voila, je tiens une idée sous forme de graine et j'aimerais qu'elle devienne un jolie fleur.
Dans mon roman, je veux que le pays dans lequel évolue mon personnage, les identités du ou des gouvernants soient secrètes et qu'ils dirigent la nation depuis un lieu, lui aussi, secret.
Je voudrais que le parrain de mon héros ait une obsession. trouver les gouvernants. Mon problème est : pourquoi ?
Les tuer pour se venger serait une idée simpliste tandis que les tuer pour les remplacer serait carrément prévisible.
Vos idées sont les bienvenues !

Ben ça dépend : ça tirerait vers la fantasy ou ça serait quelque chose de plus réaliste ?

Oui c'est de la fantasy.

Pourquoi les tuer ?

Il voudrait tous les réunir pour leur annoncer qu'il est la personne qui pourrait faire de ce monde secret, un endroit parfait, mais qu'il a besoin de leur soutiens.

Là tu fais partir sur une discorde, tu mets en avant les idées du pour et du contre, et enfin bim, tu fais partir sur une aventure à la conquête du monde... Afin de contrer une implosion interne de ce monde secret !

Bref, j'suis partit loin avec peu.

Si ta plus d'infos à proposer, j'pourrais t'imaginer quelque chose de plus précis !

Il peut pas leur demander de vivre avec eux, d'une parce ce que vivre en harmonie avec son prochain c'est pas le style des personnage de mon bouquin et de deux ils se feraient égorger au bout d'une nuit.

Et ils sont pas cacher dans un autre monde, t'es parti loin là mec ^^. Ils sont juste cachés sous terre.

Peut-être si tu nous en disais plus sur ce fameux personnage ?
Ce gouvernement serait une sorte de Big Brother ?

Si j'ai bien compris le peuple n'est pas censé savoir qui les gouverne réellement. Le personnage, lui, pourrait avoir un doute et développer une obsession pour ce "mythe" des dirigeants secrets, ce qui le pousserait à enquêter sur le sujet.
Mais révéler la vérité au peuple signifierait le chaos dans l'empire, ce qui mettrait de nombreux obstacles sur la route du héros.

Il s'appelle Firenze, est de nature calme, réfléchi mais carrément machiavélique. Ce dernier point il le cache bien. Quant il était plus jeune, il a tué un couple de haut dignitaire dans leur maison pour un hypothétique carte qui pourrait lui révéler ou se cache les gouvernants. Au passage dans la maison se trouvait un nourrisson, il l'a prit, l'a élevé et fait de lui un voleur et chef de gang. Firenze est très respecté dans le Milieu.
et non rien a voir avec big brother.

Ce serait mal de dire que l'idée ne tient pas la route ?

Un gouvernant secret est voué à disparaître dès que le premier personnage connu de la hiérarchie (celui qui donne les ordres qui viennent d'en haut au reste du monde) se rendra compte qu'il peut régner pour son propre compte : il lui suffit de donner l'ordre, de lui même, de faire exécuter les personnalités secrètes.

De plus il faudrait imaginer tout un système d'approvisionnement secret de ces personalités secrètes, avec des intervenants secrets qui garderont tout le secret. Un tel imbroglio secret est voué à l'échec.

Un "service" secret oui. Un dirigeant secret non. Si personne ne sait qu'il a le pouvoir, la première personne qui le découvre et qui se montrerai un peu ambitieu devient un danger mortel.

Plus il y a de monde pour protéger et servir ce secret, plus ce secret devient fragile. Moins il y a de monde pour protéger et servir le pouvoir, plus le pouvoir devient fragile. Donc un groupe ne peut pas être gouvernant ET secret : soit il s'effondre devant la moindre attaque, soit c'est le secret qui s'effondre.

Ben tiens, pour rebondir sur Mika, est-ce que le sujet de ton roman, ce serait pas justement cette tentative de créer un gouvernement secret et que ton Firenze soi nommé comme intermédiaire entre le groupe de dirigeants et le peuple ? Ainsi, il tenterait comme tu le veux de renverser ce gouvernement en devenant lui-même dirigeant. Ainsi, il voudrait bien tuer ces gens pour satisfaire de machiavéliques desseins. Ton roman raconterait la procédure de création de ce groupe de dirigeants, le moyen auquel Firenze a eu recours pour devenir l'intermédiaire à la surface et le moyen qui lui a permis de prendre le pouvoir à son tour.
Et la raison pour laquelle ces dirigeants se seraient planqués, c'est parce qu'une révolution menaçait d'éclater et qu'ils étaient en danger de mort mais ne voulaient pas renoncer au pouvoir ?

Je balance des idées comme ça, hein, puisque c'est le principe de ce sujet.