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 La félicité du poisson-perroquet [Auto-édition Amazon et Lulu]

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Elenita
   
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   Pensée du jour  :  Tout bien considéré, il n'y a que deux sortes d'hommes dans ce monde, ceux qui restent chez eux et les autres. (R. Kipling)
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Elenita  /  Blanchisseur de campagnes


Bonjour à tous,

Je vous présente :

La félicité du poisson-perroquet [Auto-édition Amazon et Lulu] Couv2_11
FICHE TECHNIQUE
Titre : La félicité du poisson-perroquet
Auteur : Hélène Reynaud
Type: roman
Genre : réaliste, contemporain

Éditeur : Amazon et Lulu
Nombre de pages : 410
Dimensions : hauteur, largeur, épaisseur en cm
Disponibilité : sur Lulu et Amazon en cherchant par titre (format Epub, Kindle, papier). Les liens directs sont disponibles sur mon site par ici.

Livre-Voyageur : OUI Livres-Voyageurs,



Quatrième de couverture :

La fin d’une relation est une petite mort, pourtant si banale. Lisa, trentenaire parisienne, en termine avec Grégory, les non-dits, l’ennui. Ni sa famille, ni son travail, ni ses amis n’arrivent à lui rendre le sourire. Elle s’offre des vacances à l'autre bout du monde, pour récupérer, pour affronter ses interrogations et ses doutes, pour entrevoir les promesses de l’avenir.
Se profile alors une rupture avec le passé et le quotidien, de celles qui se décident lorsque l’on a l’audace de croire qu’une autre vie, faite d’ailleurs et d’absolu, est possible.
C’est une histoire d’amour avec une île tropicale, puis avec un homme, alcoolique, lunatique, qui n’a rien du prince charmant.
C’est l’histoire d’une passion pour la plongée sous-marine, les raies mantas et les poissons-perroquets.
C’est une histoire d’addiction, de rédemption, de poissons et de chansons.
« Les histoires d’amour finissent mal, en général » - Rita Mitsouko


Extraits :

Page 68 :
Mes vies professionnelle et personnelle souffrent d'une sévère dissociation. Dans le monde du travail, je porte ce costume de représentation, un peu serré aux épaules mais si efficace. Je ne peux tolérer les tâches inachevées, les rapports bâclés, les projets branlants. Ma conscience professionnelle frise parfois le ridicule tant elle m'encombre et ronge mon temps. J'ai connu maintes soirées au bureau, des séances de travail à la maison le dimanche, de longs appels avec Chef bien après vingt heures. Je frôle souvent la caricature de ces jeunes cadres aux dents longues qui conquièrent le monde à coups de stratégies et de litres de café, pour grimper plus haut, plus vite. Ceux-là mêmes qui m'inspirent un peu de pitié et un vague mépris. Je suis envahie régulièrement par un vif sentiment d'imposture en facturant des milliers d'euros, avec l'impression de jouer à l'adulte. Une fois remisé le déguisement trop étroit, je redeviens la personne que j'étais avant de pénétrer dans le vaste monde professionnel : insouciante, fantaisiste, un peu tête brûlée. Lorsque je cesse de graviter en orbite autour de mon boulot, les fibres de mon corps et de mon âme se détendent lentement, pour laisser place au besoin d'espace, de découverte, de rires et d'aventure. La musique me nourrit de cette façon, me permettant de manière inespérée de m'évader de cette armure au beau milieu d'une longue et harassante journée.

Je vendais sans même y songer mes projets, l’expertise de mes collègues, des solutions bâties par de grands stratèges et déclinées en une multitude de versions. Depuis la rupture avec Grégory, les fondations de ma vie s’effritent ; remettre tout en question malgré moi devient la norme. Ces derniers mois, ce travail m’apparaît sous un autre jour. Vendre, négocier, reformuler : quel sens donner à tout ceci ? Le prochain job, plus gonflé et gonflant, plus rémunérateur, sera-t-il ma perspective pour les trente prochaines années, comme une quête sans fin ?




