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| Perdu, j'ai besoin de vos avis pour mon début | |
| | Nombre de messages : 17 Âge : 29 Date d'inscription : 02/03/2013 | writer-life / Homme invisible Sam 2 Mar 2013 - 13:46 | |
| Bonjour, j'ai écris quelques petites pages et j'avais besoin d'un avis sincère. Merci d'avance.
S’approprier un autre style d’écriture -début-
Je commence, même sans savoir comment, j’ai du demander à la mauvaise personne un début à mon histoire. Bref, Je suis étudiant né en dix neuf cent quatre vingt quinze ; j’ai grandi dans une famille aisée .Bien éduqué, j’ai longtemps essayé de faire comme les autres jusqu'au jour où j’ai quitté la maison pour terminer mes études à Tanger.
Tanger, une ville du Nord du Maroc, dite internationale, a tout changé. Pour être plus clair il est primordial de consacrer une petite partie pour décrire ma vie d’avant cela facilitera la comparaison entre les deux périodes.
Adolescent, je visais un parcours qui contenait des achèvements dénombrables : avoir une petite copine pour combler le vide sentimentale dans ma vie, réussir mes études du mieux que je pouvais, et avoir la bénédiction de mes parents. J’ai déménagé de Casablanca en deux mille onze pour m’installer à Kénitra, une petite ville du Maroc, ce changement de ville brutale s’annoncer bien, du côté du développement de ma personne.
J’étais timide, arrogant, tenté par l’aventure, « Moody », gentil (on me le disait souvent), perdu … J’ai pratiqué du full contact, musculation, football, Basketball et enfin quelques sauts en « Parkour ». J’avais des petites copines. Mon premier baiser était à Kénitra, un dimanche je m’en rappelle ; Réveillé tôt j’ai reçu des amis à la gare, le temps était pluvieux, on s’était installé moi et elle dans un café et ce fut mon premier baiser. Ne pas trop s’étaler sur ce baiser ne veut aucunement dire qu'il est dépourvu de sens, mais je ne veux pas laisser les lignes paraître plus longes quelles ne le sont.
La distance nous a séparés enfin de conte, et je fonçais vers une nouvelle conquête, pas question de baisser les bras. Dix huit ans, son âge ne m’a jamais fait peur, elle me plaisait sa façon de parler, de changer de tons, de me taquiner, … tapé par ce coup de foudre, je lui ai tout avoué elle ne voulait rien de moi, j’ai laissé tombé.
Un profil assez pauvre de charisme, … je dirais que les temps changent. J’ai pleuré le retour de ma mère après m’avoir déposé à Tanger. Seul et ignorant, c’est ce que j’étais. J’ai laissé derrière moi une famille chaleureuse, des parents qui repoussait tout mal autour de nous, une sœur confidente à qui je racontais tout ce que je voulais et qui savait m’écouter. J’étais là dans ma chambre à étudier, à penser réciproquement à ma mère, à essayer de devenir comme mon père qui a bien mené sa vie, à envier les autres d’avoir ma sœur à leurs côtés. Tout ceci me faisait parfois du bien, je me sentais à l’aise des fois. Chaque quart de mois je rentrais à Kénitra pour revoir des personnes qui me sont et me seront chères : mon héro, ma protectrice, mon tout et mon coup de foudre. Parmi toute cette foule, j’arrivais encore à distinguer leurs visages, parmi tout les routes de rides qu'à graver le temps sur les visages des gens je reconnais celles de mon père, parmi toutes les joues du monde je ressens encore celles de ma mère sous mes mains toutes petites d’enfant innocent, parmi toutes les nuits obscures passées à me confesser je me rappelle chacune des histoires de ma sœur, et parmi toutes mes conquêtes perdues je tiens toujours à « elle ».
