C'est vrai que le pdf sur liseuses c'est pas top, mais il existe des logiciels gratuits (Calibre par exemple pour Kindle) qui permettent de transformer un .pdf en .mobi ou .epub. Après c'est au format natif, donc plus de soucis

Lire tout vos commentaires était bien divertissant, particulièrement quand un petit colérique très étroit d'esprit a souhaité faire part de son opinion. Il n'y a que les imbéciles qui ne change pas d'avis.

Personnellement, j'ai longtemps pensé que le papier était le support par excellence. J'adore pouvoir voir ma bibliothèque se remplir et ainsi pouvoir à nouveau être tenté par un livre que j'ai bien aimé.

Pourtant quand je suis parti vivre à l'étranger, l'idée de m'acheter une liseuse m'a soudain semblait une bonne idée. Et après avoir lu vos commentaires, je me dis que je passerais peut-être bientôt le cap. Même si je n'arrêterais surement pas d'acheter des livres, le côté pratique de la liseuse semble indéniable. Quand on est amené à devoir prendre l'avion, le poids des bagages devient rapidement un point à ne pas négligé, particulièrement pour le retour... Le shopping, l'ennemi en vacance !

Je suis donc impatiente de pouvoir en tester une, étant donné que je n'ai pas une très bonne vue et que je fatigue facilement, vos commentaires m'ont encouragé à passé le cap!

moehawk a écrit:

C'est vrai que le pdf sur liseuses c'est pas top, mais il existe des logiciels gratuits (Calibre par exemple pour Kindle) qui permettent de transformer un .pdf en .mobi ou .epub. Après c'est au format natif, donc plus de soucis

J'ai essayé d'arranger ça avec Calibre, mais je dois pas être assez doué. M'enfin...

Personnellement, je préfère les liseuses car leur format permet de les transporter partout, on peut adapter le format de lecture et surtout avant d'acheter on peut lire les avis postés par les autres lecteurs (surtout ceux qui se plaignent de la mauvaise orthographe ou ponctuation) , ce qui donne une idée de ce que l'on ca trouver dans le livre. De plus, ma lecture reste pour moi. Un jour je lisais un livre dans une salle d'attente et quand ça a été à moi, je n'ai pas entendu mon nom (je suis malentendante). Le médecin s'est approché de moi et je me suis levée. Comme j'avais mes appareils, j'ai pu entendre la personne à côté de moi dire "ah bah pas étonnant vu le niveau du livre".
Depuis que les liseuses existent, ça me permet de garder pour moi l'histoire dans laquelle je me plonge. Cependant, j'ai une vrai bibliothèque papier chez moi avec mes livres préférés.

J'ai tester la lisseuse et l'odeur ne m'a pas plus, je ne pouvais plus lire sous la pluie fine en marchant, je ne savais plus à la couverture qu'elle livre je lisais...

J'ai tenté la lisseuse (on me la offerte) et j'en suis revenu bien rapidement. Le confort de lecture est meilleurs que sur papier mais il manque l'aspect sensuel du papier sur la peau, de l'odeur de ce papier dans les narines, de la possible conversation avec son voisin de métro interrogatif quand au livre que l'on lis et surtout, surtout le fait qu'on ne peu prêter un livre virtuel comme on prette à un livre...

J'ai tenté et clairement, je n'aime pas la lisseuse, c'est pour moi bien moins plaisant.

AppleCokes a écrit:

Je pense qu'il est important de préserver ce patrimoine, qui en plus donne du travail aux éditeurs et aux imprimeries (je vais peut être un peu loin là, mais bon).

1. Faire un livre numérique représente aussi un gros boulot pour les éditeurs
2. Les œuvres de fiction représentent une très faible part de "ce qui fait vivre les imprimeurs".

D'accord, effectivement je ne me représentais pas les choses ainsi !

Je n'ai jamais compris comment des gens pouvaient dépenser de l'argent pour lire sur un écran. Même gratuitement, je n'ai jamais supporté ça. Ça me gêne presque que mon éditeur fasse (également) de la location numérique (il ne faut pas se leurrer, dès lors qu'il n'y a pas de support c'est une location et non un achat, tous les droits du produit restant à l'auteur). J'aurais l'impression d'arnaquer les clients.
Enfin, après tout, s'il y a de la demande... autant faire l'offre, même si je le la comprendrai jamais.

Le second problème c'est que la différence de prix est flagrante, et, en plus de pousser artificiellement les gens vers le numérique, comme pour les jeux vidéo, ils vont finir par payer l'accès à plein de produits sans jamais les lire/utiliser.

Tu as déjà essayé de lire sur liseuse, Noctis ?

Je dois dire que les deux supports ont leur avantages (la liseuse permet un accès facile rapide, et souvent moins cher), mais je privilégie le papier, parce que un de mes buts dans la vie, c'est d'avoir LA bibliothèque qui déchire sa maman.

Avec tout mes livres et plus, que je connaîtrais tous personnellement, auxquels j'attribuerais des souvenirs de lecture, des saveurs ...

C'est un plaisir personnel irréalisable sur liseuse.

J'ai acheté une liseuse il y a deux ou trois ans. Et je continue à lire sur papier car je ne m'y suis jamais faite ! Autant c'est très confortable (pour les yeux, pour le corps aussi vu la légèreté de l'objet comparé à certains livres papier), autant j'aime pouvoir feuilleter un livre, en écorner les pages, griffonner dessus ; j'aime aussi y glisser un marque-page et voir où j'en suis (tiens, il me reste deux centimètres sur quatre à lire, ou deux cents pages sur trois cents etc).

Coline a écrit:

Tu as déjà essayé de lire sur liseuse, Noctis ?

Oui, je n'ai pas aimé du tout (ça dépend peut-être des gens, après)

duboismarneus a écrit:

un de mes buts dans la vie, c'est d'avoir LA bibliothèque qui déchire sa maman..

Ohlala, oui. Avec l'échelle qui roule et tout et les livres qui vont jusqu'au plafond. J'avoue que c'est un de mes rêves aussi ! Irréalisable avec une liseuse, du coup.

Je suis donc définitivement du côté des livres papiers, même si je comprends les arguments de ceux qui aiment les liseuses.

Je crois que l'un et l'autre ne s'opposent pas. J'ai une bibliothèque qui va jusqu'au plafond, j'achète des livres papier très souvent. Mais parfois, la liseuse est vraiment pratique. Je passe de l'un à l'autre, ça dépend des livres, des occasions, de l'envie.