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 Envoi d'un manuscrit

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Julie
   
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Julie  /  Petit chose


Salut à tous !

J'ai fais une recherche sur le sujet mais je n'ai malheureusement rien trouvé sur le forum donc j'espère que quelqu'un pourra m'éclairer.
Alors voilà il y a presque un an maintenant j'ai finis d'écrire mon livre avec ma meilleure amie et on a décidé de l'envoyer à des maisons d'éditions (bon maintenant on a décider de le réécrire en plusieurs tomes donc ce n'est plus d'actualité mais vos réponses pourront peut être m'aider pour les prochains envoies).

Bon alors je vous explique mon problème :
Mon livre est trop gros. En fait quand je me suis renseignée sur les modalités d'envoie j'ai pu remarqué que ce qui venait généralement c'était une police time new roman en 12, un interligne de 1.5 (ou 2 parfois) et surtout pas en recto verso. Il fallait que ce soit relié et tout le bla bla. Sauf que voilà, mon livre une fois imprimé gentillement par mon papa il est juste énorme.
Il fait presque 600 pages quand on l'imprime comme ça.

[img]Envoi d'un manuscrit Sans_t10[/img]

Du coup il n'entre pas dans une lettre et je suis obligé de l'envoyé dans un carton donc en colis. Sauf que j'ai lu sur le site de certaines maisons d'édition qu'ils n'acceptaient pas les colis... Comme je n'avais pas le choix j'ai envoyé quand même en colis (10 euros) et voulant récupéré mon manuscrit après (600 pages ça embête que ça parte à la poubelle quand même, vue le prix et tout... et pauvres arbres !) j'ai joint une autre boite plié, préaffranchi et tout le tralala (encore 10 euros).

Sauf que déjà j'ai pas eu une réponses de tous les éditeurs à qui j'ai envoyé et ceux qui m'ont envoyé une réponse (négative forcément) m'indiquaient que si je voulais récupéré mon manuscrit il fallait leur envoyé une lettre pré affranchie et tout... Sauf que ça ne rentre pas dans une lettre ! Et en plus j'ai fournis un colis en plus et ça coute chère à force.

Du coup on a un peu abandonné les envoies papier... honnêtement on ne sait pas trop quoi faire.
Étant donné qu'on va réessayer de tout envoyé quand on aura réécris un tome 1 et comme on est décidément incapable d'écrire quelque chose de court, comment qu'on fait ?
Est-ce que certains d'entre vous ont déjà eu se problème ? Est-ce qu'il vaudrait parfois mieux abandonné cette histoire de recto verso ou d'interligne pour pouvoir envoyé nos manuscrits en format lettre ?

Je vous remercie d'avance pour vos réponses.
 
Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Pour atteindre 600 pages (600 feuilles si impression recto simple), j'ai le sentiment que ce manuscrit est déjà gros en nombres de mots et caractères.
Il doit voisiner avec celui de Pangolin
Spoiler:
En police TNR 12 et interligne 1,5, le mien compte 312 pages. J'ai choisi d'imprimer en recto-verso et en divisant le manuscrit en deux.
Les éditeurs, quand je me suis renseignée, m'ont pour la plupart répondu qu'ils acceptaient une version partielle (50 premières pages ou moitié du manuscrit)
Peut-être que verso simple aurait été mieux, mais le poids des envois aurait été plus important. Ainsi réduits, mes manuscrit et demi-manuscrit ne tenaient pas encore dans une enveloppe marron ordinaire. J'ai dû en employer à soufflet.

Concernant la suite de tes envois (quand l'histoire aura été coupée en tomes), vérifie s'il n'est pas possible de faire des envois par voie numérique.

