|
|
| fin heureuse ou malheureuse? | |
| | Nombre de messages : 874 Âge : 25 Localisation : Proche d'Edelweiss Pensée du jour : La chair n'est pas vraie, c'est l'âme qui est vraie. La chair est cendre, l'âme est flamme. VH Date d'inscription : 22/12/2013 | Sethi / Double assassiné dans la rue Morgue Jeu 24 Avr 2014 - 14:04 | |
| Personnellement, je n'ai choisis ni l'un ni l'autre. Le fin de mon premier tome est un dénouement inattendue qui provoque chez le lecteurs (je l'espère) des tas d’interrogations quant à la suite. Bon, tu me diras c'est pas vraiment une fin dans ce cas.
Et j'ignore laquelle sera la mienne. Mais je pense qu'il n'y à pas que la fin heureuse te la fin malheureuse, tout comme dans tout bon livre réaliste, un personnage ne peut être que totalement méchant ou totalement gentil. Pour lui donner une crédibilité, même les "gentils" doivent avoir des défauts et les "méchants" de mignonnes qualités.
Après, j'adore faire bien souffrir mes persos (mentalement surtout, le sang qui gicle, très peu pour moi) mais garder une fin plutôt heureuse. en même temps, avec un public de jeunes adolescents, on peu pas se permettre de finir le livre sur un truc trop gore/triste .
Après ça dépends de ton livre, de ton histoire, de tes persos, de toi... Bref surtout pas de nous ! Dis toi que ce que tu as écris se doit de finir en beauté, que ça soit tristement ou pas.
|
| | Nombre de messages : 2944 Âge : 120 Localisation : À l'Ouest mais sans rien de nouveau Pensée du jour : Aller cueillir les escargots nu sur les baobabs Date d'inscription : 12/09/2013 | Shub / Roberto Bel-Agneau Jeu 24 Avr 2014 - 15:35 | |
| - Sethi a écrit:
- Personnellement, je n'ai choisis ni l'un ni l'autre. Le fin de mon premier tome est un dénouement inattendue qui provoque chez le lecteurs (je l'espère) des tas d’interrogations quant à la suite. Bon, tu me diras c'est pas vraiment une fin dans ce cas.
Oui je crois qu'il faut éviter de raisonner comme s'il y avait des règles , parfois strictes voire binaires: peut-être réserver cela aux critiques, aux historiographes, aux éminents savants (?) qui enseignent la littérature au lycée ou en fac. Par contre, raisonner en terme de fin "ouverte" ou fin "fermée", c'est différent: l'exemple le + simple d'une fin ouverte (pour moi !) est celle qui laisse prévoir une suite, un tome II etc. Un exemple un peu drolatique d'une fin ouverte est pour moi Les 3 mousquetaires avec Vingt ans après. Je connais pas l'histoire ou le process qui ont amené Dumas à écrire une suite sinon en 1ère analyse j'imagine que c'est pour répondre dans les salons parisiens à la question angoissante (et angoissée) des lecteurs/trices: —Et vos héros si sympathiques, Mr Dumas, que deviennent-ils par la suite bien des années + tard ? |
| | Nombre de messages : 114 Âge : 32 Localisation : nice Pensée du jour : sois le changement que tu veux voir dans le monde Date d'inscription : 15/12/2012 | Leim / Barge de Radetzky Dim 27 Avr 2014 - 16:29 | |
| merci à tous pour vos commentaires c'est très gentil de votre part !!
