Il est super intéressant ton questionnaire... En le parcourant un peu je me suis dit que sur mes Chroniques je pouvais répondre à la plupart des questions.

Par contre, je devrais faire un question pour chaque royaume/pays/terre... Puisque par exemple pour "Culture et valeur" si je laisse le questionnaire actuelle, les réponses ça donne "ça dépend du royaume" xD

Compliqué ! Mais en tous cas c'est vraiment une aide ce questionnaire ! Très intéressant !

Oui, si tu vois bien à partir d'une certaine question il est conseillé de réaliser la suite du test avec CHAQUE pays/société.

Merci, vous avez de quoi vous amuser dans ton foyer avec ça

Un grand merci.

J'ai avancé très rapidement grâce à tout ceci !

J'ai pu définir avec plus amples facilité le devenir de mes royaumes, ce qui les avaient métamorphoser dans le passé, les raisons, ce qu'ils restent etc.... Bref, j'ai pu me pencher sur le passé et trouver de nouvelles idées pour mon histoire !

Encore merc

De rien, je suis ravie que ce travail de longue haleine serve si bien aux gens

Quel outil très pratique ! On ne peut s'empêcher de répondre aux questions en fonction de ses propres univers.
Et du coup, je l'ai fait avec le mien, un peu lointain, écrit il y a plus de quinze ans, et j'arrive à répondre aux questions (même si j'ai oublié certaines choses bien précises).
Il manque toutefois, et c'est du à mon cas personnel et à l'univers que j'ai imaginé, une notion bien particulière, un thème à tester : les lois physiques sont-elles plausibles. Mais il est rare qu'un écrivain imagine un univers différent de nos lois physiques connues, avec nos systèmes planétaires et tout le patacaisse.
Dans le mien, hormis l'apparence d'humanité des habitants des différents mondes, tout est différent, pas de planètes, l'apesanteur n'est pas du à la masse, et cela entraîne tout un tas de différences fondamentales. Que ce soit sur le climat, mais aussi sociologique et spirituel.
Je ne sais pas si d'autres se sont retrouvés confrontés à cela, surement, mais il pourrait être pertinent, si certains sont dans mon cas, de rajouter quelques questions sur la physique.

Angle intéressant oui, tout étant possible d'imaginer, je pourrais ajouter ceci :

Les lois de la physiques et autres forces naturelles y sont-elles différentes de notre réalité ? Si oui, de quelle façon ?

Ca te semble adéquat ?

Oui. Très bien. Et je peux y répondre... Merci de cet éventuel rajout.

Je suis d'accord avec Faust Federel, faites attention à ne pas écrire un manuel de jeux de rôles. Il faut que vos personnages soient les moteurs de l'univers et pas le contraire. Il est très amusant d'écrire l' encyclopédie d'un monde imaginé, mais à part pour éviter les incohérences, c'est selon moi faire pire que mieux. En clair noter une loi de votre univers que vous avez inventé pour servir une situation est bien plus cohérent que d'essayer de faire rentrer les personnages et l'histoire dans un tas de cases rempli au préalable.

Ce genre de questionnaire est un accessoire très superflu, à n'utiliser qu'après avoir écrit, pour s'amuser. Ou si vous avez écrit 40 tomes et qu'on vous réclame quelque chose dans le genre du Discworld Companion.

Oh, Ma. Coucou.

Je repasse ici assez régulièrement, pur ne pas perdre de vue certains points. C'est difficile, sur la durée, de tenir compte de tous ces paramètres, l'outil est donc d'autant plus utile.

Et je crois que c'est justement le but... S'amuser à répondre à ces questions quand le texte est en cours d'aboutissement, l'imaginaire n'a nul besoin de barrière, mais le roman se doit d'avoir un univers concret, même si ces grandes "lois" et principes n'apparaissent pas au lecteur, ils se doivent d'être suggérés, absents de l'écriture elle-même. Quand l'un de mes personnages conduit un véhicule, qu'importe sa marque pour le lecteur, qu'importe parfois l'espèce d'essence que compose la forêt où mon héroïne se perd ou la couleur de sa robe... Mais si je ne l'écris pas, je dois pouvoir répondre à ces questions, mon monde possède des détails qui peuvent nuire à la lecture, mais restent partie intégrante de mon imaginaire.

