1 415 pour moi

Rien de tel qu'un bon thé pour lutter contre le sommeil !

Courage tout le monde ! Je ne participe pas cette fois, mais vous avez tout mon soutiens !

Pango, Arkash : je vous est réservé un commentaire chacun pour le concours, j'attends également de pouvoir les poster.

EDIT : voilà, c'est fait (le topic est ouvert)

Duvo, t'es trop précoce au taquet, c'est impressionnant.
*Lit...* Merci, j'y répondrai comme il se doit, après avoir posté mes coms, bien sûr.
Mais... oukilé mon ptit coeur ? Au bûcher !

Ah, et : 3 mots. Je m'arrête à 00h36.

Vaincue par la migraine. J'ai fini de corriger le chp de Charlie mais, comme d'hab, j'ai l'impression d'avoir fait de la merde. Bonne nuit à vous tous!

Précoce ? Allons allons. Appelons ça de l'efficacité. En fait, c'est surtout que je reprends les exams la semaine prochaine jusqu'à mercredi, si bien qu'entre temps, je n'ai que ce week end pour regarder régulièrement les résultats qui tomberont.

Sinon, pour ta nuit : jolie performance. De l'ultra-concentré de pure littérature, à coup sûr.

222 ! Comme quoi. Et j'arrête là, même si je sais exactement où je vais pour les mille et quelques prochains mots.

@Mâra : la merde, c'est rien d'autre que du terreau. Si tu veux une jolie fleur, achètes-en une en plastique. Si tu veux un carré de prairie qui sente bon l'automne, cette merde pourra t'être utile.

Tiens, je devrais créer un fil de petites phrases en mode "conseils de vie".

Bon, je vais aussi aller au lit, je ne sors plus rien de cohérent ! 8D

Au moins j'ai commencé mon tome 3, chose que je n'arrivais pas depuis un moment (syndrome de la page blanche, toussa toussa...) C'est un point positif.

Petit extrait pour ceux qui veulent :

Sigfrid expira, tranquille. Son souffle fit frémir le feuillage des fourrées, qui révéla un court instant ses yeux émeraudes. Il ne quittait sa cible du regard. Le brocard blanc buvait à la source, inconscient du danger. Sigfrid tendit la corde de son arc, arma la flèche…le tout dans un grand silence. A la seconde où il lâcha, l’animal sembla sentir sa présence et leva vivement la tête. Trop tard. La flèche lui transperça la gorge et il s’écroula dans la neige. Son sang forma un fin ruisseau écarlate au milieu des congères immaculées. Des rires gras retentirent. Les chasseurs congratulaient Sigfrid. « Bravo mon gars, belle prise ! » S’écria Harold le veneur, dont les chiens rôdaient déjà autour du gibier abattu. Sigfrid le gratifia d’un sourire. « Ce soir, ragoût de venaison. Vous verrez comment c’est, de manger ce qu’on a tué soi-même.
— Je le sais déjà », avoua Sigfrid.
Il aimait déserter le château –au grand dam de sa mère, et s’en aller dans le Bois Blanc, à l’orée de la cité. Armé de son arc en bois d’if confectionné par ses soins, il parcourait les chemins et explorait les fourrées en quête de petit gibier. Souvent il ramenait des lapins ou des dindes d’hiver, et les offrait aux démunis. Il n’hésitait jamais à manger en leur compagnie. Car comme le disait sa Majesté son père, un roi se doit d’être proche de son peuple.

1 175
+ 1 132
+ 1 207
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= 3 514


Je suis satisfaite par cette nuit...
Je n'ai pas fini mais bon
Plus que 5 parties