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| [Inspiration] Univers Creux [ça à dérivé sur mes problèmes personnel lol] | |
| | Nombre de messages : 1043 Âge : 44 Localisation : Lens Pensée du jour : Ce canard est trop lourd ou corrompu Date d'inscription : 30/09/2014 | fabiend / Effleure du mal Dim 7 Fév 2016 - 19:45 | |
| - Porunga a écrit:
- J'ai souvent lu qu'il fallait décrire situation initiale et situation finale pour faire un bon scénario, mais j'arrive pas à trouver des situations finales pour commencer. Ça ressemble à un troue noire pour moi. J'ai presque envie d'avancer dans le noir, mais c'est pas la bonne solution.
Tiens donc, et pourquoi ça ? J'ai l'impression que ton problème, justement, c'est que tu te mets direct une pression de dingue en te disant "allez, il faut que j'écrive une histoire géniale, et pour ça, il me faut une idée géniale, un début génial et surtout une fin géniale. Alors, voyons voir... une idée géniale, une idée géniale... une idée géniale... Non, j'y arrive pas. Je dois pas aimer écrire. Je dois pas être fait pour ça. Je dois être nul. Je vais plutôt aller me plaindre sur internet, tiens" - Citation :
- Avec tout ça, j'ai pas franchement envie de me lancer dans un roman tout de suite. Ca m'exciterait beaucoup, au contraire, d'écrire une suite de nouvelles dans un univers (qui s'entrecroise et tout, ça peut être cool pour bien détailler toutes les face d'un univers auquel j'ai pensé). Mais bon, ça peut m'aider à avoir moins peur de faire du "moins bien", mais faut toujours trouver quelques chose un scénario.
Je crois qu'il te faudrait une petite dose de Bradbury. Quelques conseils et pensées du maître (je pense à lui parce que ta peur de débuter un roman et ton projet de nouvelles qui se suivent fait furieusement penser à la façon dont sont nées ses chroniques martiennes) : - Ray a écrit:
- “Don’t think. Thinking is the enemy of creativity. It’s self-conscious, and anything self-conscious is lousy. You can’t try to do things. You simply must do things.”
- Citation :
- “The trouble with a lot of people who try to write is they intellectualize about it. That comes after. The intellect is given to us by God to test things once they’re done, not to worry about things ahead of time.”
- Citation :
- “You will have to write and put away or burn a lot of material before you are comfortable in this medium. You might as well start now and get the necessary work done. For I believe that eventually quantity will make for quality. How so? Quantity gives experience. From experience alone can quality come.“
- Citation :
- “Write a short story every week. It's not possible to write 52 bad short stories in a row.”
En résumé : écris, sans intellectualiser le processus. Écris des nouvelles, sans plan préétabli, sans fin préétablie, sans juger ce que tu écris au fur et à mesure. Écris comme un dingue, pour progresser dans la pratique de ton art. Écris une nouvelle par semaine. À la fin de l'année, tu en auras 52. Tout ne sera pas bon, loin de là, mais il est impossible que tout soit mauvais. Un truc à ne pas oublier, c'est que, si tu écris une nouvelle et qu'elle est mauvaise, les foudres de l'enfer ne s'abattront pas sur toi. Par contre, tu auras progressé, un peu. Tu auras fait tes gammes, quoi. Et, cerise sur le gateau, si ça se trouve, en écrivant tu vas être pris par une inspiration de dingue et à la fin tu auras écrit un super truc, et tu te demanderas comment ça t'est venu. Alors que si tu n'écris pas parce que tu veux soit un truc parfait soit rien du tout, ben, à la fin... tu n'as rien écrit, et tu n'as même pas fait tes gammes. Échec sur toute la ligne. |
| | | Invité / Invité Dim 7 Fév 2016 - 22:16 | |
| - fabiend a écrit:
- Je dois pas aimer écrire. Je dois pas être fait pour ça. Je dois être nul. Je vais plutôt aller me plaindre sur internet, tiens
Cette remarque me fais beaucoup de peine et, pour tout dire, je la redoutait beaucoup. Parce que ça fait un moment que je rumine mes problèmes et que je refuse de chercher de l'aide pour pas qu'on pense ça de moi (entre autre). Du coup, j'ai l'impression d'avoir déjà trop pleurnicher ici :/ Enfin, si tu prend le temps de m'aider, c'est que tu dois pas penser tant de mal que ça de moi au final ^^ Je pense pas spécialement cherche "l'idée génial", mais juste "l'idée qui me fera aller au bout". Je méditerais les conseils de Ray Bradbury et j'essaierais de les appliquer, même si c'est pas toujours évident. Le conseil qui me touche peut être le plus et qui prend d'autant plus de sens avec les citation de ray c'est celui-ci : Finish What Your Start |
| | Nombre de messages : 521 Âge : 47 Localisation : Orbite proche de Cergy Date d'inscription : 29/05/2015 | Bohr / Gloire de son pair Dim 7 Fév 2016 - 22:55 | |
| - Porunga a écrit:
- Je pense pas spécialement cherche "l'idée génial", mais juste "l'idée qui me fera aller au bout".
