Mon Dieu, Gribouilleuse, tu es responsable sans le savoir d'un irrépressible fou rire de bien trois minutes! Comme y'avait pas l'accent sur "pinèdes" et que j'ai lu trop vite j'ai lu "les pines désengorgées", j'ai failli recracher mes chocapic par les narines!
+ 1 Trikkop. D'ailleurs TOUT Zola sent l'air vicié et la pourriture… Vive le naturalisme.
Moi, pour résumer, je dirais que quasiment toute la littérature française du 19e schlingue l'absinthe. Et Beigbeder le persil et l'ammoniaque (oui, je sais, c'est facile).
Par contre, ce que je me demande c'est quel parfum pour
Le Parfum ?...