avec une faute pareille à son titre, il a du chemin le garçon

David: c'est une jeune femme...

Jérôme HURSTEL a écrit:

Je crois que notre novice à tourné bride pour se conscrer à l'étude de l'orthographe.

Tes fautes à toi sont de l'ordre de l'ironie?
La paille, la poutre, tout ça...

Bon, sérieusement, il faudrait sentir la limite (élastique, j'en conviens) entre faire des remarques et piétiner quelqu'un.
Et je serai la première à faire mon mea culpa.

Je ne voulais pas te blesser, Am, juste préciser que l'apprentissage de l'orthographe et le manque d'expérience en littérature ne sont pas liés. Ce n'est donc pas en écrivant qu'on apprend à ne plus faire de fautes.

Suis les conseils de notre Héliotrope, c'est une sage.

Haha, ce ne sont pas des fautes, ça, tout au plus des éraflures de doigts tapant trop vite...

Mais...c'est à moi que tu pense, en parlant de piétinement, Quod? Non, n'est-ce pas?

Je n'ai pas dit qu'on l'avait franchi, cette limite. Il est donc encore temps.

En même temps, une demande d'aide formulée comme ça, dans le vent, ça ne sert pas à grand-chose !
Comment veux-tu qu'une âme charitable se dévoue si tu lui dis juste "voilà, j'ai un début de bout de morceau de récit sympatoche et tout, mais je ne sais pas comment faire. Pouvez-vous m'aider (écrire à ma place? Devenir mon nègre?)?"
Non, sérieusement, poste le début de ton texte, que la fameuse âme charitable ait un minimum de matière pour t'aider, et après tu verras. Parce que là...

Oui, mais ça c'est une autre question.

Beaucoup de nouveaux se font casser dès leur arrivée pour une question de disorthographie, et mon message n'avait qu'un caractère préventif. Je ne me rappelle plus du pseudo, mais il y a eu un dérapage assez désagréable sur le topic Présentation.

Enfin bref.

Je fais partie de ceux que les trop nombreuses fautes font grincer des dents et je manque alors probablement de nuances dans mes propos.

Cela étant, il me semble que cela dépend beaucoup de l'attitude du nouveau en question. On sent que certains ont une très vive conscience de leurs lacunes et travaillent vraiment dessus.

Mais si quelqu'un arrive et sort : "tout le monde fait des fautes et ça s'arrangera tout seul", alors qu'on en est à trois fautes par phrases, forcément, ça passe moins bien.

Quoi qu'il en soit, cela interroge la façon d'accueillir ceux qui traînent une dysorthographie sévère. Il me semble que l'on ne peut pas faire comme si les fautes n'existaient pas, mais rapporter tout à la forme peut assurément décourager les intervenants. Quelles seraient alors les bonnes formules d'accueil ?

De diriger la personne vers les outils appropriés : ce qui je crois a été fait. Ensuite, l'encourager à se former. (ce qui a aussi été fait) Encourager la passion sans dénigrer la qualité du fond de l'oeuvre (ma difficulté personnelle) Si la personne est réellement passionnée, elle voudra avancer et travailler ses textes. Signifier clairement que nous ne sommes pas là pour faire le travail d'un correcteur de texte de base. Quelques fautes ça va mais quand il faut lire phonétiquement : ça décourage les éventuels correcteurs ou commentateurs. Il y a beaucoup d'outils de correction en ligne si la personne n'a pas de logiciel de correction de base. On ne peut pas faire tout le travail à leur place mais on peut leur donner les outils pour qu'il y travaille.

Bon maintenant, j'ai vraiment de la difficulté avec l'abondance de fautes, moi aussi et j'apprends à gérer ma frustration face à du plus que brut quand moi je n'ose pas poster mes textes alors qu'ils ont été révisé des millions de fois.

Am.Tout.Simplement a écrit:

Oui c'est un bon conseil effectivement . Je vais le suivre .

ATM - Il faut prendre du temps, il y a certaines vérités à exploiter de la vie que tu as vécu, dans l'écriture, il faut aussi une certaine maturité et expérience pour pouvoir exploiter les données de ton intuition, sauf si tu écris pour les plus petits. Dis, pourquoi tu ne commences pas par les plus petits? Moi j'ai commencé l'écriture en jouant, à 18ans et aujourd'hui, j'ai 28ans, je suis fier du chemin parcouru,un chemin ardu que je ne peux recommencer si je le pouvais. Je compte poursuivre cette vocation jusqu'à ce que je ne pourrais plus respirer.