Et quelle idée, sinon une idée "géniale" à tout le moins à tes yeux te fera aller jusqu'au bout? Perso, j'avais un peu ce genre de blocage, avant. C'est comme la vie amoureuse (voire, la vie tout court), en fait: on poursuit un fantasme - en l'occurrence, celui d'une histoire super qu'on a envie de faire vivre de bout en bout - en délaissant les autres expériences, trop imparfaites. Malheureusement, tant qu'on ne s'est pas frotté à la réalité, et qu'on n'a pas cherché à rendre plaisante l'expérience du réel, on court toujours après ce fantasme. Pourtant, les histoires que j'ai pris le plus de plaisir à écrire - et qui m'ont valu le plus de retours positifs - sont toutes parties d'une histoire qui tient en vérité à deux ou trois phrases, pas plus. C'est en donnant de l'épaisseur à mes personnages, en rendant mes décors vivants ou au moins pertinents que j'ai pris un panard d'enfer. De mon point de vue, ton problème est peut-être, finalement, que tu as de l'acte d'écrire une vision idéalisée, qu'on pourrait schématiser par l'idée d'être habité par une inspiration presque mystique qui te ferait tout cracher d'un seul trait. Alors que ça n'est que l'exception. La règle ressemblerait plutôt au boulot d'un mineur qui creuse un filon: il en chie, mais il trouve des pépites. Sauf que, dans le cas des auteurs, la pépite, elle sort de son stylo ou de son clavier: une phrase chiadée, une tournure ou une figure de style bien choisie, une réplique qui rend le personnage plus crédible ou plus attachant... Si mon analyse est juste, c'est que tu cherches ailleurs ce que toi seul peux construire. Et peut-être aussi que tu mets la charrue avant les boeufs: toutes les histoires, de près ou de loin, on déjà dû être écrites. Les géniales comme les archi-pourries. Ce qui compte, je dirais, c'est moins l'histoire elle-même que ce que tu en fais, comment tu la racontes. Sinon, tu risques de ne voir l'écriture que comme une étape pénible ou fastidieuse qui te mènera au produit fini (ton roman). Donc, à mon avis, le mieux serait justement de te familiariser avec l'acte d'écrire, un petit galop en égoïste, juste pour toi. C'est là que je rejoins Fabiend: le mieux, c'est d'écrire. Même des conneries, raconter les déboires de la mémé avec son caniche dans le bus, ce matin, ou un délire qui te viendrait en observant un candé ou une flaque de boue. Ptet simplement un souvenir, marrant, attendrissant, ou complètement anodin. Ecrire pour écrire, juste pour le plaisir, quoi. Bref, et comme le disait Lao Tzeu: "Si tu veux pécho, faut d'abord savoir draguer". |
| | Nombre de messages : 1043 Âge : 44 Localisation : Lens Pensée du jour : Ce canard est trop lourd ou corrompu Date d'inscription : 30/09/2014 | fabiend / Effleure du mal Lun 8 Fév 2016 - 12:31 | |
| - Porunga a écrit:
- fabiend a écrit:
- Je dois pas aimer écrire. Je dois pas être fait pour ça. Je dois être nul. Je vais plutôt aller me plaindre sur internet, tiens
