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 [Structure] peur d'aller trop vite dans le déroulement de l'histoire

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tabbitta777
   
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tabbitta777  /  Barge de Radetzky


voilà, après 8000 mots, soit 5 chapitres, je prévois d'entrer dans le vif du sujet soit, que mon héroïne découvre et emprunte le passage qui relis nos 2 mondes. 

est-ce prématuré dans l'histoire ? je ne sais pas trop ce que représente 8000 mots.

ma mère me dit : mais non, tu ne vas pas écrire un roman de 300 pages quand même Shocked

bin  Embarassed
 
L'Elfe
   
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L'Elfe  /  « On le sait que t'es nyctalope »


Il n'y a pas de moment "prématuré". Si c'est maintenant que c'est logique, alors c'est maintenant que tu dois l'insérer Wink
 
QuillQueen
   
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Dis-toi que chez certains, 8000 mots c'est à peine deux chapitres.

Et que d'autres rentrent dans le vif du sujet dès les premières scènes, pour placer le contexte antérieur plus tard dans le récit.

Tu es maîtresse du jeu et du temps dans ton roman, tu dois voir sur quoi tu veux insister. Wink Une fois qu'ils ont emprunté ce passage, que se passe-t-il de l'autre côté ? S'il y a beaucoup de choses, alors oui, allons-y vite, voir le reste du récit !
 
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Ce n'est pas la quantité qui compte, mais la cohérence de l'histoire.
Il ne faut pas écrire en pensant au nombre de mots ou de pages. Si ça fait 300 pages, il n'y a pas de mal, si ça en fait 50, non plus.

Écris ce que tu as envie d'écrire. Smile
 
FGFT
   
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Il faut aussi voir si tu n'as pas survolé certains passage. Par exemple, si ton personnage emprunte une route, est-ce que tu as simplement dit qu'il avait prit cette route ou est-ce que tu as raconté ce qu'il avait vu sur cette route ? Si non, est-ce qu'il a pu s'y passer quelque chose d'intéressant ? Si oui, est-ce que raconter ça à ce moment rend le récit lourd ou artificiel ?
Quant à la question de savoir si cette nouvelle scène apporte quelque chose à l'intrigue, je ne me la pose pas car je considère que ce sont les scènes qui n'y apportent rien qui donnent du relief à l'univers du roman.
 
Jasy-Santo
   
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Je pense que ça arrive souvent qu'on précipite les choses, mais après 8 000 mots, je pense que ce n'est pas forcément aller trop vite que de passer au "vif du sujet".

Pour référence, sur un livre de poche, une page c'est entre 250 et 300 mots, donc là t'es à 32 pages, plus ou moins.

Il faut aussi voir ce que tu comptes faire: si tu es à 32 pages sur un roman de 200, il faudra bien à un moment ou l'autre que tu passes à l'intrigue avant la page 50. Surtout dans le cas où ton intrigue n'a pas beaucoup de développement, de sous-intrigues, etc. C'est une question de proportion surtout.

Mais bon, si tu sens que c'est le moment, c'est que c'est le moment. Suivre son ressenti est la seule règle, j'ai envie de dire.
 
Ars
   
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Écris comme tu le sens, il sera toujours temps plus tard de revenir en arrière, de rajouter des passages, voire même des chapitres, de remanier tes phrases et le développement de ton intrigue... Si tes chapitres sont courts, tu peux en mettre plusieurs avant d'entrer dans le vif du sujet. S'ils sont longs tu peux ennuyer le lecteur.

5 chapitres pour 8000 mots, ça me semble correct dans cette situation.
 
DNDM
   
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DNDM  /  Barge de Radetzky


tabbitta777 a écrit:
voilà, après 8000 mots, soit 5 chapitres, je prévois d'entrer dans le vif du sujet soit, que mon héroïne découvre et emprunte le passage qui relis nos 2 mondes. 

est-ce prématuré dans l'histoire ? je ne sais pas trop ce que représente 8000 mots.

ma mère me dit : mais non, tu ne vas pas écrire un roman de 300 pages quand même Shocked

bin  Embarassed

Heu, il se passe quoi dans les 8000 premiers mots / cinq premiers chapitres? Parce que si au bout de cinq chapitres on est pas encore dans le vif du sujet, c'est probablement cinq chapitres de trop...