Beaucoup me conseille de faire une fin ambigüe qui pousse à la réflexion mais c'est assez compliqué car en gros (je ne vais pas dire pourquoi ou la fin car il se peut que je poste mon roman sur le forum) je ne peut pas faire une fin ambigüe vu comment se déroule mon roman et surtout vu la scène finale. En gros c'est soit c'est une fin heureuse (même si je peux toujours laisser des zones d'ombres) soit c'est malheureux. je ne peut pas faire entre les deux xd
Merci en tout cas je vais me servir de vos précieux avis ^^
|
| | Nombre de messages : 23 Âge : 30 Date d'inscription : 25/07/2012 | Monosphate / Homme invisible Dim 27 Avr 2014 - 17:24 | |
| Mon commentaire ne te sera pas utile (enfin, peut-être que si, je ne sais pas). Personnellement, je ne me suis pas demandé si j'allais faire une fin "triste" ou "heureuse". Cela m'est venu naturellement. Pour tout dire, j'avais la fin de mon livre avant même de commencer à écrire et avant même d'avoir l'idée d'écrire un livre (oui oui :p). Bon c'est un peu compliqué à comprendre. Je caractériserais ma fin de "tristement heureuse". Un peu ambiguë comme on l'a dit précédemment. |
| | Nombre de messages : 114 Âge : 32 Localisation : nice Pensée du jour : sois le changement que tu veux voir dans le monde Date d'inscription : 15/12/2012 | Leim / Barge de Radetzky Mer 30 Avr 2014 - 20:32 | |
| J'avais également la fin en tête dès le premier mot que j'ai écris. Mais il c'est passé beaucoup de temps entre le démarrage de mon roman et "aujourd'hui" et après beaucoup de recherche une autre fin qui me plaisait tout autant m'est venue à l'esprit. Voilà pourquoi j'ai du mal à choisir : / Je pense que je vais faire comme certains m'ont conseillé je vais laisser les deux Au pire en le faisant lire je verrais selon les différents avis... Merci encore en tout cas ^^ |
| | Nombre de messages : 124 Âge : 28 Pensée du jour : Le besoin d'écrire est une curiosité de savoir ce qu'on trouvera. Date d'inscription : 25/04/2014 | Fairy Dust / Barge de Radetzky Mer 30 Avr 2014 - 20:39 | |
| - Monosphate a écrit:
- Mon commentaire ne te sera pas utile (enfin, peut-être que si, je ne sais pas). Personnellement, je ne me suis pas demandé si j'allais faire une fin "triste" ou "heureuse". Cela m'est venu naturellement. Pour tout dire, j'avais la fin de mon livre avant même de commencer à écrire et avant même d'avoir l'idée d'écrire un livre (oui oui :p). Bon c'est un peu compliqué à comprendre.
Je caractériserais ma fin de "tristement heureuse". Un peu ambiguë comme on l'a dit précédemment. Exactement comme moi !!! |
| | Nombre de messages : 4421 Âge : 34 Localisation : Date d'inscription : 23/04/2008 | Kal' / Der grüne Fennek Mer 30 Avr 2014 - 22:22 | |
| Perso, je déteste les fins trop ambigüe parce que ça me donne l'impression que l'auteur a été trop lâche pour prendre une décision, ou trop lâche pour assumer la fin qu'il avait choisit. Cela dit, je sais que c'est une question de goûts.
Ce qui m'insupporte et qui est pour moi une vraie faute, par contre, c'est la fin Deus Ex Machina non mérité, lorsque l'auteur finit par faire de gigantesques cadeaux au personnage principal pour que ça passe au lieu de casser. Harry Potter est l'exemple même de ce problème à mes yeux, ceux qui l'ont lu ont dû saisir tout seuls les grosses ficelles. Si un personnage partait perdant, c'est parce que l'auteur l'a écrit comme ça, l'auteur n'a donc pas le droit de violer son propre univers pour rattraper le coup : il n'avait qu'à amener la victoire avant. Inversement, je serai dégoûtée si un personnage "perdait" sur une bêtise alors que rien ne semblait l'annoncer. |
| | Nombre de messages : 248 Âge : 75 Localisation : Saint Maur (Indre) Date d'inscription : 16/12/2013 | gilles / Autostoppeur galactique Jeu 1 Mai 2014 - 8:15 | |
| Entièrement d'accord avec toi Kal' |
| | Nombre de messages : 367 Âge : 31 Date d'inscription : 18/04/2014 | Géronimo / Tapage au bout de la nuit Jeu 1 Mai 2014 - 8:34 | |
| - Kal' a écrit:
- Perso, je déteste les fins trop ambigüe parce que ça me donne l'impression que l'auteur a été trop lâche pour prendre une décision, ou trop lâche pour assumer la fin qu'il avait choisit. Cela dit, je sais que c'est une question de goûts.
Je pense que certaines fins sont ambiguës pour ne pas émettre de jugement moral, ou pour laisser le lecteur plus libre. Mais je vois parfaitement ce que tu veux dire en revanche pour certaines fins, dont on a finalement l'impression qu'elles n'en sont pas et que ça manque cruellement. Leim : pour ce qui est de ton dilemme, je présume que la fin dépend aussi de la personnalité des personnages, des différents éléments de l'histoire... Et puis, peut-être que tu pourrais prendre la fin à laquelle on s'attend le moins ? Qu'il s'agisse d'une fin heureuse ou malheureuse, le lecteur aime être surpris. Si tout le monde s'attend à une fin malheureuse et qu'elle est finalement heureuse (et crédible !!), ce sera, à mon sens, toujours mieux qu'une fin téléphonée.