On s’est vu dans un café puis le rituel continuait, de l’or noir dans notre supermarché habituel mais ce qui sortait de l’ordinaire n’était rien que cette phrase « j’avais une folle envie de m’embrasser » c’est ce que je su par la suite de ses propres mots. Je n’hésitais pas à le faire après un mois de notre ordinaire, c’était juste magique. Je l’aime… Je lui ai jamais dis, mais autant dire que l’occasion ne s’est pas laissé présenté. Elle mène notre dance et, pour être sincère, après avoir dégusté le début je la laisserais confectionner nos souliers de dance si elle le voulait.
J’ai vu un chemin dans différentes facettes, un chemin long très long qui menait à Tanger ; J’ai vu un chemin bizarre et nouveau qui menait vers une autre vie, la nuit quand tous les employés dormaient en paix et on sortait pour voler à l’aventure ; J’ai vu un chemin sans fin plein de brouillard et de fumés j’y ai vu de la poussière blanche, du verre vert à volonté, le verbe « rouler » était roi dans des discussions où personne n’écoutait personne et, où l’étiquette cédait à la vulgarité. Ces moments là remontent en moi une haine vers la catégorie de gens qui se donnent la mort pour du néon. A Kénitra, j’envoyais un message sur son mobile pour se voir à la gare après une douzaine de jours loin d’elle et elle ose me dire qu’elle ne pouvait pas venir une raison non valable d’après moi. J’ai gueulé comme un fou, puis on ne s’est pas vu. Elle commandait… De retour à Tanger j’ai décidé de garder contact et reprendre le cours de la vie, et là elle me fit le coup de grasse, elle refusa . Entre chaque deux idées je suis obligé de revenir pour écrire d’elle.
J’ARRETE DE LE FAIRE POUR MES PARENTS.
Oh mon dieu ! Pendant que je regardais mon film, une valise posée au pied du lit bougea. Je suis allé voir d’où provenait ce bruit… la valise était vide. Tout à coup j’entendis une voix murmurait « étrangles la » je sursautai de mon lit et j’ouvris la porte fermée à double tour puis je pris la fuite. Arrivé à la porte de l’immeuble je criais, je criais et je criais mas les gens semblait ne pas me voir ni m’entendre, cela me faisait de plus en plus peur je remontais lentement le long des escaliers, j’ouvris la porte de ma chambre LA VALISE N’ETAIT PLUS LA.J’étais troublé je ne savais quoi faire, l’idée d’appeler ma mère fut la première à surgir dans le vacarme qui régnait dans ma tête. Je tendis ma main pour prendre le téléphone… ma main traversa la chaise installée à côté de mon lit je retendis la main et je la vis disparaître dans la chaise. Je me ressaisissais, je comprenais que ce ne pouvait être qu’un cauchemar et j’allais e réveiller tôt ou tard. Hélas ! Cette lugubre nuit ne prit pas fin au lever du soleil je regardais par la fenêtre, le soleil fondue dans l’horizon remontait petit à petit. J’avais besoin de quelqu’un pour me consoler, alors je tentais vainement de reprendre le téléphone pour rappeler n’importe qui j’avais juste besoin de tenir quelque chose en main. Soudain, je pensai à une idée, une idée sombre, obscure, terrifiante,… l’idée que je sois mort et que mon âme airée encore dans ma chambre. Et si mon âme était sous mon contrôle, alors où serait mon corps, je courrais voir dans la cuisine rien, dans les toilettes rien devant la porte de l’appartement rien. L’idée commençait à tomber à l’eau, et à un moment donnée je m’entendis dire « une seconde, si je ne peux rien tenir donc rien ne peut me bloquer pourquoi donc je ne …ah.. » au moment où j’ai eu cette idée en tête je glissai dans l’appartement des voisins, je me retrouvais sous la lumière claire et légère du soleil qui se faufilait à peine des ouvertures du rideau. Entre les cuisses du mari pleine de poiles dégoutants et salis, à peu près, deux heures au paravent, elle sentait la pourriture ; par contre, mon visage décalé légèrement à droite, un sourire inébranlable était tracé sur le visage tiède et graisseux. Je me penchai pour jeter l’œil sur l’heure, quatre heure du matin. Je sursautai, courut vers la porte, remontai dans l’ascenseur et ouvrit la porte de mon appartement, je repris mes livres, j’avais un partiel en histoire le lendemain. Une seconde,… « Je repris mes livres », je les tenais dans ma main, je calculais mes vifs gestes le livre ne transperçait pas ma main d’esprit. Prendre conscience des faits, faisait d’elle une réalité. Je rejetais l’idée de revenir au spirituel, donc je n’y pensais plus .Les fractions de secondes passaient au bout de chaque tentatives de me livrer à mon esprit mais aucun des mots de l’Histoire que je révisais ne se graver dans ma mémoire.