Cette remarque me fais beaucoup de peine et, pour tout dire, je la redoutait beaucoup. Parce que ça fait un moment que je rumine mes problèmes et que je refuse de chercher de l'aide pour pas qu'on pense ça de moi (entre autre). Du coup, j'ai l'impression d'avoir déjà trop pleurnicher ici :/ Non mais je pense que tu as besoin d'être un peu brusqué. La peur ne fait pas avancer. Écris sans te demander si ça sera bien, sans chercher à plaire (même à toi, et surtout pas aux autres), sans t'interroger sur la qualité de tes écrits. Tu seras surpris du résultat. Pas forcément tout de suite, mais dans 6 mois, un an. |
| | Nombre de messages : 2567 Âge : 27 Pensée du jour : [citation de merde] Date d'inscription : 25/10/2014 | Trench / Le bruit et la pudeur Lun 8 Fév 2016 - 13:30 | |
| - Citation :
- Finish What Your Start
C'est un conseil de Robert Heinlein j'crois, pas de Bradbury. (Merci la signature du canard) |
| | Nombre de messages : 2296 Âge : 29 Pensée du jour : Homo Homini Caleportus. Date d'inscription : 28/06/2010 | Raven / ☠ Corps ☠ Beau ☠ Blond ☠ Lun 8 Fév 2016 - 14:15 | |
| Le topic a un peu dérivé de : “les univers creux” à comment écrire des univers pas creux ou comment écrire tout court… Juste pour rajouter mon grain de poivre : déjà, Bradbury peut donner des conseils sur l'écriture de nouvelles, parce que les romans, c'est (de notoriété publique) pas vraiment son domaine de prédilection ; et Heinlein a une perspective très “marketing” de l'écriture. Dans tous les cas, il est bon de distinguer l' art de l' artisanat : m'est d'avis que si Bradbury est inspiré, mais pas virtuose, alors il lui faut travailler ses “gammes d'écriture” ; à l'inverse, quelqu'un qui est pas très inspiré mais virtuose, il faudra travailler le côté “intellectualiste” de l'écriture, et c'est pas particulièrement condamnable : s'il écrit déjà bien, il peut bien prendre son temps à monter un concept ou une intrigue qui lui plaît. [/HS] Connais toi toi-même, et tu sauras ce qui est bon pour toi. Le reste, c'est de la volonté. Si tu n'as pas un cancer de la volonté, alors pratiquerer ta passion, tu ne manqueras pas ; et progresser dans ton art, tu ne pourras que. - Bohr a écrit:
- Bref, et comme le disait Lao Tzeu: "Si tu veux pécho, faut d'abord savoir draguer".
Haha ! |
| | Nombre de messages : 1043 Âge : 44 Localisation : Lens Pensée du jour : Ce canard est trop lourd ou corrompu Date d'inscription : 30/09/2014 | fabiend / Effleure du mal Lun 8 Fév 2016 - 16:16 | |
| - Raven a écrit:
- Dans tous les cas, il est bon de distinguer l'art de l'artisanat : m'est d'avis que si Bradbury est inspiré, mais pas virtuose, alors il lui faut travailler ses “gammes d'écriture” ; à l'inverse, quelqu'un qui est pas très inspiré mais virtuose, il faudra travailler le côté “intellectualiste” de l'écriture, et c'est pas particulièrement condamnable : s'il écrit déjà bien, il peut bien prendre son temps à monter un concept ou une intrigue qui lui plaît.
