Oui, la campagne peut être très inspirante en effet, il y a des coins magnifiques. Mais on parlait de sortie de boite à Paris, j'ai juste fais un parallèle^^

Je ne suis pas ton message . Lorsque j'ecris , j'essaye de voir des gens de confiance pour qu'ils puissent lire mes textes et m'aider . Je sort un peu aussi , parce que je suis jeune . Mais ne reste surtout pas tout seul , ordonne un peu ton temps , tout simplement .
Sortir m'aide un peu , parce qu'il me permet de vivre , de sentir un peu la vie et suivre son cours , chercher l'inspiration pour la suite .

Je me reconnais à moitié dans ton message. Je réussi à garder une vie sociale car je me force à me détendre, sortir, faire la fête. Cependant, il est vrai que l'écriture est quelque chose de très absorbant. Mon projet me vampirise l'esprit et me crée même parfois, des soucis lorsque je bloque où que je ne suis pas sûr de la direction que prend mon histoire.
Il faut juste essayer d'entretenir sa vie sociale et d'arriver à se détacher de son roman.

La vie sociale des ecrivains en devenir, sujet purement français...
La vie intérieure des artistes, ça ça m'intéresse...
Sinon bon la vie sociale est peu importante.
Les voyages spirituels par contre sont intéressants.
Pour cela; il faut se ressentir en accord avec soi.
En tout cas essayer.
Bonne journée!

viaje-inolvidable a écrit:

Je ne suis pas ton message . Lorsque j'ecris , j'essaye de voir des gens de confiance pour qu'ils puissent lire mes textes et m'aider . Je sort un peu aussi , parce que je suis jeune . Mais ne reste surtout pas tout seul , ordonne un peu ton temps , tout simplement .
Sortir m'aide un peu , parce qu'il me permet de vivre , de sentir un peu la vie et suivre son cours , chercher l'inspiration pour la suite .

Dans mon cas... c'est plutot le contraire. J'ai mes phases d'associabilite, beaucoup plus longues et plus frequents que celles de sociabilites. Ma mere, sans savoir que j'ecris, trouve que je suis devenue "plus refermee, comme si elle me genait et patati et patata"

Je n'aime pas les fetes avec toute ma classe: je trouve le comportement des gens hypocrite. Par contre, je garde en effet deux personnes de confiance, avec lesquelles je suis capable d'etre gentille et sociable

Foxi a écrit:

Dans mon cas... c'est plutot le contraire. J'ai mes phases d'associabilite, beaucoup plus longues et plus frequents que celles de sociabilites. Ma mere, sans savoir que j'ecris, trouve que je suis devenue "plus refermee, comme si elle me genait et patati et patata"

Je n'aime pas les fetes avec toute ma classe: je trouve le comportement des gens hypocrite. Par contre, je garde en effet deux personnes de confiance, avec lesquelles je suis capable d'etre gentille et sociable

C'est exactement comme cela que je suis moi. Je m'entends parfaitement avec quelques personnes, avec qui d'ailleurs je progresse au niveau social, et pas juste au niveau scolaire.
Au début de l'année, j'ai voulu m'intégrer à un groupe de masse, un groupe où les 2/3 de la classe sont présents. Mais finalement, ça ne m'allait pas, je suis mieux quand c'est une ambiance un peu sectaire, un peu renfermée, comme un écrivain en fait.
Je ne sais pas si c'est le cas pour tout le monde, mais en tout cas, c'est comme ça que je vis, et je vis très bien. Mieux vaut faire confiance à quelques personnes plutôt que de supposer une amitié sur plusieurs autres.

Un Penseur

Un Penseur a écrit:

Foxi a écrit:

Dans mon cas... c'est plutot le contraire. J'ai mes phases d'associabilite, beaucoup plus longues et plus frequents que celles de sociabilites. Ma mere, sans savoir que j'ecris, trouve que je suis devenue "plus refermee, comme si elle me genait et patati et patata"

Je n'aime pas les fetes avec toute ma classe: je trouve le comportement des gens hypocrite. Par contre, je garde en effet deux personnes de confiance, avec lesquelles je suis capable d'etre gentille et sociable

C'est exactement comme cela que je suis moi. Je m'entends parfaitement avec quelques personnes, avec qui d'ailleurs je progresse au niveau social, et pas juste au niveau scolaire.
Au début de l'année, j'ai voulu m'intégrer à un groupe de masse, un groupe où les 2/3 de la classe sont présents. Mais finalement, ça ne m'allait pas, je suis mieux quand c'est une ambiance un peu sectaire, un peu renfermée, comme un écrivain en fait.
Je ne sais pas si c'est le cas pour tout le monde, mais en tout cas, c'est comme ça que je vis, et je vis très bien. Mieux vaut faire confiance à quelques personnes plutôt que de supposer une amitié sur plusieurs autres.

