Nombre de messages : 164 Âge : 39 Date d'inscription : 08/11/2016 | Agapanthe / Tycho l'homoncule Lun 28 Nov 2016 - 0:09 | |
| Merci pour toutes vos réponses. C'est pas encore tout net dans ma tête mais ça se précise.... je vais potasser vos exemples et articles 😉 |
|
Nombre de messages : 674 Âge : 45 Date d'inscription : 12/07/2016 | Valéry K. / Hé ! Makarénine Mar 29 Nov 2016 - 0:16 | |
| - Nordgia a écrit:
- Je n'ai jamais lu d'auteurs anglophones utiliser l'italique pour les pensées. Après certes, comme pour les francophones, les auteurs lus ne sont pas de ce siècle (ni de la seconde moitié du dernier). M'enfin, je considérerai toujours cette utilisation de l'italique comme inutile. On peut aisément comprendre quand il s'agit d'une pensée ou non, si l'auteur sait tourner ses phrases. L'italique, c'est juste un moyen très voyant de le spécifier au lecteur, au cas où il serait trop fainéant/idiot pour le voir de lui-même.
Oh, si, ça se fait de manière très classique, les pensées en italique. Chez les auteurs classiques y compris. Du coup, tu me fais me dire qu'il faudrait que je rouvre plusieurs de mes livres pour voir exactement qui le fait, mais ça n'a rien de rare, en tout cas, non pas parce que, sinon, le fait qu'il s'agisse de pensées serait incompréhensible, mais en tant que convention typologique dont le but n'est que d'ajouter de la "lisibilité" à l'ensemble (comme tout élément de typo : c'est juste fait pour ça). Et je l'utilise aussi, d'ailleurs, même si de manière extrêmement ponctuelle (comme c'est censé l'être, d'ailleurs : ça n'a pas à être décliné sur 15 lignes ni répété sans cesse dans un bouquin). J'utilise aussi de manière extrêmement ponctuelle également, parfois l'italique pour insister sur un mot en particulier, comme le font les anglo-saxons (et je me moque bien que ce soit un procédé plus fréquent chez les anglo-saxons ^^). |
|