Hmm, même ça, ça se discute à mon avis. Celui qui est un peu faiblard en intrigue doit travailler sa construction d'intrigue, soit. Mais travaille-t-on mieux la construction d'intrigue en intellectualisant le processus, c'est-à-dire en la construisant en amont de l'écriture, ou au contraire en la laissant émerger inconsciemment lors de phases d'écriture ? Il n'y a pas de réponse toute faite, les plus grands auteurs pratiquant l'une ou l'autre des deux approches, selon leur sensibilité. Mais, pour quelqu'un comme Porunga qui semble avoir du mal à estimer son travail, je pense que tenter l'approche "inconsciente" ne peut être que profitable. |
| | Nombre de messages : 521 Âge : 47 Localisation : Orbite proche de Cergy Date d'inscription : 29/05/2015 | Bohr / Gloire de son pair Lun 8 Fév 2016 - 18:56 | |
| - fabiend a écrit:
- Mais travaille-t-on mieux la construction d'intrigue en intellectualisant le processus, c'est-à-dire en la construisant en amont de l'écriture, ou au contraire en la laissant émerger inconsciemment lors de phases d'écriture ?
Ca dépend de le complexité de l'intrigue, du nombre de personnages, du caractère imaginaire de l'ensemble. Je ne pense pas que Agatha Christie travaillait comme le fait Murakami. A ce sujet, relire les conseils de HPL peut être intéressant: chez lui, la rédaction n'était que la phase finale d'un processus long et complexe. |
| | Nombre de messages : 1043 Âge : 44 Localisation : Lens Pensée du jour : Ce canard est trop lourd ou corrompu Date d'inscription : 30/09/2014 | fabiend / Effleure du mal Lun 8 Fév 2016 - 19:54 | |
| Oui, bon, on est d'accord là-dessus (quoiqu'à mon avis ça dépend beaucoup plus de l'auteur que du genre en lui-même). Si un JE venait nous dire "je n'arrive pas à écrire parce que ça m'angoisse d'écrire sans savoir où je vais, sans savoir vers où je mène mes personnages, ça me bloque", je lui conseillerais de faire un plan avant d'écrire le moindre mot de son histoire. Et je sortirais les conseils des grands auteurs qui font comme ça.
Mais là, c'est plutôt le problème inverse... |
| | Nombre de messages : 521 Âge : 47 Localisation : Orbite proche de Cergy Date d'inscription : 29/05/2015 | Bohr / Gloire de son pair Lun 8 Fév 2016 - 21:52 | |
| Attention, je n'ai pas parlé du genre, mais de la complexité de l'oeuvre, ce qui en est indépendant et relève des choix de l'auteur. Mais, pour le reste, je te rejoins, j'ai d'ailleurs l'impression qu'on dit à peu près la même chose, au fond.
A titre d'exemple, j'ai dû, depuis 99, écrire une soixantaine d'histoires courtes (pas toutes publiables, loin de là), et je n'ai pour l'instant réussi à achever qu'un court roman de 120 pages A4, qui n'est pas une bouse totale, mais mérite d'être complètement réécrit... |
| | Nombre de messages : 2296 Âge : 29 Pensée du jour : Homo Homini Caleportus. Date d'inscription : 28/06/2010 | Raven / ☠ Corps ☠ Beau ☠ Blond ☠ Lun 8 Fév 2016 - 22:21 | |
| Tu as raison, Fabiend : mon morceau sur le “prendre son temps” sur l'intrigue présupposait qu'on était un planificateur — c'est parce que je le suis, en fait xD —, c'est en fait sous le [/HS] que ça retombe sur ses pieds : faut se connaître, savoir ce qui bloque ou pas. Parce que même avec des intrigues simples, y en a qui aiment avoir une bonne idée d'où ils vont, afin de s'épargner les "re-plotting" et les réécritures. |
| | | Invité / Invité Mar 9 Fév 2016 - 11:52 | |
| - Raven a écrit:
- Le topic a un peu dérivé de : “les univers creux” à comment écrire des univers pas creux ou comment écrire tout court…
Tellement vrai :/ Je doit changer le nom du sujet ou non ? Enfin, le topic reste bon pour m'aider dans mes problèmes et je vous en remercie ^^ - Citation :
- c'est que tu cherches ailleurs ce que toi seul peux construire