Dernière édition par mdg le Jeu 1 Mai 2014 - 11:51, édité 1 fois |
| | Nombre de messages : 14921 Âge : 49 Localisation : Côte d'Or & d'Opale Pensée du jour : Confiance et longueur de Temps... Date d'inscription : 11/01/2013 | Séléné.C / La femme qui tomba amoureuse de la lune Jeu 1 Mai 2014 - 8:44 | |
| - Shub a écrit:
- Un exemple un peu drolatique d'une fin ouverte est pour moi Les 3 mousquetaires avec Vingt ans après.
Je connais pas l'histoire ou le process qui ont amené Dumas à écrire une suite sinon en 1ère analyse j'imagine que c'est pour répondre dans les salons parisiens à la question angoissante (et angoissée) des lecteurs/trices: —Et vos héros si sympathiques, Mr Dumas, que deviennent-ils par la suite bien des années + tard ? Dumas était une superstar, qui peut en effet avoir eu envie de répondre aux attentes du lecteur (ou de vendre quelques bouquins de plus)... Mais D'Artagnan était un personnage historique. Quand Dumas a écrit les "3 mousquetaires", cela revenait à raconter - La montée à Paris d'un jeune homme noble de famille désargentée, compatriote de Henri IV par sa naissance. - Les complots sans nombre dont la cour de Louis XIII était l'objet (ex = l'affaire de Cinq-Mars) - Une vision de la jeunesse de Charles de Batz de Montesquiou d'Artagnan, l'homme qui procéda à l'arrestation de Fouquet (voir, par exemple, les Lettres de Madame de SévignéMais la fin n'est pas si "ouverte" que ça. A la fin des "3 mousquetaires", d'Artagnan semble avoir le "pied à l'étrier" pour la brillante carrière qui l'attend. C'est dans l'introduction de "20 ans après" que ça se gâte. Dans "Vingt ans après", on reprend plus ou moins les mêmes personnages pour raconter cette fois, la période de la "Fronde". Dans "Le vicomte de Bragelonne", on re-re-prend les mêmes pour raconter la période de prise de pouvoir de Louis XIV après la mort de Mazarin et au passage, l'arrestation de Fouquet (absolument pas conforme à l'Histoire, Dumas ayant préféré le point de vue "de cape et d'épée" au point de vue "roman historique". Ca valait bien la peine qu'il se décarcasse.). Ceci étant, si j'ai modérément apprécié le "vicomte de Bragelonne" c'est sans doute à cause de la sensation que les héros sont vieux et fatigués et que le fils d'Athos est encore moins capable qu'eux d'être l'homme de l'avenir. Autrement dit : le temps des héros est terminé. - mdg a écrit:
- Kal' a écrit:
- Perso, je déteste les fins trop ambigüe parce que ça me donne l'impression que l'auteur a été trop lâche pour prendre une décision, ou trop lâche pour assumer la fin qu'il avait choisit. Cela dit, je sais que c'est une question de goûts.
Je pense que certaines fin sont ambiguëes pour ne pas émettre de jugement moral, ou pour laisser le lecteur plus libre. Mais je vois parfaitement ce que tu veux dire en revanche pour certaines fins, dont on a finalement l'impression qu'elles n'en sont pas et que ça manque cruellement. Pourquoi une fin ouverte serait-elle alambiquée ? |
| | Nombre de messages : 285 Âge : 40 Date d'inscription : 06/05/2013 | Firefrost / Autostoppeur galactique Jeu 1 Mai 2014 - 11:41 | |
| J'aime bien les fin ouvertes. Meilleur exemple : Inception. Ce genre de fin te fait réfléchir sur tout le livre (ou film). Tu te dis : "mais alors, attends, ça veut dire que... ou bien..." Bref tu te mets à envisager l’œuvre sous tous les angles possibles, ce qui la rend plus riche. Et ça rajoute un côté interactif. Les fin trop tranchée peuvent brider cette réflexion et nous rendre plus passif, et perso je me souviens moins des livres avec des fins comme ça. - Kal a écrit:
- Ce qui m'insupporte et qui est pour moi une vraie faute, par contre, c'est la fin Deus Ex Machina non mérité, lorsque l'auteur finit par faire de gigantesques cadeaux au personnage principal pour que ça passe au lieu de casser.