Page 205 :
 Comment n’ai-je pas plus de souvenirs de lui sous l’eau l’an dernier ? Sa fluidité aurait dû me frapper. Il bouge quasiment sans effort, un coup de palme de temps à autre. Mouvements parfaitement maîtrisés, économes en énergie. Jamais il n’effleure les coraux autour de nous en s'approchant pour observer le récif. Bras croisés sur la poitrine, parfaitement horizontal, il fait corps avec l’océan au même titre que les poissons qui évoluent autour de nous. Seules les bulles qui s’échappent de son détendeur rappellent qu’il respire. Au bout d’une demi-heure, nous commençons à remonter le long du tombant et comparons nos jauges : nous avons quasiment la même réserve d'air. Il doit faire deux fois mon poids et consomme à peine plus. En le voyant, je me dis simplement : moi aussi, je veux savoir plonger comme ça.
 Immanquablement, être sous la surface me détend. À son côté, je me sens en sécurité. Dans l’eau, flottent entre nous une harmonie nouvelle, une quiétude apaisante. Je n'ai pas besoin de pouvoir lui parler pour lire dans ses yeux le même bonheur évident, celui qui rend toute parole inutile.
Soudain, tout paraît tellement simple. 


Page 273 :
- Tu sais, la semaine dernière sous l’eau, je regardais les poissons, ceux que je vois tous les jours. Je suis restée à contempler un poisson-perroquet, en train de faire sa vie sur le récif, fouinant le corail, se baladant, tranquillement. C’est idiot, mais ça m’a fait envie. Certains jours, je voudrais être un poisson-perroquet. Pas d’emmerdes, pas de problèmes existentiels, pas de relations conflictuelles. Tu te promènes, tu fais ta vie, peut-être que tu te trouves une copine et tu fais des petits poissons-perroquets. Ou pas d’ailleurs. Et puis un jour, tu te fais bouffer ou pêcher. Et tu meurs. Voilà, simple. Ils doivent être heureux, les poissons-perroquets.  
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Molly
   
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Molly  /  Sang-Chaud Panza


J'ai fini de le lire hier soir et... wow ! J'ai vraiment beaucoup aimé. J'en suis encore toute retournée.

Je prépare ma petite chronique.

Et déjà, je le recommande à tous ceux qui apprécient que dans un roman, l'auteur prenne le temps de développer et approfondir la psychologie des personnages. C'est, de mon point de vue, la (plus) grande qualité de ce roman... mais il en a bien d'autres.  

Lecteurs, jetez-vous dessus ! (il est inscrit dans la section Livres-voyageurs, au cas où... j'dis ça...)
 
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De bien beaux extraits...
 
Gwenouille
   
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Gwenouille  /  Roland curieux


Je n'ai pas lu ton livre, mais j'ai lu tout ton blog (au passage), c'était super intéressant Smile
 
Molly
   
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Molly  /  Sang-Chaud Panza


C'est vrai que le blog est très chouette (et apporte au passage un éclairage intéressant sur le roman).

Bon, hum hum, voici ma petite chronique :