Non, je reste conscient que je suis mon premier problème. Pas dans un sens défaitiste, mais dans l'idée qu'il me suffit de progresser pour tout résoudre. Discuter ici est aussi bon pour m'aider. Je pense aussi être à l'aise avec mon style d'écriture même si je regrette mon pauvre niveau d'orthographe. Enfin, je suppose que vos conseils tiennent aussi pour ça. Plus j'écrirais (avec correcteur automatique ou humain), moins j'en ferait. Je comprend aussi qu'il faudrait me faire du mal, dans le sens d'écrire même si ça me fait pas plaisir ? Je veux dire qu'écrire chaque jour un peu sur des conneries, ça a pas l'air drôle. Puis je finirait quoiqu'il en soit à y prendre du plaisir et je saurais surement à ce moment que je fait alors un début de qualité. Quoiqu'il en soit, faire de la quantité irréfléchi semble un premiers pas bien conseillé dans mon cas. Je suis persuadé que la méthode universel n'existe pas et que chacun doit avoir la sienne. Quelques soit le genre, le medium ou la complexité. Vous contredire n'as pas vraiment de sens à mon avis sur ce sujet. En revanche il est bon de proposer celles qui vous semble les plus justes et je les prend en compte avec beaucoup d'estime |
| | Nombre de messages : 1043 Âge : 44 Localisation : Lens Pensée du jour : Ce canard est trop lourd ou corrompu Date d'inscription : 30/09/2014 | fabiend / Effleure du mal Mar 9 Fév 2016 - 14:43 | |
| Un truc important, aussi, et tous les créatifs ont l'air d'accord là-dessus, c'est que, pour avoir une bonne idée, il faut de toute façon accepter d'en avoir cent mauvaises avant. Bon, 100 c'est un nombre lancé au pif, mais tu vois l'idée. L'autocritique est la pire ennemie de la créativité.
Un truc qui marche bien quand je suis bloqué quelque part dans une histoire, c'est de me demander "ok, je suis bloqué, je n'arrive pas à voir ce qui pourrait se passer maintenant. Mais, alors, qu'est-ce qui ne pourrait *pas* se passer ?" Et là, je liste deux, trois, dix idées complètement pourries, ce qui ne pourrait en aucun cas se passer maintenant (parce que c'est improbable, parce que c'est un gros cliché, parce que ça n'est pas dans le ton de l'histoire, parce que c'est complètement décevant, etc.) Et ça, très souvent, ça permet de débloquer la situation. On sait que le critique qui est en nous et trouve toujours quelque chose à redire va nous laisser tranquille, parce que, justement, on est en train de chercher des mauvaises idées. Et, au bout d'un moment, on tombe sur quelque chose et notre autocritique se dit "ah, non, ça va pas, ça, c'est une mauvaise mauvaise idée (sic) ; c'est tout à fait crédible, assez inattendu, et ça relance l'intrigue".
La technique n'est pas de moi, je l'ai trouvée parmi une liste de conseils donnés par Pixar. Ils sont --> là <--, et ils gagnent à être lus. |
| | Nombre de messages : 521 Âge : 47 Localisation : Orbite proche de Cergy Date d'inscription : 29/05/2015 | Bohr / Gloire de son pair Mar 9 Fév 2016 - 15:05 | |
| Il y au ne autre méthode, plus aléatoire, je pense, que je n'ai pas encore vraiment essayée, mais qui, sur le papier, est séduisante: l'association libre. Ca vient de la psychanalyse, si j'ai bien compris. Tu résumes en quelques mots clés ce que tu as déjà écrit, et, pour chaque terme, tu associes d'autres qui te viennent plus ou moins spontanément à l'esprit, suite à des rapprochement d'idées qui n'appartiennent qu'à toi. A partir de ces nouveaux termes, tu essaies de dégager un "fil rouge", un truc qui les relie au-delà de ce que tu as déjà écrit. Ca semble un moyen intéressant pour trouver de nouvelles pistes, ou idées. |
| | Nombre de messages : 393 Âge : 35 Date d'inscription : 27/07/2011 | Owoh / Tapage au bout de la nuit Ven 12 Fév 2016 - 17:17 | |
| Mon conseil à moi : Faut se sortir les doigts du cul.
C'est pas méchant, c'est juste vrai. Ça marche bien pour ma part. |
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