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| À quel point vous préparez-vous à écrire un roman ? | |
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Quelle importance accordez-vous à la préparation avant d'écrire un roman ? | Très importante : j'ai besoin d'avoir un plan précis et j'y passe autant de temps sinon plus qu'à l'écriture du roman en question. | | 21% | [ 33 ] | Moyen : j'aime avoir les grandes lignes pour me guider, mais sans plus. | | 56% | [ 88 ] | Aucune : j'écris en suivant mon instinct et je vais là où l'inspiration du moment m'emmène. | | 23% | [ 37 ] |
| Total des votes : 158 | | |
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| Nombre de messages : 627 Âge : 28 Localisation : Au pied de l'arc en ciel. Pensée du jour : Je pense donc je te suis. Date d'inscription : 23/08/2012 | Vilvavert / Hé ! Makarénine Mer 19 Déc 2012 - 20:57 | |
| Honnêtement, j'ai inventé mon livre avec le scénario, les personnages et tout le barda... en plein cours ! Sans rire, hein ! Disons qu'au collège, j'avais des facilités dans certaines matières et que je jouais parfois avec mes affaires pendant le cours. Croyez-moi quand je vous dis que tout est sorti d'un tube de colle (si,si, c'est vrai, un Esquisse , les verts avec des extrémités jaunes). Le petit jeu a construit une histoire qui a remplacé le jeu. Vachement balèze, le tube de colle !
Tout ça pour dire que l'histoire, j'ai eu tout mon temps pour l'améliorer, même si je préfère passer plus de temps à peaufiner l'univers que le fil conducteur. |
| | Nombre de messages : 1833 Âge : 27 Date d'inscription : 11/07/2012 | Guardian of the Moon / Journal du posteur Sam 2 Mar 2013 - 11:55 | |
| Comme certains d'entre vous, j'écris à l'instinct. Je n'ai jamais vraiment eu de plan mais par contre je sais toujours où ça va menait. Tout est dans ma tête, pas besoin de papier. Comme Archangel, l'idée de mon roman m'est venu en cours, en maths il me semble (comme quoi ça sert à quelque chose ^^) J'ai déjà essayé avec un plan mais je n'arrive plus à m'imaginer les scènes dans ma tête. A chaque auteur sa méthode. |
| | Nombre de messages : 3829 Âge : 112 Localisation : Haute-Garonne Pensée du jour : "Toute personne qui aime la musique ne sera jamais vraiment malheureuse"- F. Schubert Date d'inscription : 29/08/2011 | Molly / Sang-Chaud Panza Sam 2 Mar 2013 - 13:54 | |
| - mikaroman a écrit:
- Quand je commence à écrire, j'ai un plan très précis de ce que je veux faire.
Mon histoire grignote mon plan : j'efface le bout de plan correspondant au chapitre que je viens d'écrire. Ainsi,progressivement, mon plan diminue tandis que mon roman croît. Un peu comme s'il dévidait sa pelote de destin.
Il arrive parfois qu'en écrivant un chapitre une nouvelle idée me vienne. J'écris le chapitre jusqu'au bout avec la nouvelle idée pour voir où elle m'entraîne. Pendant quelques jours je ne touche à rien, je pars marcher et je réfléchis aux conséquences logiques de ce changement.
En fonction de mes réflexions, je reviens à mon texte en changeant le chapitre en question pour le faire rentrer dans le droit chemin, ou alors j'écris un nouveau plan pour prendre en compte ce changement de direction.