La cause était le partiel, mais ce n’était pas un rêve, je frôlais chacune de ces vérités, peut être qu’entre la réalité et l’imaginaire il n’existait qu’un fil. Je disais cela avec l’ultime conviction que ce n’en n’était pas un.
Je pris mon téléphone, je le repris à vrai dire. J’appelais ma mère…
Entamons le sujet de la vérité, je ne savais plus est ce que je l’aimais vraiment ou pas, les ponts se coupèrent petit à petit. Je la laissais tomber, Ah ! Non je jure que cela n’a rien de vrai je la cherchais tout le temps, je lui parlais sur téléphone. Sa voix avait changée, elle avait changée. Elle ne m’aima plus. Et une fin pour de bon…
« Allo … Allo » ma mère me réclama la vérité, elle croyait que j’étais pas moi-même, normale. La conversation prit fin avec un « bisou maman » et je me dirigeais vers l’amphi, elle était pleine, comme ces souks dans lesquels tout le monde ne savait pas pourquoi il criait mais cela lui faisait du bien, alors cette foule criante se clama une fois le pied du surveillant dans la salle. Je lis le sujet, rien de nouveau la chance me joua un de ses tours, j’écrivis, j’écrivis des mots qui ne reviennent plus aucuns de ses mots n’étaient à moi, tous empruntés, des phrases toutes faites par-ci des conjonctions par-là. Ma loge semblait s’éloigner, je courus vers elle, une fois installé sur mon lit l’idée de passer à travers les murs me hantait, alors je repasse mes mains pour dresser mes cheveux,… La suite très prévisible me fuyait, ma main faisait partie de ma tête je pouvais toucher ce qui était entrain de bâtir ces mots harmonieux, du sang, du liquide rouge, de la crème rouge descendait tout au long de mon front pour se durcir sur mes sourcils. Mon index bougea, une idée jaillit, je transperçai tout j’enlevai ma main… Cela n’avait rien de bizarre à présent je pouvais faire ce que je voulais sans même être vu. Les folies débutèrent, une fille qui se changeait, un homme qui se changeait les idées, un change de devise cambriolé, une voiture changée de gardien à un autre,… Le changement était présent, j’en étais sur, mais de m’apercevoir que j’allais du mauvais au pire me tenait à cœur.
Le début d’un bonheur, perdu
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| | Nombre de messages : 1317 Âge : 32 Localisation : Shamanie Date d'inscription : 11/03/2012 | Dadouw / Adorable martyr de la paix sur le forum (et un peu dans le monde) Sam 2 Mar 2013 - 13:51 | |
| Tu ne t'es pas présenté ICI ? Tu devrais le faire, ça pourrait peut-être encourager les gens d'ici à venir t'aider, qui sait ?
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| | Nombre de messages : 344 Âge : 43 Localisation : Entre la chaise et mon écran Pensée du jour : Ϸú ert dóttirin af ljósinu, ljósit fylg ! Date d'inscription : 10/11/2012 | Manduleen / Tapage au bout de la nuit Sam 2 Mar 2013 - 14:47 | |
| Un avis sincère... As-tu pris du plaisir à écrire, est-ce que ça t'a apporté quelque chose ? En as-tu besoin ?
