiler la face sur deux héritages littéraires bien distincts.
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Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


Oui, on dit aussi auto-édition pour le numérique.
Si tu en as envie, passe sur mon site en suivant le 1er lien de ma signature. J'y raconte mon unique expérience en auto-édition.

Avec une histoire comme la tienne, j'opterais pour une stratégie différente. J'attendrais que ton autre roman soit pris pour proposer le "pavé". Et je le séparerais en 3. (Pas besoin forcément de bricoler. Tu peux aussi couper en cliffhanger.)

En parallèle, je participerais à des appels à textes pour étoffer ma bibliographie et étendre mon réseau.

Bon courage dans tous les cas. ☺
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C'est intéressant, et je compatis, étant dans la même situation.
Moi je prends le parti de laisser mes écrits refusés/ignorés dans le tiroir, et un jour si je suis publié là où je veux, l'heureux éditeur courageux aura de la lecture pour un petit moment ! :mrgreen:
Mais ce qui risque d'être compliqué comme tu le dis, c'est de retoucher un texte écrit il y a plusieurs années, duquel on s'est détaché.
Mon tout premier roman, en revanche j'en ai fait le deuil. Je le trouve trop mauvais a posteriori, pour oser le proposer.
 
Valéry K.
   
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Valéry K.  /  Hé ! Makarénine


Kiru a écrit:
C'est intéressant, et je compatis, étant dans la même situation.
Moi je prends le parti de laisser mes écrits refusés/ignorés dans le tiroir, et un jour si je suis publié là où je veux, l'heureux éditeur courageux aura de la lecture pour un petit moment ! :mrgreen:  
Mais ce qui risque d'être compliqué comme tu le dis, c'est de retoucher un texte écrit il y a plusieurs années, duquel on s'est détaché.
Mon tout premier roman, en revanche j'en ai fait le deuil. Je le trouve trop mauvais a posteriori, pour oser le proposer.
Ça me parait être un choix très intéressant. Les éditeurs aiment les auteurs qui ont de la "matière" à leur fournir. Si tu as d'autres manuscrits sous le coude, ça ne pourra qu'être intéressant à ce moment-là, effectivement (même si, comme tu le dis, retravailler un manuscrit assez ancien, c'est un sacré boulot !).
http://www.baran-tiefenbrunner.com/
 
Odessa_James
   
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Odessa_James  /  Petit chose


@ Nordgia : Si je devais reconnaître UN domaine artistique dans lequel les Anglo-saxons nous sont nettement supérieurs, ce serait la littérature de SF/fantastique, donc je suis tout à fait d'accord avec toi. Ça n'empêche pas La Nuit des Temps de Barjavel d'être mon roman de SF préféré, mais dans l'ensemble, tu peux pas test, comme dirait Mozinor. Après... ben, on est en France et on doit faire avec, quoi. Je le savais, que j'aurais dû écrire une comédie de mœurs parisienne à la première personne teintée de politique et de vaudeville...

@ Florence_C : Merci pour les encouragements ! Et oui, j'ai bien entendu déjà envisagé de mettre mon roman en "dormition" jusqu'à ce que, soyons fous, j'ai été édité une, voire deux fois. C'est une option aussi sage que pragmatique. Mais ce serait long. Et je ne suis pas sage et pragmatique...

@ Kiru : Trouver horripilant à lire ce qu'on a écrit étant étudiant, c'est très courant, et plutôt naturel, à mon avis. Le truc, en ce qui me concerne, c'est que mon premier roman n'est pas un des tous premiers machins que j'ai écrit : avant de m'y mettre, au tournant de mes trente ans, j'ai passé dix ans à taper sur mon clavier un tas d'absurdités mégalomaniaques (journaux de bord, histoires sans fin ou sans début, synopsis trop longs, bibles sans utilité...), dix ans avant de reconnaître que j'avais vraiment envie de devenir écrivain. Donc si j'ai à mon actif un bon nombre d'écrits calamiteux que je suis prêt à dénigrer, ce roman n'en fait pas partie, hélas.
Après, il y a l'autre question du détachement, effectivement... ça, c'est arbitraire. On peut apprécier ce qu'on a écrit à telle époque, mais ne pas être capable d'en retrouver l'esprit. Là et seulement là, je comprendrais presque le penchant pour la drogue des écrivains maudits !