La vie est surprenante, il n'y a pas de raison que nos propres romans ne nous surprennent pas à l'occasion Je me reconnais bien là-dedans. Sauf que je n'ai pas un plan précis au départ, plutôt quelque chose d'assez général qui s'affine peu à peu, au fur et à mesure que je progresse dans l'écriture. J'essaye quand même d'avoir la trame de quelques chapitres d'avance, mais bien souvent, je ne m'y tiens pas. De nouvelles idées viennent interférer ou certaines incohérences deviennent tout à coup évidentes et me font dévier de ma ligne. |
| | Nombre de messages : 518 Âge : 26 Localisation : La musique de Chihiro est magique... Pensée du jour : Paisible. Date d'inscription : 09/06/2012 | Benji / Gloire de son pair Sam 2 Mar 2013 - 14:17 | |
| J'ai quelques idées pour le roman et j'ai toujours un enjeu, quelques personnages et ma fin avant d'écrire une histoire. Sinon, je n'ai pas vraiment de plan ! |
| | Nombre de messages : 16 Âge : 38 Date d'inscription : 02/03/2013 | Blackout / Homme invisible Lun 4 Mar 2013 - 17:52 | |
| J'écris le plus souvent à l'instinct. Bien sûr, au départ, j'ai une idée de trame. Mais je ne fais jamais de plan. Ni rien d'autres. Et en réfléchissant bien, c'est peut-être pour cela que j'ai souvent ces soucis d'inspiration... et que je n'avance pas du coup.
Ma méthode de travail serait préférable d'être revue, je pense.
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| | Nombre de messages : 1512 Âge : 36 Date d'inscription : 02/03/2013 | Gwenouille / Roland curieux Lun 4 Mar 2013 - 18:05 | |
| Quand j'écris, je commence par laisser libre cours à mon imagination en me laissant le plus de portes ouvertes, puis petit a petit les élements prennent place. Quand j'ai suffisamment d'éléments à disposition, je me mets à plancher sérieusement sur ma trame et j'écris un résumé de tous les chapitres et ce qui s'y passe, à raison de 3 scènes par chapitre dont obligatoirement une qui fasse avancer l'action. Je n'aime pas écrire de scène pour combler le vide, ni même à me forcer à en écrire une qui serve forcement l'action. Une fois ce travail effectué, je reprends l'écriture là ou j'en étais, et pour la ligne centrale, j'essaie de me tenir à mon plan. En revanche, quand un élément vient naturellement se greffer, je ne rejette pas sous pretexte qu'il ne suit pas mon plan. Je reste toujours receptive et ouverte à ce qui arrive et que je n'avais pas prévue, sachant que je parviendrai de toute facon à rallier ma trame plus tard. Si un élément se présente, je l'intègre à ma trame et réécris le descriptif de tous les chapitres à venir, et ainsi de suite en jonglant avec les deux. Si l'élément modifie des chapitre déjà écris, j'ai un livre de brouillon toujours a portée de main avec inscrit la liste de tous les détails et scènes que je dois modifiées, ou de toutes les idées "minimes" à inclure. Parallèlement, j'ai une carte visuelle de mon monde, un descriptif de tous mes personnages avec leur position et les aspects personnels (les détails qu'on a tendance à oublier après 15 chapitres mais qui font la différence). J'ai également un des feuilles de vocabulaires concernant un champ lexical précis (ex : les batailles, les relations amoureuse, etc) pour pouvoir trouver rapidement des variantes. Une liste avec toutes les incises possibles (j'en rajoute régulièrement), et quand une partie de ma trame me parait floue, je n'hésite pa à marquer directement mon raisonnement sur feuille. L'important étant que le lendemain, quand on est pas dans la même éenergie", je puisse m'y reporter et me dire "ah oui, ça j'avais oublié". |
| | Nombre de messages : 1090 Âge : 38 Pensée du jour : "I am the only one"... Still I am ? Date d'inscription : 20/10/2012 | DivaJu / Avatar de Marceline Lun 4 Mar 2013 - 18:19 | |