Ecrire quelque chose de court : c'est une question de contrôle, je pense.
Suivre le fil de l'imagination jusqu'au bout, c'est tentant, mais piège.
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Julie
   
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Julie  /  Petit chose


Merci pour ta réponse. En fait on a moins de mots que cette personne, on est à 166 776 mots soit 966 370 caractères (espaces compris) et effectivement on n'a pas pensé à envoyé en partiel (et du coup effectivement on a tout parié sur les éditeurs qui acceptaient les envoies numériques) mais ce n'est pas risqué ? Je veux dire... si un éditeur n'édite (bon je vais dire des betises peut etre mais c'est à titre d'exemple) que 10 livres dans l'année et que pour le 10ème il hésite entre deux manuscrits : le mien et un autre. Mais que pour l'autre il a déjà tout le manuscrit alors que pour le miens bien qu'il ait un résumé complet et tout, il faut quand même qu'il ait la suite pour l'évaluer. Il ne va pas choisir préférentiellement l'autre manuscrit ?
J'ai compris que se faire éditer était très dur alors j'aimerai mettre toutes mes chances de notre côtés.

Effectivement on va le départagé en tome parce que justement on a une imagination trop débordante et heureusement qu'on est là pour se mettre des limites l'une l'autre parce que sinon ce serai partie en cacahuète notre histoire. En fait on espère qu'en faire plusieurs tomes fera des tomes plus petits... Surtout qu'un éditeur nous a confié que faire plusieurs tomes pourrait être mieux dans le sens où comme on est deux les éditeurs ne voudront pas parier sur nous de peur qu'on n'écrive plus de livres par la suite ensemble (on pourrait se disputer).
 
Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Les éditeurs ne lisent pas forcément le manuscrit entier, surtout si c'est un pavé.
Pour le mien, j'ai choisi d'envoyer la moitié plutôt que les 50 premières pages, parce qu'à 50 pages, l'action débute à peine. Mais la partie 2 est plus pimentée que la 1 et du coup, je perds de ce côté. Seulement, ce qui est valable pour l'éditeur est aussi valable pour le lecteur : si on ne happe pas l'attention dès le début, ce n'est pas la peine d'espérer aller plus loin.
Bien entendu, avec un manuscrit partiel, il faut avoir une version entière à envoyer et préciser dans l'envoi du "morceau" que ce n'est que le début.

Ensuite, il y a des éditeurs qui tiennent à ce qu'on envoie tout de suite la totale
mais d'autres acceptent très bien
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Irvyn
   
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Irvyn  /  No fun allowed


J'ai été dans ce même cas de figure et j'ai préféré envoyer l'intégralité, imprimée au recto seulement, interligne 1,5. Obligé là-aussi d'utiliser le colis en raison des 487 pages (300.000+ mots, environ 1,8M car.).
Honnêtement et même s'ils ne lisent pas tout, je ne vois pas comment faire pour ne pas envoyer en intégralité sachant que les éditeurs qui ont reçu le manuscrit ont formulé le désir d'une version complète. "Par ailleurs, le Comité de Lecture ne peut juger un travail à partir de simples extraits ou d'un synopsis. Seuls les ouvrages achevés seront examinés." pour ne citer que la page de Flammarion. Ça implicite un envoi en version intégrale non? Après pour le double interligne, j'avais lu qu'il valait mieux pour les ouvrages assez larges ne pas trop forcer et limiter l'espacement (sans en faire une brique compacte évidemment).
C'est ça le soucis en fait avec les envois papier: chaque éditeur a un souhait différent mais nous, en tant que jeune auteur, on ne peut pas dire à l'imprimeur de sortir x versions différentes au risque de salement amoché son porte-monnaie. Autant recouper toutes les demandes des éditeurs et imprimer son manuscrit selon celles qui reviennent le plus (heureusement, c'est le cas).
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Julie
   
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Julie  /  Petit chose


En fait c'est une genre de sélection pré envoi quoi. On n'a pas les moyens d'envoyer constamment en colis et d'imprimer 100 000 exemplaires donc c'est fichu quoi... bon en même temps avec tous les manuscrits qu'ils doivent recevoir je comprend mais c'est casse pied.
Donc je pense que ce que je vais faire quand je renverrai des manuscrits c'est que je demanderai d'abord aux éditeurs s'ils acceptent les manuscrits partiels et sinon et bah tan pis je perdrais des sous sous et j'enverrai l'intégralité...
Merci pour vos réponses !
 
