Jill
Bilal...

Chou Fleur a écrit:

Sherlock Holmes et Arsène Lupin =) Je voulais devenir détective après ça.

Idem.
Ces personnages sont tellement étranges mais dans un même temps horriblement intelligent que je les adore. Sir Conan Doyle et Maurice Leblanc ont vraiment réussis à créer deux personnages formidables. D'ailleurs, les deux n'ont jamais réussis à s'en débarrasser.

Ulysse. Modèle moral fictionnel par excellence.

lulli a écrit:

Bilal...

C'est pas plutôt un auteur lui ?

Charlotte Rittenmeyer. Je l'a connais depuis peu... mais je suis déjà séduit !!

Edward Cullen.

Non, plus sincèrement: Oscar, par exemple! (toujours d'EES)
Je reconnais que Onze-heure-trente est mythique aussi!
Ah et surtout Eléa, dans la nuit des temps de Barjavel...

Je voulais dire Jill de Bilal. Quoique Bilal je dit pas non... et tout ses personnages masculin ont un air de...

S'il y a des personnages qui m'ont marqué, ce sont les Martiens de La Guerre des Mondes d'H.G Wells (oui bon, ça j'en parle tout le temps x)). J'ai été charmé par leur description et j'ai un plaisir sadique à les imaginer envahir la Terre et asservir l'humanité.


Je les adore à cause de leur apparence et parce qu'ils sont froids et impitoyables. Je crois bien que ce sont mes extraterrestres préférés. J'ai depuis une bête adoration pour le mot Martien (n'essayez pas de comprendre). =P

Série: Daryl dans The Walking Dead parce qu'à travers son caractère grognon, vulgaire et son apparence de gros dur, se cache quelqu'un qui a un grand coeur et c'est trop touchant.

Roman: Billy dans La Fille de Papier de Guillaume Musso parce que c'est un personnage spontannée, drôle et naturelle ! J'adhère

Moi c'est Temple, dans le livre "Les faucheurs sont les anges" d'Alden Bell parce que c'est un personnage vraiment attachant, qui nous donne un nouveau point de vue sur le vie... lol
Et aussi parce que j'ai jamais vu quelqu'un d'aussi courageux, et à la fois d'aussi horrible, impitoyable, incroyable, intriguant et auquel on pense pendant au moins une semaine après avoir terminé le bouquin.

Le personnage qui m'a le plus marqué c'est Cornebique de La Ballade de Cornebique écrit par Jean-Claude Mourlevat. Il m'a donné l'envie de faire un balluchon et de parcourir le monde.

Garraty dans Marche ou Crève de Stephen King .

Zooey de la nouvelle éponyme de J. D. Salinger, parce qu'il a été pour moi l'homme idéal pendant des années ? Un type qui se remet d'une histoire d'amour malheureuse en traduisant le Mundaka Upanishad en grec ancien... LOL

Helen Burns dans Jane Eyre. Je crois que j'ai ressenti pour elle la même fascination que le personnage de Jane Eyre.

Herbert Pocket dans Great Expectations (Charles Dickens). Il est trop fort ; il me fait rire dans ce roman qui n'est par ailleurs pas très drôle...

Le roi lépreux dans le roman éponyme (Król Trędowaty) de Zofia Kossak. Il y a une phrase incroyable dans ce livre, dont j'ai malheureusement égaré la citation exacte, mais qui dit quelque chose comme : Le cadavre endormi du roi gît... Je trouve tellement percutante cette façon de signifier que le malade est une sorte de mort-vivant, puisqu'il est condamné à mourir, alors que la vie peut être définie à contrario comme l'impossibilité de savoir ce qui nous attend.

C'est du moins l'avis de Le Guin dans son roman The Left Hand of Darkness... À ce propos, je peux aussi ajouter Estraven, cet homme-femme qui passe de premier ministre à la déchéance. Contrairement au narrateur, j'ai tout de suite aimé ce personnage, et mon intuition s'est vérifiée au cours de l'histoire.

Hannibal Lecter. Une sorte de fascination malsaine.

Winston Smith, 1984, il symbolise à la fois la faille et la possibilité résidant dans chaque être humain.

Gandalf J'l'ai toujours adoré (surtout dans bilbo) ! Trop fort ce magicien !