| Plus jeune, j'écrivais à l'instinct également, avec les idées qui me venaient. Mais mes textes souffraient d'incohérence, d'oublis, puis surtout d'un manque d'inspiration, qui avait pour conséquence de donner des longueurs inutiles sur beaucoup de passages, et des dialogues interminables. Puis un jour, j'ai eu l'idée d'une histoire (à partir d'un nom de famille) qui a lentement mûri dans ma tête, puis sur le papier... et de fil en aiguille j'en suis arrivée à faire un plan... même plusieurs car celui-ci s'affinait, s'arrondissait, se détaillait. Résultat : j'ai écrit un document d'aide à l'écriture avec tous les éléments de mon histoire que je ne devais pas oublier (et l'agrémente de temps en temps), puis un guide de chapitres (en cours de réalisation) qui me permet d'avoir une histoire conhérente, des personnages pas trop versatiles, et une écriture qui ne subit pas mes revers d'humeur. Puis je me rends compte que, pour la première fois, je voue une fidélité quasi-religieuse à cette histoire. C'était comme si j'en avais fait la gestation, de telle sorte que lorsque j'ai commencé à animer mes personnages dans la description des chapitres, j'avais cette impression si douce et si étrange à la fois de voir des êtres que je portais prendre vie devant moi... et quelque part par moi. Même si je dois reconnaître qu'un plan est très chronophage, parfois frustrant par cette non-concrétisation immédiate qu'il sous-tend, je crois que, malgré tout, je ne pourrai plus me lancer dans l'écriture d'un roman sans plus de plan. Mais comme l'a écrit un jour Paul Valéry : "Génie ! Ô longue impatience!" |
| | Nombre de messages : 557 Âge : 41 Localisation : 02 Pensée du jour : Ecrit un peu, un chapitre, un paragraphe, une phrase. Non, même un mot, écrit ! Date d'inscription : 04/09/2012 | Zaou / Gloire de son pair Lun 4 Mar 2013 - 19:16 | |
| Moi il me faut une très grande préparation psychologique. Même que des fois on dirait presque de la procrastination... presque j'ai dit ! |
| | | Invité / Invité Lun 4 Mar 2013 - 21:27 | |
| J'ai dit moyen, mais c'est entre moyen et très important. Là je ne peux que me baser sur l'histoire que j'écris actuellement, où j'avais des éléments à la base à partir desquels j'ai écris le premier jet. Ça n'est pas allé très loin parce qu'ils me manquaient des détails et de la cohérence. Donc j'ai arrêté et j'ai creusé en fonction de mes besoins, avec carnet à l'appui et tout. Deuxième jet avec un plan sommaire, je me suis arrêté à la moitié pour pouvoir retravailler le plan et faire toutes les recherches qui me manquaient. Et là j'écris pour de bon. J'ai toutes les infos dont j'ai besoin, un plan par chapitre à peu près précis. Me restera que la correction une fois que j'aurais terminé d'écrire.
Au final, ça parait peut-être un peu laborieux, mais c'est assez naturel comme façon de faire (pour moi au moins). Par contre, c'est clair que ça prend du temps. |
| | | Invité / Invité Lun 4 Mar 2013 - 23:02 | |
| DivaJu, j'ai eu à peu près le même cheminement que toi. Les histoires pas très bien structurées, caractérisées par un manque criant d'organisation. Puis, j'ai découvert les synopsis. Maintenant, lorsque je me prépare pour un travail de longue haleine, je fais invariablement un plan qui décrit sommairement chacune de mes péripéties. Bon, pour une nouvelle, j'y vais plus librement, mais je crois que c'est essentiel d'en savoir un minimum sur son histoire avant de commencer à l'écrire. C'est mon idée. |
| | | Invité / Invité Sam 16 Mar 2013 - 14:51 | |
| Etant plus jeune, j'écrivais moi aussi à l'instinct. Et c'est certainement pour cela que je ne venais jamais à bout de mes premiers jets car ça manquait de cohérence. Pour mon roman actuel, j'ai passé des jours entiers à fignoler les détails de l'histoire (fiches des personnages, carte du monde, résumé des chapitres, conception des croyances... etc). Ensuite j'ai commencé à écrire. Des fois, quand il me venait des idées en plein milieu de l'écriture, j'essayais de les incorporer dans l'intrigue principale et de trouver une suite logique. Jusqu'ici ça ne m'a pas fait défaut. |
| | Nombre de messages : 52 Âge : 32 Localisation : Montréal, Québec Date d'inscription : 23/02/2013 | eyquem / Clochard céleste Sam 16 Mar 2013 - 16:29 | |
| En ce qui me concerne, grosso modo pour le manuscrit sur lequel je suis : six mois d'imagination "préparatoire" ou je pars de rien puis ont suivi six mois d'écriture. Sachant qu'au cours de l'écriture, j'apporte des trucs, des idées me viennent et je les rajoute ou j'en supprime d'autre mais la base d'imagination semestrielle reste la même. A quel point je me prépare a écrire un roman ? Très simple et très bête : je suis prêt a écrire un roman quand je le commence. Si je ne l'ai pas fait avant, c'est que je n'étais pas prêt. Je pense que c'est une question de sensation, rien d'autre. Les plans, synopsis, etc sont des outils qui aident a savoir si oui ou non je suis prêt mais au fond, le sentiment est là bien avant toutes ces choses.