Ça dépends de ton histoire, hein, mais vendu tel que tu la vends, elle ressemble à Alice au Pays des Merveilles.


Lewis Caroll a écrit:


CHAPITRE PREMIER.
AU FOND DU TERRIER.


Alice, assise auprès de sa sœur sur le gazon, commençait à s’ennuyer de rester là à ne rien faire ; une ou deux fois elle avait jeté les yeux sur le livre que lisait sa sœur ; mais quoi ! pas d’images, pas de dialogues ! « La belle avance, » pensait Alice, « qu’un livre sans images, sans causeries ! »

Elle s’était mise à réfléchir, (tant bien que mal, car la chaleur du jour l’endormait et la rendait lourde,) se demandant si le plaisir de faire une couronne de marguerites valait bien la peine de se lever et de cueillir les fleurs, quand tout à coup un lapin blanc aux yeux roses passa près d’elle.

Il n’y avait rien là de bien étonnant, et Alice ne trouva même pas très-extraordinaire d’entendre parler le Lapin qui se disait : « Ah ! j’arriverai trop tard ! » (En y songeant après, il lui sembla bien qu’elle aurait dû s’en étonner, mais sur le moment cela lui avait paru tout naturel.) Cependant, quand le Lapin vint à tirer une montre de son gousset, la regarda, puis se prit à courir de plus belle, Alice sauta sur ses pieds, frappée de cette idée que jamais elle n’avait vu de lapin avec un gousset et une montre. Entraînée par la curiosité elle s’élança sur ses traces à travers le champ, et arriva tout juste à temps pour le voir disparaître dans un large trou au pied d’une haie.

Un instant après, Alice était à la poursuite du Lapin dans le terrier, sans songer comment elle en sortirait.

Pendant un bout de chemin le trou allait tout droit comme un tunnel, puis tout à coup il plongeait perpendiculairement d’une façon si brusque qu’Alice se sentit tomber comme dans un puits d’une grande profondeur, avant même d’avoir pensé à se retenir.

Nombre de mots avant qu'Alice tombe dans le terrier: 273, dès le premier chapitre.

Ou à Narnia, aussi:

C.S. Lewis a écrit:


CHAPTER ONE

LUCY LOOKS INTO A WARDROBE

ONCE there were four children whose names were Peter, Susan, Edmund and Lucy. This
story is about something that happened to them when they were sent away from London
during the war because of the air-raids. They were sent to the house of an old Professor
who lived in the heart of the country, ten miles from the nearest railway station and two
miles from the nearest post office. He had no wife and he lived in a very large house with
a housekeeper called Mrs Macready and three servants. (Their names were Ivy, Margaret
and Betty, but they do not come into the story much.) He himself was a very old man
with shaggy white hair which grew over most of his face as well as on his head, and they
liked him almost at once; but on the first evening when he came out to meet them at the
front door he was so odd-looking that Lucy (who was the youngest) was a little afraid of
him, and Edmund (who was the next youngest) wanted to laugh and had to keep on
pretending he was blowing his nose to hide it.

As soon as they had said good night to the Professor and gone upstairs on the first night,
the boys came into the girls' room and they all talked it over.

"We've fallen on our feet and no mistake," said Peter. "This is going to be perfectly
splendid. That old chap will let us do anything we like."

"I think he's an old dear," said Susan.

"Oh, come off it!" said Edmund, who was tired and pretending not to be tired, which
always made him bad-tempered. "Don't go on talking like that."

"Like what?" said Susan; "and anyway, it's time you were in bed."

"Trying to talk like Mother," said Edmund. "And who are you to say when I'm to go to
bed? Go to bed yourself."

"Hadn't we all better go to bed?" said Lucy. "There's sure to be a row if we're heard
talking here."

"No there won't," said Peter. "I tell you this is the sort of house where no one's going to
mind what we do. Anyway, they won't hear us. It's about ten minutes' walk from here
down to that dining-room, and any amount of stairs and passages in between."



"What's that noise?" said Lucy suddenly. It was a far larger house than she had ever been
in before and the thought of all those long passages and rows of doors leading into empty
rooms was beginning to make her feel a little creepy.

"It's only a bird, silly," said Edmund.