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Il ne faut quand même pas se focaliser de façon obsessionnelle sur la forme d'envoi, en se disant : si je ne fais pas tout bien, je ne serai pas publié. Si votre texte est vraiment bon, bien présenté et corrigé, vous serez publié.

Un éditeur peut parfaitement accepter un recto/verso pour un pavé (ça l'arrange à la limite, plus facile à transporter/stocker/lire).

Flammarion accepte les projets soumis par email, si pas de réponse au bout d'un mois, c'est niet. Ça vous fait économiser un envoi. (Il faut envoyer un résumé et 15 pages du roman, ici : manuscrits@flammarion.fr, il y a un accusé de réception.) Je suis presque sûre qu'en trouvant un contact dans chaque maison, on arrive au même résultat. Je l'ai fait chez Gallimard pour ma part, et même Fleuve qui pourtant ne prend pas de manuscrit.  En gros, vous soumettez un projet par email, si ça intéresse, on vous demande un envoi papier. Ça n'assure évidemment pas la publication, mais vous avez un contact dans la maison, et c'est toujours bon à prendre.

Si vous doutez, le mieux est d'envoyer un mail avant toute chose. Il n'est pas trop difficile de nos jours de dégotter le mail d'un éditeur, et ils répondent le plus souvent.

Sinon, je n'ai jamais joint d'enveloppe pour la réponse. Déjà parce que psychologiquement, ça fait défaitiste : c'est clairement orgueilleux, mais je n'aime pas partir perdante. Deuxièmement, et cette raison est pragmatique, parce que certaines maisons ne répondent jamais, et c'est de l'argent passé par les fenêtres. Troisièmement, à l'usage, je m'aperçois que c'est utile de récupérer deux ou trois manuscrits, mais qu'il est plus simple de laisser les maisons détruire les autres, ça fait du bazar en moins chez moi.

Faites un beau manuscrit lisible, sur le fond et sur la forme. Puis soyez habile, et usez de bon sens : il n'est pas utile de se ruiner pour envoyer un manuscrit. Si votre texte plaît, il sera lu.
 
Julie
   
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Julie  /  Petit chose


Bah le soucis c'est que j'ai eu la chance d'avoir un super contact avec un grand éditeur grâce à certaines relations (mais qui ne publie pas de jeunesse fantasy donc ça ne l'intéressait pas) et qui m'a expliqué beaucoup de choses sur la façon de fonctionner de ses "collègues". Il m'a dit que certains reçoivent tellement de manuscrits qu'ils trient à l'entrée sans lire l'histoire ou le résumé, juste en vérifiant que le manuscrit correspond aux critères et sinon... poubelle ou renvoie.
Mais je vais essayer de contacter les maisons à qui j'envoie effectivement ça peut être une bonne idée.
Pour l'enveloppe réponse le soucis c'est qu'on a tous notre budget et personnellement étant étudiante le moindre manuscrit que je peux récupérer je veux le récupérer j'ai pas les moyens d'en imprimer une dizaine. Et un manuscrit, même de qualité peut passer facilement à la trappe étant donné le nombre de manuscrits reçu et le nombre de publier. Entre les pistons et le côté marketing parfois j'ai un peu l'impression que c'est pas toujours la qualité des manuscrits qui est privilégié.
Je dis pas que mon manuscrit est le meilleur, qu'il est génial et tout le tralala (enfin moi je l'adore mais je suis pas suffisamment objective) mais je suis avant tout une lectrice et quand je lis certaines choses qui ont été publié... je suis assez dégoutée de voir que certains sont publiés.
 