Edit : Je viens de me rappeler d'un résumé que j'ai écris il n'y a pas si longtemps. Il fait 80 pages. C'est une très très longue histoire très complexe mais je ne l'écris pas parce que je ne m'en sens pas prêt. Si je le faisais maintenant, je pense que je la gâcherai. Pourtant, j'ai juste a prendre la plume (ou le clavier) et commencer. Mais c'est vraiment une question de sensation. Je ne pense pas en être encore capable. |
| | Nombre de messages : 165 Âge : 32 Localisation : Sur un kayak en route pour Aldébaran. Pensée du jour : div B = 0 Date d'inscription : 25/08/2012 | LuluCoccinelle / Tycho l'homoncule Sam 16 Mar 2013 - 17:31 | |
| J'ai coché la première option, parce qu'un plan très détaillé est devenu indispensable pour moi. Comme beaucoup, j'ai longtemps écrit sans plan et même si je pense que mes écrits valaient quelque chose, il manquait la cohérence, les références et tous les petits détails qui font que le roman est bien ficelé et crédible. Alors je me suis mise au plan. Au début, ils n'étaient pas bien épais, mais je prenais le temps de dessiner les personnages et de faire une petite biographie pour chacun. J'ai un défaut, c'est que je vois mes protagonistes sans visage, ce ne sont que des silhouettes anonymes, alors les dessins m'aident beaucoup. J'ai ensuite écrit un synopsis et la description des premiers chapitres, pour bien démarrer, mais en général, une fois que j'avais ma ligne principale, je ne la perdais pas de vue et je me laissais emporter par ma plume en sachant exactement où j'allais. Et puis, récemment, j'ai eu besoin d'écrire un plan extrêmement détaillé pour un roman que je voulais construit comme une démonstration mathématique. J'ai dessiné les personnages, décrit leur vie de façon méticuleuse, écrit un très long synopsis et classé tous les évènements par chapitre, défini les chapitres un par un en tenant compte de la progression de l'intrigue, listé les références aux sciences à insérer dans le texte et ébauché des morceaux de dialogue, d'extraits importants pour l'histoire, etc. La construction du récit m'a pris cinq mois. L'écriture du roman 3 (et j'ai finalement peu retouché cette version depuis que je l'ai terminé, après plusieurs relectures et correction), et contrairement à Dadouw, je ne pense pas que ça enlève de la spontanéité au récit. De mon point de vue, ce n'est pas parce que tu sais où tu vas que tout de suite, ça va paraître complètement artificiel et pas crédible (mais je me suis fait moi-même la réflexion avant de commencer à écrire). En fait, ce plan très précis m'a donné une liberté immense, puisque je pouvais prendre des initiatives inattendues et juger immédiatement si ça aurait des conséquences sur la suite. De plus, le premier jet était déjà bien abouti et ma connaissance des personnages et de l'intrigue a fait que je savais exactement comment ils réagiraient. Je pense que se mettre dans la peau de personnages qu'on a appris à connaître rend quelque chose de plus spontané qu'un personnage qu'on ne connaît pas si bien que ça. Cette expérience m'a donc beaucoup appris (et le projet en lui-même correspondait bien à l'utilisation d'un plan), et j'ai choisi de l'utiliser pour mon projet actuel (même si ça me semble plus difficile). Cependant, je suis de nature une personne très organisée (ou en tout cas qui aurait grand besoin d'une très bonne organisation…), alors un plan me rassure pendant ma progression dans l'écriture. Cela dit, comme je le disais, je n'ai pas pu détailler autant mon projet actuel que le précédent, donc je pense que la nécessité d'un plan ou non est très variable même chez une même personne. |
| | Nombre de messages : 45 Âge : 32 Date d'inscription : 21/02/2013 | Enfant-Roi / Petit chose Dim 24 Mar 2013 - 2:33 | |