Si tu réponds oui à au moins une de ses questions, crois moi bien, écris et ne te soucie pas des autres, on écrit avant tout pour soi. Et vu qu'on ne peut pas plaire à tout le monde, tu risques de recevoir des avis plus contradictoires les uns que les autres... On n'écrit pas pour un lectorat. Le lecteur est un invité, un spectateur, pas un client... |
| | Nombre de messages : 1317 Âge : 32 Localisation : Shamanie Date d'inscription : 11/03/2012 | Dadouw / Adorable martyr de la paix sur le forum (et un peu dans le monde) Sam 2 Mar 2013 - 16:05 | |
| - Citation :
- je ne veux pas laisser les lignes paraître plus longes quelles ne le sont.
Ça c'est splendide, compagnon. Je n'ai pas trop compris ce que tu attends de nous, à vrai dire, ni ce que ce texte est supposé être. Un début d'autobiographie ? Une nouvelle fantastique ? Le coup de l'immatérialité des mains me fait pencher pour la seconde, mais ça semble si authentique que ça ne peut être que ton histoire à toi. Si tu veux mon avis sur ton style, je pense que tu as une franchise dans la manière de t'exprimer qui donne vie à ton texte. Certains passages sont dignes de figurer dans une autobiographie de grand auteur. Par contre, ça se voit que tu ne t'es pas relu. Tu pourrais reprendre ton texte, autant au niveau de la syntaxe que de l'orthographe, il reste du boulot. C'est un bel essai et je te conseille de créer un topic dans la partie "textes", plus précisément "autres textes", s'ils sont tous dans le genre hybride de celui-là. |
| | Nombre de messages : 17 Âge : 29 Date d'inscription : 02/03/2013 | writer-life / Homme invisible Sam 2 Mar 2013 - 16:28 | |
| - Manduleen a écrit:
- Le lecteur est un invité, un spectateur, pas un client...
La vérité déborde de cette phrase, et merci d'avoir pris la peine de lire et de répondre à mes attentes. |
| | Nombre de messages : 17 Âge : 29 Date d'inscription : 02/03/2013 | writer-life / Homme invisible Sam 2 Mar 2013 - 16:31 | |
| - Dadouw a écrit:
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Tu pourrais reprendre ton texte, autant au niveau de la syntaxe que de l'orthographe, il reste du boulot.
Tu me traces le chemin à suivre, merci pour ton aide incontournable. |
| | Nombre de messages : 1317 Âge : 32 Localisation : Shamanie Date d'inscription : 11/03/2012 | Dadouw / Adorable martyr de la paix sur le forum (et un peu dans le monde) Dim 3 Mar 2013 - 12:55 | |
| Et je ne peux pas m'empêcher d'être d'accord avec Manduleen. La seule bonne raison d'être écrivain c'est de ne pas pouvoir faire autrement. |
| | | Invité / Invité Jeu 7 Mar 2013 - 22:10 | |
| Beaucoup de fautes (orthographe, syntaxe, ponctuation) et de mauvaise tournures de phrases, voila une relecture rapide : - Spoiler:
Je commence, même sans savoir comment, j’ai du dû demander à la mauvaise personne un début à mon histoire. Bref, Je suis étudiant né en dix neuf cent quatre vingt quinze ; j’ai grandi dans une famille aisée .Bien éduqué, j’ai longtemps essayé de faire comme les autres jusqu'au jour où j’ai quitté la maison pour terminer mes études à Tanger. Tanger, une ville du Nord du Maroc, dite internationale, a tout changé. Pour être plus clair , il est primordial de consacrer une petite partie pour décrire ma vie d’avant , cela facilitera la comparaison entre les deux périodes. Adolescent, je visais un parcours qui contenait des achèvements dénombrables : avoir une petite copine pour combler le vide sentimentale sentimental dans ma vie, réussir mes études du mieux que je pouvais, et avoir la bénédiction de mes parents. J’ai déménagé de Casablanca en deux mille onze pour m’installer à Kénitra, une petite ville du Maroc . Ce changement de ville brutale s’annoncer s'annonçait bien, du côté du développement de ma personne. J’étais timide, arrogant, tenté par l’aventure, « Moody », gentil (on me le disait souvent), perdu … J’ai pratiqué du full contact, musculation, football, Basketball et enfin quelques sauts en « Parkour ». J’avais des