"It's an owl," said Peter. "This is going to be a wonderful place for birds. I shall go to bed
now. I say, let's go and explore tomorrow. You might find anything in a place like this.
Did you see those mountains as we came along? And the woods? There might be eagles.
There might be stags. There'll be hawks."

"Badgers!" said Lucy.

"Foxes!" said Edmund.

"Rabbits!" said Susan.

But when next morning came there was a steady rain falling, so thick that when you
looked out of the window you could see neither the mountains nor the woods nor even
the stream in the garden.

"Of course it would be raining!" said Edmund. They had just finished their breakfast with
the Professor and were upstairs in the room he had set apart for them - a long, low room
with two windows looking out in one direction and two in another.

"Do stop grumbling, Ed," said Susan. "Ten to one it'll clear up in an hour or so. And in
the meantime we're pretty well off. There's a wireless and lots of books."

"Not for me"said Peter; "I'm going to explore in the house."

Everyone agreed to this and that was how the adventures began. It was the sort of house
that you never seem to come to the end of, and it was full of unexpected places. The first
few doors they tried led only into spare bedrooms, as everyone had expected that they
would; but soon they came to a very long room full of pictures and there they found a suit
of armour; and after that was a room all hung with green, with a harp in one corner; and
then came three steps down and five steps up, and then a kind of little upstairs hall and a
door that led out on to a balcony, and then a whole series of rooms that led into each
other and were lined with books - most of them very old books and some bigger than a
Bible in a church. And shortly after that they looked into a room that was quite empty
except for one big wardrobe; the sort that has a looking-glass in the door. There was
nothing else in the room at all except a dead blue-bottle on the window-sill.

"Nothing there!" said Peter, and they all trooped out again - all except Lucy. She stayed
behind because she thought it would be worth while trying the door of the wardrobe, even
though she felt almost sure that it would be locked. To her surprise it opened quite easily,
and two moth-balls dropped out.



Looking into the inside, she saw several coats hanging up - mostly long fur coats. There
was nothing Lucy liked so much as the smell and feel of fur. She immediately stepped
into the wardrobe and got in among the coats and rubbed her face against them, leaving
the door open, of course, because she knew that it is very foolish to shut oneself into any
wardrobe. Soon she went further in and found that there was a second row of coats
hanging up behind the first one. It was almost quite dark in there and she kept her arms
stretched out in front of her so as not to bump her face into the back of the wardrobe. She
took a step further in - then two or three steps always expecting to feel woodwork against
the tips of her fingers. But she could not feel it.

"This must be a simply enormous wardrobe!" thought Lucy, going still further in and
pushing the soft folds of the coats aside to make room for her. Then she noticed that there
was something crunching under her feet. "I wonder is that more mothballs?" she thought,
stooping down to feel it with her hand. But instead of feeling the hard, smooth wood of
the floor of the wardrobe, she felt something soft and powdery and extremely cold. "This
is very queer," she said, and went on a step or two further.

Next moment she found that what was rubbing against her face and hands was no longer
soft fur but something hard and rough and even prickly. "Why, it is just like branches of
trees!" exclaimed Lucy. And then she saw that there was a light ahead of her; not a few
inches away where the back of the wardrobe ought to have been, but a long way off.
Something cold and soft was falling on her. A moment later she found that she was
standing in the middle of a wood at night-time with snow under her feet and snowflakes
falling through the air.

Nombre de mots avant que les enfants ne débarquent dans l'autre monde : 1231 (dès le premier chapitre).


Bon, bien sûr, tu pourras me citer Harry Potter (trois chapitres, soit à la louche 4500 mots en anglais, où le fantastique arrive à petits pas avant qu'Hagrid ne débarque enfin), mais beaucoup de lecteurs te diront qu'ils ont abandonné Harry Potter justement à cause de ces trois chapitres trop longs.

Bref, tout dépends de comment est structurée ton histoire, de si cet autre monde est le sujet du roman (dans ce cas là, il est plus que temps de nous le faire découvrir), une péripétie/révélation à un moment de l'histoire (dans ce cas, ça peut arriver plus tard) ou si c'est l'aboutissement de la quête (dans ce cas là ça arrive à la fin).

Mais bon, le plus souvent, ce genre d'histoire commence quand le héros passe dans l'autre monde, et on se passe très bien de la description de sa vie ordinaire avant.