Bon, maintenant, sérieusement, personne n'a quoi que ce soit à dire au sujet du plan http://www.leseditionsdunet.com ? C'est surtout pour ça que j'ai ouvert ce topic, en fait. Smile
 
Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


C'est une société de service...
Autant auto éditer, vu que le résultat reviendra au même.
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@now@n
   
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@now@n  /  @n, bête @lph@


Si je peux me permettre de partager mon expérience personnelle ?
Je crois comprendre que tu n'aimes pas l'idée de passer ton temps à frapper à la porte des gens métaphoriquement sur Internet (trouver des communautés qui pourraient être intéressées par le genre de ton roman, envoyer des ePub à des blogueurs litté etc...). Du coup ce n'est pas l'auto-édition le problème, c'est l'auto-promotion.
As-tu considéré de mettre ton roman en ligne, et c'est tout ? Tu le laisses vivre sa vie de roman en ligne (dix lectures par an, un commentaire tous les deux ans), et tu apprécies les rencontres fortuites de lecteurs.
Ou alors : as-tu considéré de mettre ton roman en ligne à raison d'un chapitre toutes les semaines sur un site de publication en ligne assez actif ? Ça implique un peu plus de travail (mise en forme réadaptée pour le site/forum que tu utilises, réponses aux commentaires, lectures et commentaires des autres histoires du site pour que les gens sachent que tu existes...), mais tu peux lui espérer une vie un peu plus mouvementée (cent lectures par an, un commentaire par mois).
Évidemment, ces deux solutions impliquent d'avoir des ambitions limitées, mais je me disais que ça valait la peine de les évoquer parce qu'elles sont très légères en auto-promotion.
http://anowan.blogspot.com/
 
Odessa_James
   
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Odessa_James  /  Petit chose


@ @now@n (oulà, ça fait beaucoup de @) : Alors, merci d'aborder franchement le sujet. Tu as tapé dans le mille avec ton commentaire sur ma détestation de l'autopromotion sur l'interweb. Et encore, tu n'es pas allé assez loin : je déteste le faire même dans la "vraie vie". Ceci étant dit, comme je reconnais à quel point c'est un handicap, et qu'être buté n'a jamais payé, je suis tout à fait disposé à faire un effort (encore heureux, puisque j'en serais le premier bénéficiaire...), tant que cela ne consomme pas trop de temps, car j'en manque un chouïa.

Oui, parce que l'idée de mettre le roman en ligne et de le "laisser vivre" ne m'excite guère - mais ça, tu t'en doutais sans doute, vu comment tu as tourné la chose. Smile

Nous en venons alors à ce qui m'intéresse : l'option feuilletonesque, à la façon des romanciers français du XIXème, mais version numérique. De ce côté, aurais-tu un site à me recommander (toi, ou quelqu'un d'autre qui nous lit...) ? Il semblerait cependant que cette option ne t'inspire pas des commentaires bieeeen plus positifs : cent lectures par an, un commentaire par mois ? Est-ce vraiment si grave ? Si tel est le cas, à quoi bon se donner le mal que tu as décrit ? Comme dit plus haut, les efforts ne me font pas peur... tant que cela en vaut la peine, évidemment. Si j'ai pensé à cette option, c'est parce que j'ai entendu des histoires de gens qui ont réussi à percer grâce à elle. Tu vas me dire qu'on peut toujours trouver quelques winners dans n'importe quel domaine...

Puisqu'on y est : quelle option choisirais-tu, toi ?
 
Nemuyoake
   
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Nemuyoake  /  Tapage au bout de la nuit


Moi aussi je serais pour le couper en plusieurs tomes, le faire beta lecter (ouh le barbarisme !) pour equilibrer le tout et le reexpedier aussi sec aux editeurs. Peut-etre qu'ils ne l'ont meme pas lu car trop epais. Plus fin ca passerait peut etre le premier stade de selection.
https://nemuyoake.wordpress.com/
 
Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


J'ai entendu du bien de Scribay mais n'y ai jamais pointé le bout du nez.
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