petites copines. Mon premier baiser était à Kénitra, un dimanche , je m’en rappelle ; Réveillé tôt j’ai reçu des amis à la gare, le temps était pluvieux, on s’était installé moi et elle dans un café et ce fut mon premier baiser. Ne pas trop s’étaler sur ce baiser ne veut aucunement dire qu'il est dépourvu de sens, mais je ne veux pas laisser les lignes paraître plus longes longues quelles qu'elles ne le sont. La distance nous a séparés enfin de conte compte , et je fonçais vers une nouvelle conquête . Pas question de baisser les bras. Dix huit ans, son âge ne m’a jamais fait peur, elle me plaisait sa façon de parler, de changer de tons ton. l'expression ne parle pas de plusieur ton, mais d'un seul , de me taquiner, … tapé par ce coup de foudre, je lui ai tout avoué mais elle ne voulait rien de moi, (alors) j’ai laissé tombé. Un profil assez pauvre de charisme (virgule inutile) … je dirais que les temps changent. J’ai pleuré le retour de ma mère après m’avoir déposé à Tanger (pas compris. tu as pleuré le retour de ta mère ? alors pourquoi tu pleure aussi quand elle est plus là ? tu as dû te tromper ici). Seul et ignorant, c’est ce que j’étais. J’ai laissé derrière moi une famille chaleureuse, des parents qui repoussait repoussaient tout mal autour de nous, une sœur confidente à qui je racontais tout ce que je voulais et qui savait m’écouter. J’étais là dans ma chambre à étudier, à penser réciproquement à ma mère, à essayer de devenir comme mon père qui a bien mené sa vie, à envier les autres d’avoir ma sœur à leurs côtés. Tout ceci me faisait parfois du bien, je me sentais à l’aise des fois. Chaque quart de mois je rentrais à Kénitra pour revoir des personnes qui me sont et me seront (ici je rajouterai : à jamais) chères : mon héro héros (mais je mettrai héroïne, sans faire d'amalgame avec la drogue, ce que seuls les simples d'esprits feront. mais c'est vrai que ca sonne bizarre. change ça si tu peut), ma protectrice, mon tout et mon coup de foudre. Parmi toute cette foule, j’arrivais encore à distinguer leurs visages, parmi tout toutes les routes de rides qu'à graver a gravé le temps sur les visages des gens je reconnais celles de mon père, parmi toutes les joues du monde je ressens encore celles de ma mère sous mes mains toutes petites d’enfant innocent, parmi toutes les nuits obscures passées à me confesser je me rappelle chacune des histoires de ma sœur, et parmi toutes mes conquêtes perdues je tiens toujours à « elle ». On s’est vu dans un café puis le rituel continuait, de l’or noir dans notre supermarché habituel mais ce qui sortait de l’ordinaire n’était rien que cette phrase « j’avais une folle envie de m’embrasser » (pourquoi pas ^^ mais c'est plutôt "t'embrasser" nan ?) c’est ce que je su sû par la suite de ses propres mots. Je n’hésitais pas à le faire après un mois de notre ordinaire, c’était juste magique. Je l’aime… Je ne lui ai jamais dis, mais autant dire que l’occasion ne s’est pas laissé jamais présenté e. Elle mène notre dance et, pour être sincère, après avoir (dégusté le) =>("gouté au" plutôt non ?) début je la laisserais confectionner nos souliers de dance (répétition) si elle le voulait. (mais ton expression est soit complexe, soit mal tournée)J’ai vu un chemin dans différentes facettes ( là je n'ai pas compris le sens, même en ayant cherché, et un lecteur normal ne cherchera pas, il trouvera juste que c'est mal formulé : met "de" à la place de "dans" et ca ira peut être mieux, mais change la tournure plutôt), un chemin long , très long qui menait à Tanger ; J’ai vu un chemin bizarre et nouveau qui menait vers une autre vie, la nuit quand tous les employés dormaient en paix eton sortait pour voler à l’aventure ; J’ai vu un chemin sans fin plein de brouillard et de fumés fumée j’y ai vu de la poussière blanche, du verre vert (tu as voulut rechercher et ça doit être volontaire, mais je ne te conseille pas de faire des répétitions telles que celle la) à volonté, le verbe « rouler » était roi dans des discussions où personne n’écoutait personne et, où l’étiquette cédait à la vulgarité. Ces moments là remontent en moi une haine vers laà l'encontre de (plutôt. mais à reformuler aussi) catégorie de gens qui se donnent la mort pour du néon (heuuu, c'est peut-être une expression par chez toi mais j'ai pas compris. néant plutôt ?). A Kénitra, j’envoyais un message sur son mobile pour se voir à la gare après une douzaine de jours loin d’elle et elle ose me dire qu’elle ne pouvait pas venir , une raison non valable d’après moi. J’ai gueulé comme un fou, puis on ne s’est pas vu. Elle commandait… De retour à Tanger j’ai décidé de garder contact et reprendre le cours de la vie, et là elle me fit le coup de grasse grâce , elle refusa . (Ici on voit la rupture, j'avais fini d'écrire la conclusion, et comme la quantitée de choses à corriger est beaucoup plus importante, je préfère attendre que tu réponde à ma question du bas) - Citation :
- Entre chaque deux idées je suis obligé de revenir pour écrire d’elle.
J’ARRETE DE LE FAIRE POUR MES PARENTS.
Oh mon dieu ! Pendant que je regardais mon film, une valise posée au pied du lit bougea. Je suis allé voir d’où provenait ce bruit… la valise était vide. Tout à coup j’entendis une voix qui murmurait « étrangles la » je sursautai de mon lit et j’ouvris la porte fermée à double tour puis je pris la fuite. Arrivé à la porte de l’immeuble je criais, je criais et je criais mas les gens semblait ne pas me voir ni m’entendre, cela me faisait de plus en plus peur je remontais lentement le long des escaliers, j’ouvris la porte de ma chambre LA VALISE N’ETAIT PLUS LA.J’étais troublé je ne savais quoi faire, l’idée d’appeler ma mère fut la première à surgir dans le vacarme qui régnait dans ma tête. Je tendis ma main pour prendre le téléphone… ma main traversa la chaise installée à côté de mon lit je retendis la main et je la vis disparaître dans la chaise. Je me ressaisissais, je comprenais que ce ne pouvait être qu’un cauchemar et j’allais e réveiller tôt ou tard. Hélas ! Cette lugubre nuit ne prit pas fin au lever du soleil je regardais par la fenêtre, le soleil fondue dans l’horizon remontait petit à petit. J’avais besoin de quelqu’un pour me consoler, alors je tentais vainement de reprendre le téléphone pour rappeler n’importe qui j’avais juste besoin de tenir quelque chose en main. Soudain, je pensai à une idée, une idée sombre, obscure, terrifiante,… l’idée que je sois mort et que mon âme airée encore dans ma chambre. Et si mon âme était sous mon contrôle, alors où serait mon corps, je courrais voir dans la cuisine rien, dans les toilettes rien devant la porte de l’appartement rien. L’idée commençait à tomber à l’eau, et à un moment donnée je m’entendis dire « une seconde, si je ne peux rien tenir donc rien ne peut me bloquer pourquoi donc je ne …ah.. » au moment où j’ai eu cette idée en tête je glissai dans l’appartement des voisins, je me retrouvais sous la lumière claire et légère du soleil qui se faufilait à peine des ouvertures du rideau. Entre les cuisses du mari pleine de poiles dégoutants et salis, à peu près, deux heures au paravent, elle sentait la pourriture ; par contre, mon visage décalé légèrement à droite, un sourire inébranlable était tracé sur le visage tiède et graisseux. Je me penchai pour jeter l’œil sur l’heure, quatre heure du matin. Je sursautai, courut vers la porte, remontai dans l’ascenseur et ouvrit la porte de mon appartement, je repris mes livres, j’avais un partiel en histoire le lendemain. Une seconde,… « Je repris mes livres », je les tenais dans ma main, je calculais mes vifs gestes le livre ne transperçait pas ma main d’esprit. Prendre conscience des faits, faisait d’elle une réalité. Je rejetais l’idée de revenir au spirituel, donc je n’y pensais plus .Les fractions de secondes passaient au bout de chaque tentatives de me livrer à mon esprit mais aucun des mots de l’Histoire que je révisais ne se graver dans ma mémoire.