Bon courage Very Happy
 
FGFT
   
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Sans revenir sur ce qui a été dit plus haut qui me semble juste, je voudrais préciser mon message d'hier soir.

Tu as écrit huit mille mots en cinq chapitres, soit environ 1500 mots par chapitre. Pour information, mes chapitres font entre 6500 et 7500 mots. La question alors est de savoir combien de scènes tu as dans chaque chapitre. En effet, il me semble qu'en 1500 mots, tu ne peux avoir qu'une scène, voire deux si elles sont courtes. À mon avis, si tu as plus de deux petites scènes par chapitre, tu peux facilement les reprendre pour les rendre plus denses, notamment au niveau des descriptions.

Après, pour réagir à ce que dit mon VDD, tout dépend ce que tu appelles entrer dans l'intrigue. En effet, ce n'est pas parce que l'intrigue principale du livre n'est pas initiée véritablement qu'il ne se passe rien. Dans le roman que je suis en train d'écrire (fantasy, probablement dix chapitres égaux), mon héroïne. Passe deux chapitres à fuir des méchants pas beaux, elle passe deux chapitres à essayer de ne pas trop se faire d'ennemis dans un pays étranger, un chapitre flash-back sur son passé, et un chapitre qui sert à poser l'histoire du monde où elle évolue et, justement, l'intrigue principale, qu'elle décide de démêler aux alentours des 40 000 mots. Et pourtant, il ne me semble pas que l'on s'ennuie, en précisant que dans les quatre premiers chapitres, il,y a une sorte d'intrigue pas trop développée, mais un gros retournement de situation dans le chapitre 5.
Bref, l'important c'est qu'il se passe des choses intéressantes, peu importe quand le nœud de l'histoire se met en place.
 
tabbitta777
   
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donc en 7179 mots car j'ai enlever des phrases et mot polluant... 

il y a 1 prologue
chapitre 1 mise en place de sa petite vie et son amie
chapitre 2 elle revoit son amour perdu
chapitre 3 elle perd la mémoire
chapitre 4 elle part au bal
chapitre 5 elle retrouve la mémoire

et là elle va partir à la recherche de son petit ami disparu...

honnêtement c'est un premier jet mais je vois pas trop comment et où étoffer le début sans soûler mon lecteur.

mon roman
les disparus
 
FGFT
   
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Je n'avais pas vu que tu avais posté ton oeuvre ici. Je vais essayer d'y jeter un œil, mais je suis coincé sur ma tablette pour le moment, donc je ne promet rien.
 
boblafrite
   
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je ne pense pas qu'il y ait de "plat tout préparé" en terme de roman, et donc pas de place prédéfinie pour entrer à fond dans une intrigue. déjà ça va dépendre de la longueur initiale de ton histoire, et puis de ce que tu souhaites faire découvrir au lecteur par le biais de tes personnages.
après, 8000 mots c'est à la fois peu et beaucoup. beaucoup si on part du principe qu'un roman c'est à partir de 50 000 mots, et donc correspond à 16% de l'ensemble. si tu es sur un roman bien plus long, style 150 000 voire plus de 200 000 mots, ça arrive par contre très tôt. mais ça ne veut pas dire trop tôt non plus.
après si je compare avec la taille de mes chapitres, qui font environ 3000 mots, en gros l'entrée dans le vif du sujet se ferait au 3ème chapitre. perso je suis plus long que ça, mais sur un roman long, à intrigues multiples, donc j'ai ma propre logique liée à mon synopsis.
donc pour résumer, en un mot : synopsis!
et là, y'a que toi qui peut voir.
 
FGFT
   
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FGFT  /  Barge de Radetzky


Ayant enfin récupéré mon ordinateur, j'ai parcouru ce que tu as posté de ton roman. Effectivement, je ne vois pas comment tu pourrais rallonger significativement ce début sans perdre le rythme que tu as installé. De plus, cette rapidité me semble être un parti pris dans la mesure où tu as voulu que ces actions ne se déroulent que sur une période courte.
Tu pourra peut-être étoffer quelques descriptions, préciser certaines choses, mais ça ne changera pas grand chose. À mon avis, continue ton roman, et peut-être qu'il t'apparaitra nécessaire de rajouter des scènes, ou de conserver tel quel, mais ne te concentre pas là dessus et continues comme ça !
 

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