Citation :
La félicité du poisson-perroquet, d’Hélène Reynaud

Voici un roman qui « embarque » son lecteur, au propre comme au figuré. À la suite de Lisa, la narratrice, je suis partie pour l’Indonésie, et j’ai vécu avec elle une expérience forte, intense, de laquelle je suis sortie - je l’avoue - pas mal secouée.
Au début du roman, Lisa vient de mettre fin à sa relation avec son compagnon Grégory. Très déstabilisée par cette rupture, elle décide de s’offrir des vacances au bout du monde pour changer d’air et s’adonner à son activité préférée, la plongée sous-marine. Elle part à Bali, et une fois là-bas, tombe sous le charme d’une petite île et surtout, de sa peu nombreuse population, constituée en grande partie d’occidentaux qui, d’une façon ou d’une autre, ont fui notre impitoyable société de consommation. Très vite, Lisa va se poser cette question : veut-elle, oui ou non, quitter son travail de commerciale parisienne pour venir s’installer à son tour sur cette île et y construire une nouvelle vie, en tant qu’instructrice de plongée ?
Des liens forts se nouent alors avec Ben, Alex, Nicole, et puis le mystérieux Matt, bien sûr… une petite bande bien sympathique, solidaire, qui travaille au gré des saisons et des arrivages de touristes. Parallèlement, Lisa reste en contact via internet avec ses amis restés en France, et ces échanges d’expériences enrichissent le propos en variant les modes de narration.
À priori, rien ne m’attire vers la plongée. Pourtant, j’ai pris plaisir à lire les descriptions de fonds sous-marins, de poissons étranges et colorés. Cela sent le vécu, Hélène Reynaud connaît parfaitement son sujet, et elle nous fait vivre et ressentir les émotions de celui qui plonge, sans nous noyer dans les détails et nous écraser de sa science. Pour moi, une belle découverte d’un domaine jusque-là (presque) inconnu.
Mais si ce roman se réduisait au récit de l’exploration des fonds aquatiques, j’aurais très vite décroché. Ce qui en fait l’intérêt avant tout, ce sont les rapports qui vont s’établir au sein de la petite communauté d’expatriés travaillant sur l’île. Hélène Reynaud prend le temps d’explorer dans le détail l’évolution des sentiments qui vont lier ces différents protagonistes. Le fait que Lisa s’éprenne non pas d’Alex, le beau-surfeur-tombeur-de-ces-dames, mais du complexe et tourmenté Matt, donne à ce récit tout son intérêt et sa profondeur. Car le couple va partager des moments merveilleux, mais aussi d’autres très, très durs… Lisa va devoir se battre contre « La Mégère » (je ne vous révèlerai pas qui est cette redoutable rivale), et on ne peut que la suivre avec angoisse dans cette lente et inexorable descente aux enfers.
Si je me suis immergée avec passion dans ma lecture, j’ai aussi été surprise et bouleversée par la fin, que je n’ai pas sentie venir…
Un mot encore sur l’écriture : le style est très agréable, fluide et clair comme l’eau de cet océan omniprésent dans le roman. L’auteur alterne une narration à la première personne, alerte et moderne, avec des échanges de courriels, des passages de journal intime et des textes de chansons, pour la plupart en anglais (que j’ai lus parfois en diagonale, j’avoue, ce n’est pas ce que je préfère dans le roman…)
Si j’ai une seule petite réserve, c’est que le peuple indonésien (ou plus précisément, balinais) est très peu présent dans le livre. Certes, on découvre au fil du récit quelques aspects de la vie « indigène » sur l’île, il y a aussi Nicole, l’instructrice de plongée allemande, qui vit une histoire d’amour plus ou moins cachée avec un balinais, mais de façon générale, les « locaux » servent plus de toile de fond qu’autre chose. C’est toutefois un choix que je respecte. J’ai bien compris que le propos du roman n’est pas de nous offrir une plaquette touristique ou une étude ethnologique comme il en existe des milliers, mais de nous embarquer dans la relation tumultueuse entre deux êtres qui s’attirent tout en se déchirant.
Une très belle lecture que je recommande à tous ceux qui sont friands de romans réalistes et n’ont pas peur de plonger dans la troublante complexité de l’âme humaine.


Je la mets également sur mon blog (page "mes lectures") et j'en fais un résumé dans les commentaires sur Amazon et Lulu.

J'envoie mon exemplaire à qui veut, il suffit de s'inscrire ICI ! (et de me donner votre adresse en MP)
 
Elenita
   
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Elenita  /  Blanchisseur de campagnes


Merciiii Molly, ça fait vraiment plaisir ! Et merci d'avoir pris le temps de lire mais surtout d'écrire ensuite tout ceci !
(Et aussi merci aux lecteurs de blog) !
Je vais me coucher toute contente tiens !
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Je viens d'achever La félicité du poisson-perroquet et tout comme Molly, j'en suis sortie pas mal remuée.

Je ne connaissais rien au domaine de la plongée, n'y serais pas venue spécialement, mais c'est un univers enchanteur dessiné sans lourdeur, dans lequel on s'immerge (désolée) parfaitement. Le nouveau quotidien de Lisa fait rêver, jusqu'à son histoire d'amour compliquée avec Matt, décrite de façon délicate et touchante. On est presque en huis clos, dans ce couple, un couple à trois parfois.
L'auteure aborde avec retenue et subtilité les thèmes de l'alcoolisme, des relations familiales, de la rupture amoureuse. Le style est vraiment agréable. Si je devais chercher la petite bête, je pourrais dire qu'il y a quelques longueurs peut-être, quelques passages qui auraient pu être raccourcis pour tendre encore l'histoire. Cela étant, je replongeais (encore désolée) avec impatience dans le roman. La meilleure preuve du plaisir pris étant que j'ai veillé jusqu'à 3 heures du matin pour l'achever. (Ce que je ne conseille pas forcément, car la fin de l'histoire est marquante et ce n'est pas simple de s'endormir ensuite.

Spoiler:

Bref, à lire d'urgence.
 