La cause était le partiel, mais ce n’était pas un rêve, je frôlais chacune de ces vérités, peut être qu’entre la réalité et l’imaginaire il n’existait qu’un fil. Je disais cela avec l’ultime conviction que ce n’en n’était pas un.
Je pris mon téléphone, je le repris à vrai dire. J’appelais ma mère…
Entamons le sujet de la vérité, je ne savais plus est ce que je l’aimais vraiment ou pas, les ponts se coupèrent petit à petit. Je la laissais tomber, Ah ! Non je jure que cela n’a rien de vrai je la cherchais tout le temps, je lui parlais sur téléphone. Sa voix avait changée, elle avait changée. Elle ne m’aima plus. Et une fin pour de bon…
« Allo … Allo » ma mère me réclama la vérité, elle croyait que j’étais pas moi-même, normale. La conversation prit fin avec un « bisou maman » et je me dirigeais vers l’amphi, elle était pleine, comme ces souks dans lesquels tout le monde ne savait pas pourquoi il criait mais cela lui faisait du bien, alors cette foule criante se clama une fois le pied du surveillant dans la salle. Je lis le sujet, rien de nouveau la chance me joua un de ses tours, j’écrivis, j’écrivis des mots qui ne reviennent plus aucuns de ses mots n’étaient à moi, tous empruntés, des phrases toutes faites par-ci des conjonctions par-là. Ma loge semblait s’éloigner, je courus vers elle, une fois installé sur mon lit l’idée de passer à travers les murs me hantait, alors je repasse mes mains pour dresser mes cheveux,… La suite très prévisible me fuyait, ma main faisait partie de ma tête je pouvais toucher ce qui était entrain de bâtir ces mots harmonieux, du sang, du liquide rouge, de la crème rouge descendait tout au long de mon front pour se durcir sur mes sourcils. Mon index bougea, une idée jaillit, je transperçai tout j’enlevai ma main… Cela n’avait rien de bizarre à présent je pouvais faire ce que je voulais sans même être vu. Les folies débutèrent, une fille qui se changeait, un homme qui se changeait les idées, un change de devise cambriolé, une voiture changée de gardien à un autre,… Le changement était présent, j’en étais sur, mais de m’apercevoir que j’allais du mauvais au pire me tenait à cœur.
