Et je voudrais ajouter que, quand je lis un livre format papier la nuit, j'ai besoin de lumière quoi qu'il en soit. Ca ne change pas grand chose ^^.

Marc Anciel a écrit:

Qu'est-ce qu'on ne fait plus... En même temps, le problème c'est pas d'avoir de la lumière dans la tronche quand il fait jour, c'est d'en avoir quand il fait nuit...

Même là, le concept est différent. Pour une tablette ou un smartphone, l'écran émet de la lumière (de jour comme de nuit) vers ta tête directement. Ca, ça fatigue l'oeil. Pour une liseuse, c'est l'écran qui est éclairé (la nuit seulement), pas ta tête. La lumière est projetée sur l'écran qui est une surface mate, et qui le reflète à son tour vers ton oeil. Tout se passe comme si tu éclairais un livre avec une lampe. C'est pour ça que c'est plus confortable.

Autre point aussi que personne n'a abordé.

La version numérique d'un livre permet de rajouter des illustrations couleurs... dans un livre papier classique... je n'en vois que très rarement, à moins de regarder la littérature enfantine...

Oui, je sais, en même temps drôle d'idée de rajouter des illustrations au milieu d'un bouquin, mais je pense explorer ce concept.

Manduleen : c'est vrai qu'il me semble qu'ainsi certains éditeurs tentent de regroupés différents arts (vidéos/Photos/Dessins/Musiques/Ecrits) en un livre, en un Tout. C'est un concept à explorer que permet le numérique, et je suis déçu d'avoir imaginé ce genre de choses IRL et qu'on le fasse ainsi avant moi ^^

CyrilleTelmer a écrit:

Marc Anciel a écrit:

Qu'est-ce qu'on ne fait plus... En même temps, le problème c'est pas d'avoir de la lumière dans la tronche quand il fait jour, c'est d'en avoir quand il fait nuit...

Même là, le concept est différent. Pour une tablette ou un smartphone, l'écran émet de la lumière (de jour comme de nuit) vers ta tête directement. Ca, ça fatigue l'oeil. Pour une liseuse, c'est l'écran qui est éclairé (la nuit seulement), pas ta tête. La lumière est projetée sur l'écran qui est une surface mate, et qui le reflète à son tour vers ton oeil. Tout se passe comme si tu éclairais un livre avec une lampe. C'est pour ça que c'est plus confortable.

Ok alors au temps pour moi. Néanmoins, la spécialiste des troubles du sommeil en question m'a bien expliqué que lire un livre, c'est mieux mais qu'il faut éviter de faire ça dans un lit ou alors il faut que ce soit un livre chiant au possible, genre Pages jaunes.
J'ai jamais suivi ses indications, surtout qu'elle voulait m'interdire le chocolat. ^^
Maintenant est-ce que les gens n'achètent pas plutôt une tablette qu'une liseuse, vu qu'une tablette a plus de possibilités?

Salut à tous,

tout dépend de l'usage que tu veux en faire. Si tu aimes lire des livres, tu prends une liseuse. Si tu veux un truc qui surf sur Internet et te prépares le café avec 100.000 apps sous les pédales, tu prends une tablette. Lire sur Tablette est fatiguant (mais à des années-lumières d'une fatigue sur un pc, néanmoins), lire sur une liseuse est d'un confort sans nom (sans compter que tu règles aussi la taille des caractères, la densité de mots par page, le texte se synchronise en temps réel avec tes autres appareils de lecture, etc).

Pour le livre "rich-media", c'est effectivement un des développement les plus intéressant. Je parle d'un carrefour de NY qui existe vraiment : tu clics, tu le vois sur Google Streetview. Je parle d'un concept scientifique complexe : hop, tu clics et t'es sur l'article Wikipedia. Non seulement on peut y insérer des photos, mais aussi des vidéos et de la musique, intégré à 100% dans le livre, sans avoir besoin de navigateurs ni de logiciels particuliers.

Aujourd'hui, on sait déjà faire ça, il n'y a plus qu'à attendre que le public se soit habitué aux liseuses pour voir exploser les livres interactifs (y compris certains romans, qui vont permettre à des auteurs de donner une dimension incroyable à leur histoire).

Fred

Moi, j'en retiens que l'autoédition, c'est possible. D'autres sont passés par là : Nietzsche, Proust...

C'était une autre époque et ils avaient des sous.
Et puis, la population n'était pas alphabétisée comme aujourd'hui. De nos jours, le moindre péquin qui sait aligner trois phrases peut se découvrir une vocation d'écrivain et imaginer que la gloire lui tombera dessus s'il s'autopublie. Pour un ouvrage auto-publié de qualité, il y a pléthore de productions indigentes qui jettent le discrédit sur ce mode de publication, hélas.
De mon point de vue, le carton est encore loin...

C'est pourtant une des seules options qui restent. Entre ça et rien, j'ai choisi ça.
Comme pour d'autres textes, ceux qui liraient jugeront.

Dans 10 ans, plus personne ne reconnaîtra le marché du livre : il aura muté.

Gardons nos livres papiers !! ce sont des valeurs sûres pour l'avenir qui s'arracheront à prix d'or !!