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Citation :
Bah le soucis c'est que j'ai eu la chance d'avoir un super contact avec un grand éditeur grâce à certaines relations (mais qui ne publie pas de jeunesse fantasy donc ça ne l'intéressait pas) et qui m'a expliqué beaucoup de choses sur la façon de fonctionner de ses "collègues". Il m'a dit que certains reçoivent tellement de manuscrits qu'ils trient à l'entrée sans lire l'histoire ou le résumé, juste en vérifiant que le manuscrit correspond aux critères et sinon... poubelle ou renvoie.

Il a donné des noms ? :mrgreen:  
Après, que signifie répondre aux critères ? Sur plusieurs milliers de manuscrits réceptionnés chaque année par une grande maison, tu peux être sûre qu'une grande partie est illisible, sur le fond comme sur la forme, et qu'en effet, ils sont écartés d'emblée.
Je parlais moi d'un manuscrit lisible, correctement mis en page, aéré, et un recto/verso dans ces conditions, pour un pavé, je ne vois en quoi c'est rédhibitoire, à moins d'utiliser un papier à faible grammage. Comme je le disais, si vraiment c'est un pavé, tu rends plus service qu'autre chose à l'éditeur. (Pense à son dos, ses bras, ses poignets et les tendinites que tu lui évites.  tongue)

Et si vraiment il y a des éditeurs qui perdent du temps à vérifier que tu as une marge de 4 et non de 3,5, un interligne de 2 et non de 1,75, etc., eh bien, ils ne valent sans doute pas vraiment la peine.

(Je parle ici des manuscrits papier, les éditeurs qui acceptent les envois par email ont souvent des contraintes de mise en page, certaines sont assez baroques, mais pour le coup, ça ne te coûte pas plus cher de les respecter.)

Citation :
Pour l'enveloppe réponse le soucis c'est qu'on a tous notre budget et personnellement étant étudiante le moindre manuscrit que je peux récupérer je veux le récupérer j'ai pas les moyens d'en imprimer une dizaine.

Justement, dans ces conditions, autant attendre la réponse qui détaille généralement les modalités pour récupérer ton manuscrit. Ça t'évitera d'éparpiller des colis inutilement. Certaines maisons ne demandent d'ailleurs qu'un affranchissement, ce qui te simplifiera encore la tâche.
Mais bon, pour avoir testé, un manuscrit, on peut parfois faire un nouvel envoi avec, rarement plus, ils s'abîment quand même pas mal dans les transferts, parfois les maisons écrivent dessus ou collent des étiquettes et on ne peut plus en faire grand-chose.

Citation :
Et un manuscrit, même de qualité peut passer facilement à la trappe étant donné le nombre de manuscrits reçu et le nombre de publier. Entre les pistons et le côté marketing parfois j'ai un peu l'impression que c'est pas toujours la qualité des manuscrits qui est privilégié.

A l'échelle d'une maison, oui, un bon manuscrit peut passer à la trappe, il y a des exemples célèbres. Cela dit, ces exemples sont célèbres parce qu'ils ont trouvé preneurs ailleurs... Un très bon manuscrit a de très bonnes chances d'être publié. Mais il faut s'entendre sur ce qu'est un bon manuscrit... et sortir du fantasme du piston, qui est une idée sans doute consolante quand on reçoit une série de refus, mais qui ne fonctionne qu'à la marge. Le piston peut accélérer les choses, un éditeur ne prendra pas pour autant le risque de publier une grosse bouse pour faire plaisir à quelqu'un.
Pour le reste, il y a évidemment des choses qui sortent et qu'on trouve pourri, il y a des éditeurs qui ne se concentrent que sur le coup marketing (mais généralement ceux-ci n'acceptent pas les manuscrits envoyés spontanément, je pense à Michel Lafon, par exemple), il y a des auteurs qui vendent sur leur nom et finissent par écrire toujours la même chose et à perdre nettement en qualité... il y a de tout, mais ça ne sert à rien de ruminer cela indéfiniment. Si ton manuscrit est bon, il sera lu, et il finira par trouver un éditeur. Pour un premier roman, ça ne sera probablement pas une grande maison, ni même une moyenne, mais mieux vaut commencer petit et croître que l'inverse.
 