Le début d’un bonheur, perdu
En conclusion : beaucoup de manque de ponctuation, des phrases à refaire, et des mots à revoir. Attention, j'ai fais une relecture très rapide, en profondeur, le nombre de choses à dire est 2 à 3 fois plus importantes d'après ce que j'ai vu Pour mon avis personnel, je dois dire que j'apprécie beaucoup le début, jusqu'à"parmi toutes mes conquêtes perdues je tiens toujours à "elle". Après, eh bien... le lancement de l'histoire d'une manière plus....comment dire...récit, plutôt que autobiographie (ou biographie ? je ne sais pas, mais au vu de ce que j'ai lut, je ne pense pas que ce soit une biographie, et pour plusieurs raisons) est mal fait, ou juste maladroit, tu manque de pratique dans la création d'un récit (mais ça s'améliore ça !) Ensuite on vois la rupture entre ton autobiographie et la fiction du dessous, et la différence est encore plus marquante. une dernière chose : je ne suis pas psychologue, mais je sais lire entre les lignes de ton récit et de tes commentaires : tu veut que l'on te donne notre avis sur le fond, ou sur la forme de tes écrits ? Si ce que je pense est juste, tu as eut une impulsivité scripturale issue d'un possible mal-être, qui t'as donné envie d'écrire ce que tu pensais, et de raconter ton histoire. Puis tu as voulut partager cela. Mais comme je le dis je ne suis pas psychologue, et la monotonie de tes commentaires et le fond de récit est voulut et fais montre d'une sacrée inventivité. je te dis ça parce que je l'ai vécu, et que ça donne la même chose. En gros, voila pourquoi il y a une différence entre le texte d'en haut et d’en bas (le récit et l'autobiographie) : les écrits du cœur sont plus forts que ceux de l'esprit.EDIT : je viens de voir ta présentation. cela à renforcé mon sentiment. |
| | Nombre de messages : 17 Âge : 29 Date d'inscription : 02/03/2013 | writer-life / Homme invisible Jeu 7 Mar 2013 - 22:23 | |
| duboismarneus A lire et à relire ton message, je me suis peut-être égaré à trouver les mots. Merci tout d'abord de prendre la peine d'écrire un tel commentaire, cela m'a fait plaisir. Après une relecture du commentaire, je ne sais si je dis que ce n'est guère de la fiction mais plutôt dire une vie. Mais une chose, à redire, je te remercie de m'avoir clarifié la vue. |
| | | Invité / Invité Jeu 7 Mar 2013 - 22:27 | |
| - writer-life a écrit:
- duboismarneus
A lire et à relire ton message, je me suis peut-être égaré à trouver les mots. Merci tout d'abord de prendre la peine d'écrire un tel commentaire, cela m'a fait plaisir. Après une relecture du commentaire, je ne sais si je dis que ce n'est guère de la fiction mais plutôt dire une vie. Mais une chose, à redire, je te remercie de m'avoir clarifié la vue. c'est...énigmatique^^ veut-tu dire que je me suis trompé, que c'est juste une fiction, ou que les frontières entre la fiction et la réalité sont assez mince pour que je ne me sois pas trompé ? |
| | Nombre de messages : 17 Âge : 29 Date d'inscription : 02/03/2013 | writer-life / Homme invisible Jeu 7 Mar 2013 - 22:32 | |
| Te parler est un parcours sans fautes. La vérité sera-t-elle entrain de me jouer un de ces tours, ou c'est trop dur pour toi d'avouer que pour une vie ca en fait une sacrée une? |
| | | Invité / Invité Jeu 7 Mar 2013 - 22:43 | |
| inutile de te cacher derrière des tournures de phrases (mal tournée d'ailleurs pour certaines, ce qui fait que j'ai du mal à comprendre, et on va finir par s’emmêler les pinceaux). Une vie est une vie, la mienne avant d'être derrière un ordi parcourt le monde, et j'aurai au moins deux à trois fois plus de choses à dire en autant de temps que sur celui qui constitue la moitié de ton récit (mais je suis pas là pour en parler, donc on s'en fout tous). Elle a ses hauts, ses bas, ses qualités, ses défauts.
Tu veut vraiment un cour de philo ? ^^ je pourrai écrire la-dessus pendant des heures, et pour de bonnes raisons....
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| | Nombre de messages : 17 Âge : 29 Date d'inscription : 02/03/2013 | writer-life / Homme invisible Jeu 7 Mar 2013 - 22:53 | |
| Bouche Bé est l'adjectif nécessaire?
A une prochaine fois, j'attend impatiemment lire un de tes commentaires. |
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