| J'ai voté moyen, mais ça dépend complètement du genre du roman... et de plein d'autres trucs, en fait. Je ne sais plus qui parlait du fait d'être "prêt" à commencer une histoire, cette conviction dépendant surtout du ressenti. Je me suis bien retrouvée là-dedans parce qu'il y a des récits que j'ai commencé à écrire alors que je n'avais aucune idée développée (juste un prénom, une scène d'exposition, une situation particulière, une rencontre...), sans que ça m'empêche d'y mettre le point final. Il y a d'autres romans pour lesquels j'ai fait des synopsis entiers chapitre par chapitre, quand j'étais plus jeune. ça n'empêchait pas le manque d'inspiration (on a beau savoir où on va et comment on y va, il faut quand même faire un pas après l'autre et des fois bah ça marche pas), les longueurs inutiles, etc. En règle générale, si je ne fais pas complètement à l'instinct, je fais des fiches de personnage qui ne comportent que leur nom et un bref résumé de ce qui les a amenés à entrer en interaction avec l'histoire. Pas de description physique ou de biographie complète. Question physique, j'ai tendance à en décrire le moins possible, j'ai du mal avec les longues descriptions qu'on trouve dans pas mal de bouquins, avec la couleur des yeux, des cheveux, la forme du nez, la sensualité de la bouche, la couleur de la peau... si ça ne sert pas l'histoire, je considère qu'il est inutile de savoir à quoi ressemble un personnage dans les détails. Je note aussi les idées qui me viennent, mais toujours au fur et à mesure. Le coup du synopsis chapitre par chapitre, je ne l'ai pas fait depuis des années. Pour ce qui est de connaître la fin avant d'avoir écrit le premier chapitre, ça ne m'arrive jamais. Autrefois je n'avais aucune idée de la fin jusqu'à ce qu'elle se profile vraiment à l'horizon. Maintenant elle devient assez évidente après quelques chapitres ou la moitié du livre. C'est rassurant, mais ça n'est pas une garantie de terminer le récit. J'ai fini plusieurs bouquins que j'avais commencé sans la moindre idée de l'endroit où j'allais. Récemment, par contre, je me suis arrêtée subitement à dix pages de la fin, alors que je sais exactement ce qui va se passer... je sais pas pour vous mais chez moi, l'inspiration ne dépend pas du tout des idées. Je peux mettre deux semaines à écrire une scène qui est parfaitement claire dans ma tête. Et inversement, pondre tout un roman sans me poser la question de savoir où je vais... les incohérences suscitées par cette méthode d'écriture, je les supprime au deuxième jet. ... ou le roman entier foire complètement, ça arrive ! |
| | Nombre de messages : 34 Âge : 53 Localisation : Latitude : 45.133333 | Longitude : 1.833333 Pensée du jour : c'est effarant, mais je dois avouer que je suis incapable de penser... Date d'inscription : 05/03/2013 | Chasa / Petit chose Mer 27 Mar 2013 - 18:38 | |
| Alors pour moi, c'est très simple: j'écris, j'écris et j'écris encore, sans jamais m'arrêter, pour la simple et unique raison que ce sont mes personnages qui guident mes mains sur le clavier, sans compter que mon imagination fertile n'aime pas être bridée.
Bon, je dois avouer qu'avant de m'endormir, je visualise mes personnages, leur progression, leur dialogue. En fait, je vis l'histoire avant de l'écrire. La seule chose que j'ai réellement sous les yeux, en permanence, est la carte de mon monde. Sans elle, je serais vraiment perdue; remarquez, rien d'étonnant à cela, n'oubliez pas, je suis blonde et de surcroît de sexe féminin.
Ce que j'ai écrit plus haut était véridique hier! Aujourd'hui, je suis obligée d'établir des fiches pour les personnages, les lieux, les différentes péripéties entamées et non conclues... Oui! J'étais contre les notes sur calepin, les bristols pense-bête, mais quand l'histoire se prolonge, qu'elle prend une tournure complexe, il est nécessaire d'afficher dans tous les coins de son bureau des post-it qui nous rappellent à l'ordre.
Voili, voilou!
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