Tu pourrais juste faire des fiches. Mais oui, tant que ce n'est pas une obsession, dans le genre " Ha merde c'est vrai dans mon univers je ne sais pas ce que l'Eglise pense des albinos, il va falloir que j'y réfléchisse ". En clair, pas besoin d'être exhaustif pour être cohérent et même mieux, moins y'a d'info, plus l'univers fonctionnera tout seul, les lecteurs combleront les trous inconsciemment avec des morceaux logiques. Personne ne lit en se demandant pourquoi untel représentant de l’autorité est élu ou choisi au hasard ou que sais-je.  Pensez au pauvre lecteur qui aimerait bien pouvoir faire travailler son imaginaire à lui, mille fois plus puissant et beau que n'importe quelle suggestion que vous lui faite. C'est comme pour les gens qui veulent dessiner leur personnages...

Citation :

Quand l'un de mes personnages conduit un véhicule, qu'importe sa marque pour le lecteur, qu'importe parfois l'espèce d'essence que compose la forêt où mon héroïne se perd ou la couleur de sa robe... Mais si je ne l'écris pas, je dois pouvoir répondre à ces questions, mon monde possède des détails qui peuvent nuire à la lecture, mais restent partie intégrante de mon imaginaire.

Pourquoi tu dois pouvoir répondre à ses questions ?

Je viens de me rendre compte qu'on ne sait même pas à quoi ressemble mon personnage principal.
Au bout de 280 000 mots.

L’univers dont je parle, et dont le questionnaire m’a fait replonger dedans, est achevé, écrit, il reste cohérent pour le lecteur, sans pour cela lui donner des détails très concrets. Mais de répondre à ce questionnaire, ce fut comme un jeu, et la satisfaction, que même sans l’avoir écrit, l’environnement y répondait facilement.
Et je le « dois » est excessif, je l’admets, mais plaisant, apportant du plaisir, confortant que mon imaginaire, un peu fou, gardait un pied dans une certaine logique narrative et plausible.
Même si le passage pour l’autre monde passe par une rivière qui coule au-dessus de la tête du personnage, même si un pluie d’acide dans un monde provoque une période froide dans un autre, qu’importe…
Mais il est certain, pour que la lecture soit fluide, l’environnement naturel, certaines questions sont pertinentes et on se doit d’y répondre pour ne pas s’égarer. Si l’on ne décrit pas un personnage, il vit en nous, et on connait son visage, on a même parfois en tête des anecdotes, des souvenirs de son passé, des éléments qui l’ont construit et qui n’apparaissent pas dans le récit.

Oui, nous sommes d'accord donc, c'est amusant après avoir écrit le roman, je disais juste qu'il ne fallait pas tomber dans le piège de création d'univers avant l'écriture.

Dans un roman écrit à la première personne du singulier (en gros je me suis amusé à mettre le lecteur dans les pensées de mon personnage), j'ai zappé la quasi totalité des descriptions car, objectivement, qui s'amuse à faire des descriptions mentales de ce qu'il voit ? Ce genre de description aurait donc brisé l'impression de suivre un fil naturel de pensée que je voulais pour ce texte.

Le personnage parle à une infirmière => Le lecteur n'a qu'a imaginer une blouse avec la fille de son choix dedans. C'est sa tête après tout, autant qu'il la peuple avec les images qu'il désire. Je pense que le lecteur peut faire ça très bien. Qu'elle soit blonde ou brune n'influera pas sur son rôle dans l'histoire.

Par contre je fais attention à ne pas donner ces détails après coup. (histoire que le lecteur ne doive pas changer la tête du personnage qu'il a créé dans son imagination afin de correspondre à ma soudaine lubie de préciser la couleur des cheveux)