Tout à fait d'accord, cela ôte tout le crédit du roman. Mais il ne faut pas oublier que tout les retournements de situations et autres coups de théâtre sont tous des Deus Ex Machina plus ou moins déguisés, toute l'habilité de l'auteur consistant à faire en sorte que le lecteur ne s'en rende pas compte. Par exemple, la potion de vie que le héro trouve au chapitre 3, qu'on oublie, puis qu'il ressort au chapitre 20 pour sauver la princesse, c'est un Deus Ex Machina déguisé, mais qui fonctionne. S'il l'avait trouvé au chapitre 19, ça sera moins passé inaperçu et le lecteur se serait dit en effet "bah, c'est trop évident / trop facile" |
| | Nombre de messages : 367 Âge : 31 Date d'inscription : 18/04/2014 | Géronimo / Tapage au bout de la nuit Jeu 1 Mai 2014 - 11:50 | |
| - Séléné.C a écrit:
- mdg a écrit:
- Kal' a écrit:
- Perso, je déteste les fins trop ambigüe parce que ça me donne l'impression que l'auteur a été trop lâche pour prendre une décision, ou trop lâche pour assumer la fin qu'il avait choisit. Cela dit, je sais que c'est une question de goûts.
Je pense que certaines fins sont ambiguës pour ne pas émettre de jugement moral, ou pour laisser le lecteur plus libre. Mais je vois parfaitement ce que tu veux dire en revanche pour certaines fins, dont on a finalement l'impression qu'elles n'en sont pas et que ça manque cruellement. Pourquoi une fin ouverte serait-elle alambiquée ?
Ce que j'appelle "fin ambiguë", c'est justement une fin ouverte. J'avais repris l'expression de Kal'. Il me semblait que dans sa phrase, "fins trop ambiguës" sous-entendait justement "fin ouverte", mais peut-être ai-je extrapolé. |
| | Nombre de messages : 4421 Âge : 34 Localisation : Date d'inscription : 23/04/2008 | Kal' / Der grüne Fennek Dim 4 Mai 2014 - 1:16 | |
| Justement, perso la fin d'Inception c'est exactement ce que j'appelle une non-fin, puisqu'au final on lui fait dire absolument ce qu'on veut. C'est peut être clair dans la tête du réalisateur mais j'ai été très très déçue par cette note finale. Firefrost : tu touches du doigt le problème, oui. Illustration de ce que j'appelle une faute : - Harry Potter 7:
Tout le retournement final de HP7 repose sur le fait que Draco Malfoy a "vaincu" Dumbledore en le désarmant, devenant ainsi le maître de la Baguette Cheatée, puis Harry bat Malfoy en le désarmant un bouquin plus tard [mais alors que Draco ne porte pas la baguette en question] et devient donc le maitre de la baguette de Voldemort ce qui lui permet de le vaincre.
Sauf que : -Par le passé, de nombreux sorciers ont été désarmés, dont les héros, et personne ne nous a jamais parlé de cette histoire de changement d'allégeance de baguette. Ca sent fort la nouvelle règle inventée sur le dernier tome pour justifier un truc improbable. -J'ai du mal à croire que Draco n'ai été "vaincu" par PERSONNE entre temps, à croire que les mangemorts ne s'entrainent jamais entre eux. -S'il suffit de péter la gueule d'un sorcier pour le vaincre et non de le tuer, alors pourquoi la baguette n'a-t-elle pas changé de proprio quand Voldemort a tué Harry ? Ok la mort n'était pas définitive, mais c'était quand même plus bourrin qu'un Expeliarmus, non ?
Bref, ça tient debout avec tellement de bouts de ficelles que ça sent clairement la théorie du dernier moment pour qu'un héros clairement pas à niveau batte un grand méchant rendu trop menaçant.
|
| | Nombre de messages : 23 Âge : 30 Date d'inscription : 25/07/2012 | Monosphate / Homme invisible Dim 4 Mai 2014 - 1:40 | |
| - Kal' a écrit:
Firefrost : tu touches du doigt le problème, oui. Illustration de ce que j'appelle une faute :
- Harry Potter 7:
Tout le retournement final de HP7 repose sur le fait que Draco Malfoy a "vaincu" Dumbledore en le désarmant, devenant ainsi le maître de la Baguette Cheatée, puis Harry bat Malfoy en le désarmant un bouquin plus tard [mais alors que Draco ne porte pas la baguette en question] et devient donc le maitre de la baguette de Voldemort ce qui lui permet de le vaincre.