Elenita
   
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Elenita  /  Blanchisseur de campagnes


Woooooh, merci  :mrgreen: 
Alors pour les longueurs, oui j'en suis consciente, et déjà si tu savais comme j'ai élagué...c'est un peu mon défaut je crois, j'aime bien prendre mon temps pour amener le lecteur là où je veux.
Et merci pour le 3 heures du mat, c'est le meilleur compliment qu'on puisse faire à un roman je crois  Very Happy

Spoiler:

Bref, merci pour ce retour, ça me fait vraiment plaisir !
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Delf
   
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Delf  /  Journal du posteur


J'ai terminé 'La Félicité du Poisson Perroquet', et voici mon retour:

Je n'avais jamais encore lu de livre auto-édité, j'avais donc plusieurs interrogations en tête avant de découvrir ce roman.
Sur l'objet livre, tout d'abord, bonne surprise: Le livre est de bonne facture, la police choisie est lisible, l'encollage tient le coup, la couverture est jolie.
Qu'allait-il en être du contenu? Toutes mes appréhensions se sont envolées au bout de quelques paragraphes... Le style de l'auteure est pur, fluide, on entre dans son histoire, ou devrais-je dire on y plonge, avec délectation. Il est dur de s'en extraire, tant les personnages sont attachants. Hélène Raynaud nous emmène dans les confins de l'âme de Lisa et Matt, leurs lumières et leurs noirceurs sont dépeintes avec finesse et précision. J'ai eu très vite l'impression de bien les connaître, de vivre avec eux.
Le roman nous permet aussi de découvrir cette micro-société insulaire, un peu comme un voyeur ou un passager clandestin, où l'on voit se faire et se défaire les liens qui unissent ces expatriés sur leur confetti de terre balinais. Le voyage vaut le détour, même si Bali, au delà d'être un décor, n'est qu'un personnage secondaire du roman.
J'ai retenu mon souffle lors des plongées, eu les larmes aux yeux plus d'une fois, et au final, après avoir été totalement bouleversée à la fin, c'est à regret que j'ai refermé 'La Félicité du poisson perroquet'.
Merci et bravo à Hélène pour ce beau roman, qui aurait plus que mérité sa place dans une collection de grande maison d'édition parisienne.
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Shub
   
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Shub  /  Roberto Bel-Agneau


C'est bien tu as de bonnes critiques et des retours positifs.
Désolé de revenir au prosaïque mais tu n'as pas eu du mal à enregistrer ton roman sur Amazon ? J'ai envoyé aujourd'hui une lettre signée à leur siège à Seattle (une forme de contrat) de façon à communiquer mon N° d'enregistrement au fisc en France plus des tas de babioles qui tournent vite avec eux à l'obsessionnel. J'ai déjà eu une expérience de ce type avec les USA: c'est pas de la tarte de faire des trucs avec eux, ils demandent des tas de trucs surtout pour voir si on n'échappe pas aux impôts chez eux et qu'on est bien "tax free" et en règle chez eux avec l'administration fiscale.

T'as pas eu trop de problèmes ? Tout ça évidement pour se retrouver promu sur amazon.fr ou be ou ch et ça bien sûr, bon ça vaut le coup. Au niveau des ventes ça se passe comment ?
 
Elenita
   
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Elenita  /  Blanchisseur de campagnes


Merci Delf de ce super retour. Pas un poil de critique dis donc, je suis flattée. (tu peux me dire hein, je ne serai pas froissée, s'il y a des trucs qui t'ont moins plu). En tout cas ça me fait plaisir de voir que les personnages sont attachants, car quand on les laisse "vivre leur vie" sur du papier qu'on donne à lire j'ai envie que les gens les aiment autant que moi je les aime. Contente de savoir aussi que tu trouves que le livre est de bonne qualité, moi aussi j'ai été agréablement surprise par Lulu.

Shub: aucun problème pour moi, j'ai tout fait en ligne et rempli des questionnaires sur ma situation fiscale etc et c'était OK. Au niveau des ventes, on en est à une bonne cinquantaine, pour être honnête je n'ai pas le temps en ce moment de faire de la "pub" et d'aller en parler à droite à gauche sur internet. Donc ça me satisfait pour l'instant.
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Elenita
   
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Elenita  /  Blanchisseur de campagnes


Salut à tous,

Petit bilan après 6 mois : j'en suis à 47 exemplaires vendus. Après le pic de départ clairement ça s'est un peu tassé. Il faut dire aussi que pour être honnête je n'ai pas vraiment pris/eu le temps de faire de la promo nulle part.
Clairement je ne suis pas en train de devenir millionnaire, par contre le côté vraiment bien de cette opération c'est d'avoir des retours, qui sont globalement positifs. L'initiative des Livres-voyageurs m'a permis aussi d'aller trouver des lecteurs, ce qui est sympathique.
Bref, je ne dis pas que l'auto-édition est la solution à tout, mais en tout cas je ne regrette pas du tout d'avoir fait ce choix.
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Nast
   
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Nast  /  Let's Prout


Je commence l'aventure de l'autoédition avec Amazon et ton expérience réaliste est encourageante Smile Bonne continuation !
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