Nombre de messages : 150 Âge : 32 Localisation : Enkidiev Pensée du jour : 데이비드 Date d'inscription : 10/12/2015 | IrishSoul / Tycho l'homoncule Jeu 10 Déc 2015 - 10:56 | |
| Salut tout le monde (je risque souvent de commencer comme ça,adorant les vidéos du JDG), J'ai publié en juin 2014 une nouvelle aux éditions édilivres et je souhaiterai la publier en anglais. Etant bilingue,je peux gérer la traduction mais je ne sais pas comment faire pour l'édition...Dois-je continuer avec édilivres ou est-ce que je peux passer par une maison d'édition britannique? J'ai signé un contrat avec eux mais cette partie n'était pas mentionnée. Merci d'avance pour vos réponses |
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Nombre de messages : 3221 Âge : 49 Localisation : Devant le PC Pensée du jour : 50 nuances d'earl grey Date d'inscription : 05/12/2012 | Mikaroman / Jeune et fringant retraité Jeu 10 Déc 2015 - 11:51 | |
| Le plus simple reste certainement de demander à Edilivre directement.
Ce qui n'est pas dans le contrat ne peux pas t'obliger, normalement.
Et reste à savoir si, d'un point de vu légal, une traduction est le même texte ou un autre texte ? C'est une bonne question. |
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| Invité / Invité Jeu 10 Déc 2015 - 12:23 | |
| Les Anglo-Saxons étant bien plus grands lecteurs (et éditeurs) de nouvelles, notamment dans la presse, je tenterais plutôt de publier chez un éditeur du crû. Si rien de prévoit les services de traduction et/ou les cessions de droits à l'étranger dans ton contrat Edilivre... tu es libre de le faire. Le mieux étant de leur poser la question car une traduction n'est, a priori, qu'une version d'une œuvre originale dont Edilivre détient une partie des droits, je pense. |
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| Invité / Invité Jeu 10 Déc 2015 - 14:46 | |
| Même si Edilivre détient les droits, je crois qu'après un certain temps d'exploitation (18 mois ? à vérifier dans ton contrat), tu peux les récupérer par simple lettre recommandée. |
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Nombre de messages : 150 Âge : 32 Localisation : Enkidiev Pensée du jour : 데이비드 Date d'inscription : 10/12/2015 | IrishSoul / Tycho l'homoncule Ven 11 Déc 2015 - 11:46 | |
| Oui mais si je récupère mes droits, ça veut dire qu'Edilivre ne peut plus proposer la vente de ma nouvelle, si? |
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Nombre de messages : 1448 Âge : 33 Localisation : Sous l'éclipse Pensée du jour : "When gender is a social construct, but being fat is genetics" Date d'inscription : 08/12/2015 | Irvyn / No fun allowed Ven 11 Déc 2015 - 12:06 | |
| "La fin du contrat entraine plusieurs conséquences : l’auteur recouvre l’intégralité des droits patrimoniaux qu’il avait cédés à l’éditeur. Par conséquent, ce dernier ne peut plus exploiter l’ouvrage, même pour le stock restant (sauf autorisation de l’auteur). Il peut proposer à l’auteur de racheter tout ou partie du stock mettre le stock au pilon ou le restituer à l’auteur moyennant une compensation payable par l’auteur. L’auteur reprend toute sa liberté par rapport à l’œuvre et peut donc conclure un nouveau contrat avec d’autres éditeurs." Hop, petit copier/coller de la SGDL |
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| Invité / Invité Ven 11 Déc 2015 - 13:59 | |
| Sans vouloir faire du cynisme à tout crin, je pense que si tu t'autopublies, tu peux parvenir à vendre autant qu'en étant chez Edilivre qui ne se foule généralement pas trop pour la promo. |
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Nombre de messages : 1043 Âge : 44 Localisation : Lens Pensée du jour : Ce canard est trop lourd ou corrompu Date d'inscription : 30/09/2014 | fabiend / Effleure du mal Dim 13 Déc 2015 - 23:15 | |
| (et pourquoi le feraient-ils, ce sont les auteurs qui leur font gagner de l'argent, pas les lecteurs). |
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Nombre de messages : 1448 Âge : 33 Localisation : Sous l'éclipse Pensée du jour : "When gender is a social construct, but being fat is genetics" Date d'inscription : 08/12/2015 | Irvyn / No fun allowed Lun 14 Déc 2015 - 9:59 | |
| Ça m'avait pas mal fait tiquer quand j'ai vu sur leur site leur considération pour l'auteur, qui pour eux est un client. Au moins, on peut leur concéder qu'ils ne se cachent pas et utilisent les bons termes. |
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