Enirtourenef a écrit:

Généralement si le téléphone est pas dans "contact" il y en a un en pied de page ou dans les mentions légales

Merci !! Oui, ce sera mieux d'appeler, ou à l'extrême, leur faire un message écrit, par FB ou autre...

Et ils ne demandent pas de recto simple, donc juste impression recto-verso (peu importe la mise en page, le format, etc.), sans forcément relier, ça devrait coûter moins cher.

Florence_C a écrit:

Et ils ne demandent pas de recto simple, donc juste impression recto-verso (peu importe la mise en page, le format, etc.), sans forcément relier, ça devrait coûter moins cher.

Merci ! C'est rare, ça !

Citation :

C'est la première fois que je vois quelqu'un qui n'apprécie pas le visuel de Zulma.

Moi non plus, je n'aime pas leurs couvertures...

Je vais m'ajouter à ceux qui n'aime pas leur couverture, par contre leur catalogue à l'air assez sympa.

Je suis étonnée de voir que les couvertures ne plaisent pas à certains, je dois avouer que je les adore ! Elles sont l’œuvre d'un graphiste britannique, David Pearson, qui a bossé pour Penguins editions et aussi avec Wes Anderson (on voit le lien entre son style coloré et celui d'Anderson) : https://www.livreshebdo.fr/article/david-pearson-la-british-touch-des-editions-zulma

En tout cas Zulma est une des maisons d'édition qui me font rêver (avec Actes Sud et quelques autres), les informations de ce fil de discussion m'ont bien intéressée.

Les couvertures sont esthétiquement jolies mais jamais je ne prendrais un de ces livres pour regarder de quoi ça parle. Elles sont totalement impersonnels (enfin "inlivrennel" ... elles reflètent pas le bouquin quoi). Je les trouve absolument pas vendeuses.

Ah ben pourtant ça doit marcher car ils disent dans l'article qu'après avoir engagé Pearson, ils ont triplé leurs ventes.

Et pour la littérature blanche, les couvertures sont de tradition minimalistes en France, France culture en parlait dans un podcast (souvent blanche, à l'opposé des couvertures des anglais et américains qui pensaient que ces livres de grands éditeurs étaient auto-édités à cause de ces couvertures   ) Par conséquent je trouve que Zulma se démarque vraiment de ce côté.
https://www.radiofrance.fr/franceculture/pourquoi-les-couvertures-de-roman-sont-elles-si-sobres-en-france-5808523

Disons que dans le minimalisme de la littérature blanche, elles sont plus sympas que les autres. Ça doit faire parti des habitudes de consommation des gens qui lisent de la blanche. Après, peut-être que s'ils avaient des "vraies" (provocation gratuite) couvertures, ils feraient encore plus de ventes.


Même si perso, j'irais plus vers les "je prends un tableau random connu sur fond blanc".

Sarashina a écrit:

Ah ben pourtant ça doit marcher car ils disent dans l'article qu'après avoir engagé Pearson, ils ont triplé leurs ventes.

Je ne sais pas si c'est très à la gloire de l'éditeur, ça  
C'est finalement le même raisonnement que pour toute couverture : faire en sorte qu'on remarque d'abord ton habit, ensuite on va te découvrir toi, ce que tu es à l'intérieur, ce que tu dis... On attendrait une autre démarche de la part d'un éditeur qui se revendique "différent" sur le plan de la qualité éditoriale.
Certes la collection NRF de Gallimard était par exemple connue pour ses couvertures beiges très sobres, mais c'était à une époque où toutes les couvertures étaient sobres, donc on venait à la NRF parce qu'on en savait les qualités. Il n'y avait pas chez eux un "désir de se faire remarquer"
Ici avec Zulma il y a un "désir de se faire remarquer" qui me dérange.
Je suis d'accord qu'il faut du marketing, mais quand il est aussi hyper évident, jusqu'à avouer qu'on vend 3 fois plus depuis le nouvel habillage, ça me dérange. Du coup je suis allergique à ces couvertures alors qu'objectivement j'aime assez leur graphisme, tout comme je deviens allergique aux couvertures "dessins" des polar feel good (à la MC Beaton, Julia Chapman et autres faith Martin) tellement c'est devenu marketing, c'est "du dessin pour attirer le chaland", alors qu'au départ ces couvertures soufflaient un vent léger que je trouvais assez plaisant.