Irvyn
   
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Je m'excuse d'avance pour la question qui n'est pas complètement dans le sujet, mais comment une réponse positive nous parvient-elle après un envoi par courrier? Les éditeurs utiliseront-ils le même média pour adresser celle-ci ou favoriseront-ils un mode plus direct style téléphone? C'est un peu étrange qu'ils envoient le contrat d'emblée non? On est pas censés le négocier au cours d'un entretien?
Enfin, je suis assez étranger à tout ça et sur le net on trouve absolument de tout ce qui n'aide pas du coup à se faire une idée précise !
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Coline a écrit:

Flammarion accepte les projets soumis par email, si pas de réponse au bout d'un mois, c'est niet. Ça vous fait économiser un envoi. (Il faut envoyer un résumé et 15 pages du roman, ici : manuscrits@flammarion.fr, il y a un accusé de réception.) Je suis presque sûre qu'en trouvant un contact dans chaque maison, on arrive au même résultat. Je l'ai fait chez Gallimard pour ma part, et même Fleuve qui pourtant ne prend pas de manuscrit.  En gros, vous soumettez un projet par email, si ça intéresse, on vous demande un envoi papier.

Hello Coline ! Sur le site de Flammarion je n'ai pas vu cette information concernant la possibilité d'envoyer un projet par email. Je présume que tu l'as appris en les contactant directement ? Conseilles-tu simplement de contacter les maisons qui demandent des manuscrits papier pour leur demander s'il y a possibilité de leur envoyer un manuscrit numérique ? J'ai quitté l'Europe il y a quelques mois et cela coûterait trop cher d'envoyer tout plein de manuscrits papier, sans compter les risques multipliés de perdre le manuscrit en mer.

 
Irvyn
   
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Je les avais contactés par mail et ils m'ont répondu qu'ils acceptaient un projet par mail oui.
Hop, petit c/c du corps du message:
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Parfait merci Ryvem, je prends note ! As-tu fait l'expérience avec d'autres maisons ? j'essaye de me constituer une petite liste de maisons qui acceptent de faire des exceptions.
 
Irvyn
   
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Malheureusement, non ! Mais ils ont tous un mail de contact et la réponse de Flammarion m'est arrivée assez vite sous un jour. Donc autant en profiter !
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Ryvem a écrit:
Je m'excuse d'avance pour la question qui n'est pas complètement dans le sujet, mais comment une réponse positive nous parvient-elle après un envoi par courrier? Les éditeurs utiliseront-ils le même média pour adresser celle-ci ou favoriseront-ils un mode plus direct style téléphone? C'est un peu étrange qu'ils envoient le contrat d'emblée non? On est pas censés le négocier au cours d'un entretien?
Enfin, je suis assez étranger à tout ça et sur le net on trouve absolument de tout ce qui n'aide pas du coup à se faire une idée précise !

J'ai toujours reçu mes réponses positives par email. Jamais par téléphone. Le contrat n'arrive pas d'emblée, en effet. Il y a d'abord un échange avec l'éditeur pour voir si les attentes sont similaires, parfois ça peut déboucher sur un entretien téléphonique, mais ce n'est pas systématique (enfin, c'est un fonctionnement systématique avec certaines maisons, mais pas dans l'absolu).

Le contrat arrive ensuite. Il n'est pas toujours à négocier, parfois il est bien en l'état. Sinon, ça se fait généralement par email. Mais si tu es très à l'aise avec le téléphone, tout ça peut se faire aussi par ce biais, ou en face à face, si tu habites près de l'éditeur.

Géronimo : J'ai envoyé par email aussi aux Editions Autrement et Thierry Marchaisse, qui n'indiquent pas spécialement accepter les envois par email. Mais comme dit Ryvem, ça ne coûte pas grand chose de tenter. Par contre, par expérience, ça marche mieux si tu passes par le mail direct d'un éditeur et non par l'adresse d'envois des manuscrits.
 

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