Sauf que : -Par le passé, de nombreux sorciers ont été désarmés, dont les héros, et personne ne nous a jamais parlé de cette histoire de changement d'allégeance de baguette. Ca sent fort la nouvelle règle inventée sur le dernier tome pour justifier un truc improbable. -J'ai du mal à croire que Draco n'ai été "vaincu" par PERSONNE entre temps, à croire que les mangemorts ne s'entrainent jamais entre eux. -S'il suffit de péter la gueule d'un sorcier pour le vaincre et non de le tuer, alors pourquoi la baguette n'a-t-elle pas changé de proprio quand Voldemort a tué Harry ? Ok la mort n'était pas définitive, mais c'était quand même plus bourrin qu'un Expeliarmus, non ?
Bref, ça tient debout avec tellement de bouts de ficelles que ça sent clairement la théorie du dernier moment pour qu'un héros clairement pas à niveau batte un grand méchant rendu trop menaçant.
Personnellement, j'adore les fins de ce type. Il y a pleins de questions que l'on se pose et on cherche les réponses encore et encore sans jamais en être sûr. Oui, je suis bizarre. Pour ce qui est de HP, => Tu dis que Drago ne porte pas la baguette lorsque Harry le désarme. Ah bon ? Je ne me souviens plus trop du livre, mais il me semble bien qu'il porte la baguette de Sureau lorsque les héros sont dans le manoir des Malefoy. Peut-être que tu confonds quand Harry le désarme de nouveau dans la Salle sur Demande, non ? Là oui, il porte la baguette de sa mère justement parce qu'il n'en avait plus. Mais je suis pas sûr, c'est vraiment d'après mes souvenirs. -> Pour ce qui est de la règle de la baguette et si c'est un deus ex machina, je ne peux pas me prononcer là-dessus. Mais de mémoire, il ne me semble pas avoir lu quelque chose par rapport à l'allégeance de la baguette. -> Le fait que les Mangemorts ne s'entraînent jamais est tout à fait possible selon moi. Ils n'ont pas besoin d'expérimenter leurs ressources. Ils appliquent seulement l'Avada Kedavra, Endoloris et Impero. Et Draco n'a pas de raison d'être désarmé, surtout s'il est enfermé H24 dans son manoir. -> La baguette n'a pas changer de proprio quand Voldemort a tué Harry car Harry était encore en vie. Certes, c'était pas un Expelliarmus, mais ce n'était pas mortel donc bon. Il ne l'a pas tué, disons que ça l'a juste assommé et après il rêvait. En lançant le sort, Voldemort n'a pas atteint Harry lui-même, seulement l'Horcruxe qui était en lui. Voilà voilà, j'ai essayé de répondre à tes interrogations car comme je l'ai dis, j'adore ce genre de questionnement. |
| | Nombre de messages : 4421 Âge : 34 Localisation : Date d'inscription : 23/04/2008 | Kal' / Der grüne Fennek Dim 4 Mai 2014 - 12:47 | |
| Tu devrais mettre tes réponses en spoiler, pour ceux qui n'ont pas lu les livres. Tu te trompes sur certains points : - Spoiler:
Draco était le propriétaire de la baguette de sureau mais pas son porteur, il ne l'a même jamais tenue en main. Ce n'était donc pas cette baguette qu'il tenait quand Harry l'a désarmé, quelque soit l'endroit.
Ensuite, on voit clairement que les mangemorts les plus puissants ne se contentent pas d'Avada Kedavra. Un bon duelliste doit être capable de viser à la perfection un adversaire en mouvement et d'esquiver d'autres sorts, ce n'est pas si facile que ça. Si les parents de Draco voulaient qu'ils survivent ils étaient quasiment obligés de se démerder pour qu'il s'entraine un minimum. Bon, admettons qu'il ne le fasse pas, ça reste quand même un énorme coup de chance que comme par hasard Harry soit le premier qui passe.
Je suis à peu près sûre que Harry a déjà dû être "vaincu" plusieurs fois dans les tomes précédents, et pourtant sa baguette n'a jamais changé d'allégeance.
Il y a de "bonnes" questions que le lecteur peut/doit se poser, sur des détails qu'il aurait pu rater ici ou là ou sur des parties vraiment ouvertes du scénario. Par contre, quand il a l'impression que ces questions sont des gouffres qui n'ont absolument aucun sens, ou que ces questions pointent ce qu'il ressent comme de pures incohérences, là il y a un soucis. |
| |
|
|