Un Penseur

C'est fort, comme un écrivain. Comme si les écrivains étaient des êtres avec un mode de vie spécifique à lui comme un éléphant ou une grenouille...
Personnellement, je vois beaucoup de personnes qui écrivent et qui oui, sont plus renfermées sur elles-mêmes et je trouve ça franchement dommage. Comme si la vie des autres étaient plus superficielle, moins profonde et dénuée d'intérêt...
Bah oui les gens sont simplets, ils aiment faire la fête, boire un peu trop parfois, mais ce qu'ils vivent est tout aussi intéressant que les voyages spirituels ou peu importe quoi, parce que la vie est constituée de tout. Et à mon avis il est important de s'ouvrir au monde, aussi nul peut-on le trouver, si on veut être assez ouvert d'esprit pour faire des oeuvres riches qui ne se centrent pas seulement sur nous et notre bureau de travail.

Et être ami avec quelqu'un ne veut pas dire lui faire confiance. En fait on appelle plutôt ça des connaissances ou juste des personnes avec qui on traîne pour avoir du plaisir, parce qu'ils nous amusent, nous divertissent, sans pour autant avoir à leur confier nos mille et un secrets.

Bref je n'ai pas lu le topic entier parce que bon... mais je voulais quand même laiser ma trace ! Moi je sors, je bois un peu trop, j'ai toute sorte d'amis et de connaissances, j'aime faire un peu comme tout le monde parfois mais avant tout, j'écoute mes propres besoins !

"comme un écrivain", ça veut pas dire grand-chose. Y en a pas mal qui sortent énormément, qui boivent, qui se droguent, qui ont des tas de copains partout. Faut arrêter avec le cliché Rêveur solitaire, aussi.

Perso, je sors pas mal, je suis sociable, mais je choisis quand-même de qui je m'entoure, et y a aussi des fois où je préfère rester chez moi, juste avec ma coloc.
De même, quand je suis en vacances dans ma famille, je préfère parfois rester bien au chaud dans leur maison plutôt que de voir des amis.

ça dépend de mon humeur quoi, mais je suis ni casanière, ni dehors H24.

Je pense qu'écrire ne doit pas être une excuse pour justement ne pas sortir et affronter un monde que l'on juge effrayant et peu accueillant.

C'est un peu facile de dire : "Puisque j'écris, je ne sors pas car je n'ai plus de temps à consacrer à de vrais gens, puisque l'écriture est ma seule source d'inspiration...". C'est un raccourci de ma pensée mais l'idée est bien là.

once_upon_a_time a écrit:

Je pense qu'écrire ne doit pas être une excuse pour justement ne pas sortir et affronter un monde que l'on juge effrayant et peu accueillant.

C'est un peu facile de dire : "Puisque j'écris, je ne sors pas car je n'ai plus de temps à consacrer à de vrais gens, puisque l'écriture est ma seule source d'inspiration...". C'est un raccourci de ma pensée mais l'idée est bien là.

"Facile", "excuse"... Ça peut être un peu plus profond que ça parfois.

Feu de plancher a écrit:

once_upon_a_time a écrit:

Je pense qu'écrire ne doit pas être une excuse pour justement ne pas sortir et affronter un monde que l'on juge effrayant et peu accueillant.

C'est un peu facile de dire : "Puisque j'écris, je ne sors pas car je n'ai plus de temps à consacrer à de vrais gens, puisque l'écriture est ma seule source d'inspiration...". C'est un raccourci de ma pensée mais l'idée est bien là.

"Facile", "excuse"... Ça peut être un peu plus profond que ça parfois.

Je suit: le fait n'est pas d'avoir peur, j'ai bien dit etre ASOCIABLE, non pas SOCIOPATHE. Il y a une difference: dans mon cas je trouve stupide de discuter de certaines choses, que les gens jugent passionnantes. En plus, les grands groupes ont cette manie de tout commenter, chacun de nos actes et gestes, meme la musique que nous ecoutons.
Ce jugement je le trouve stupide et je suis colerique: il m'est deja arrive qu'on doivent me retenir a la 20e remarque desobligeante. C'est surtout plus sur pour mon environnement

Où est-ce que tu vois que je parle de sociopathe?
Les solitaires ne sont pas des psychopathes, derrière le mot "excuse" et"facile" je ne vois pas où se cache le mot "prédateur". Qui plus est, j'ai di que cela ne "devait" pas être une excuse. Après je conçois qu'on ait pas envie de tailler le bout de gras avec des gens qui nous paraissent "ennuyés" mais quelques soientt tes raisons je les entends ayant moi-même été de l'autre côté du miroir.