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| | Nombre de messages : 178 Âge : 37 Date d'inscription : 18/08/2015 | Billentête / Tycho l'homoncule Mar 25 Aoû 2015 - 16:07 | |
| - Ramsès a écrit:
- De mon côté, mon inspiration vient au contraire dès que je suis heureuse ! Mes textes sont meilleurs quand j'ai cette montée de bonheur dans le corps car c'est la joie et uniquement la joie qui me donne envie. Et pour répondre à ta seconde question Plume Légère, je me cale avec un stylo et des feuilles le matin mais rarement le soir. Par contre oui, l'écriture est un médicament quand ça va mal dans ma vie...
Et j'ai remarqué que mes écrits se faisaient plus noirs et plus sombres quand j'avais peur : encore une fois, c'est à cause d'une montée d'énergie, c'est l'adrénaline qui me pousse à sortir ma plume ! Souvent quand je déprime, j'essaie quand même de pondre quelques vers pour me sentir mieux mais dans tous les cas, je bloque et cela ne fait que titiller mon envie de pleurer.
En tout cas, vous n'êtes pas les seuls, c'est sûr ! c'est très commun, les gens qui écrivent la nuit. Après tout, l'écriture est un échappatoire, il faut bien s'en servir comme tel. Tout pareil contrairement aux réactions ci dessus, c'est quand je vais bien que j'écris le mieux. En cas de déprime ça devient vite trop alambiqué, trop métaphorique pour permettre de créer quelque chose sur la longueur. Par contre c'est efficace pour la poésie ! |
| | Nombre de messages : 234 Âge : 58 Localisation : Bayeux Date d'inscription : 23/08/2015 | Marc Valcoric / Autostoppeur galactique Mar 25 Aoû 2015 - 17:05 | |
| Il n’y a qu’une période où il m’est impossible d’écrire, c’est les quelques mois du sentiment amoureux, au début d’un amour, où l’autre est le centre du monde, où son absence provoque ce déséquilibre, où nous ne sommes plus au centre de nos perceptions, car l’un de nos préoccupations sensorielles, émotives, est excentrée de notre espace physique. Donc, j’ai eu plusieurs périodes d’absence totale de mots imaginés.
La condition pour que j’écrive, et j’écris souvent, vite, très vite, mes doigts filent sur le clavier, parfois sans réflexions, instinctivement, c’est l’isolement des personnes que j’aime, voire que je connais. Je ne parle pas de solitude, je peux écrire pendant des heures sur une terrasse bondée, au soleil, face à la mer. Non, c’est l’isolement des autres, ceux qui me préoccupent, qui monopolisent ma pensée, attentif à leur vie, à leur mot, à leur bien-être. Sans doute pour cela que j’ai souvent écrit la nuit, quand le téléphone ne sonne pas, quand personne ne frappe à la porte d’entrée, quand mes compagnons ou compagnes de vie dorment, ou, en journée, que mes enfants sont occupés et ne se préoccupe pas de leur papa, ou ne sont pas là. Je peux même écrire au travail, entre deux rendez-vous, les collègues me pensant occupé à rédiger un rapport, me laissant tranquille.
Après, je ne dis pas que la déprime, le bonheur, la joie, la peine, n’influent pas sur mes textes, mais ils ne gênent en rien ma capacité d’écriture.
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| | Nombre de messages : 248 Âge : 25 Localisation : À Lyys, sur Hartaine Pensée du jour : Believe in your dreams, and they might come true... Date d'inscription : 24/08/2015 | Bluter / Autostoppeur galactique Ven 28 Aoû 2015 - 10:55 | |
| Personnellement, même quand je n'écris pas, je continue d'imaginer mon histoire. Il se passe rarement des moments dans la journée où je ne pense pas à mon livre ! Je vis avec mes personnages jours et nuits, je m'empresse de prendre mon portable, mon ordi ou simplement une feuille et un crayon dès que je peux pour continuer à écrire leur histoire.
En général, côté émotions, j'essaie de décrire ce que je ressens pour qu'on retrouve ces émotions en lisant, que ce soit de la joie, de la tristesse, de l'indignation... Mais quand je suis triste, je n'arrive pas à écrire, je reste juste songeuse. Et je me suis rendue compte qu'au contraire, c'est l'humeur de mes personnages qui influe sur la mienne. Il peut m'arriver de me retrouver joyeuse ou triste justement parce qu'ils l'étaient aussi.
Mais de manière générale, j'écris quand je me sens bien, ça me permet de mieux me concentrer. |
| | | Invité / Invité Dim 30 Aoû 2015 - 22:12 | |
| Bonjour,
J'ai commencé à écrire parce que je n'avais ni livre, ni bibliothèque à porter de pattes, ni internet, ni aiguille à tricoter... Maintenant, j'attends que les idées me viennent, ça arrive le plus souvent lorsque je suis en phase avec l'émotion d'un personnage. Résultat, je n'écris pas mes histoires de façon chronologique. La musique m'aide beaucoup également, volontairement ou non. |
| | Nombre de messages : 249 Âge : 42 Localisation : Suisse Date d'inscription : 04/08/2015 | Elouette / Autostoppeur galactique Lun 31 Aoû 2015 - 13:42 | |
| Moi j'ai besoin d'un "déclic". Cela peut être une rencontre, un lieu, bref quelque chose qui m'inspire. Viennent ensuite toute une suite d'idée et là il me faut vite un support pour écrire. J'ai aussi besoin d'être reposée, ce qui n'arrive pas souvent ! Et d'être tranquille. Donc plutôt en début de soirée et quand l'inspiration est là. |
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