Bonsoir,

je ne sais pas si quelqu'un en a déjà parlé, après une rapide recherche il semblerait que non,
un ami y est tombé dessus et me la montrer, je vous le fait partager puisque c'est gratuit, si ça peut aider certains...

http://fr.feedbooks.com/userbook/17637/50-conseils-pour-devenir-%C3%A9crivain

Bonne lecture

Moui... il fait le B-A-ba, et il prend parti sur des points qui ne sont pas résumés à sa technique, mais à bien d'autres qui fonctionnent aussi.

Je ne sais pas si ça existe le manuel "écrire un roman génial pour les nuls" mais perso ça m'arrangerait bien

ben déjà tu as ça :

http://ae.img.v4.skyrock.net/aeb/land-of-books/pics/2813823266_1.jpg

et ça aussi :

http://3.bp.blogspot.com/_3fkOui_-n6Y/SUY0kt_Yf1I/AAAAAAAAAJA/CfMEVO6tFgI/s400/lecture-livre_pour-les-nuls.png

peut-être celui-là, je l'ai personnellement offert à un ami qui avait des cours de rattrapage :

http://www.editionsfirst.fr/images_livres/zf/9782876916401.jpg

et celui-là peut être utile aussi lol

http://i2.cdiscount.com/pdt/3/7/4/1/f/9782846947374.jpg

XD

plume_du_reve : j'avoue que j'avais pas pensé a regarder les livres "pour les nuls"^^

Sinon effectivement, le lien que j'ai passé vaut se qu'il vaut, c'est un avis qui est donné, mais j'ai personnellement apprécié la partie où il mentionne des correcteur d'orthographe plus puissant que word, ça pourrait m'aider a faire moins de faute si quelqu'un (ou quelque chose) me les montre

Après ce qu'il dit sur la méthodologie, j'avoue que j'avais déjà tout utilisé tout seul, ça semble plutôt logique/basique...

Mais bon, je me suis dit que ça pourrait peut être donner une piste pour certains, on ne sais jamais

Citation :

50 conseils pour devenir écriain d'Alain Jamot

Le premier conseil, savoir écrire le mot écrivain...

Bon ok c'est une coquille, je sors...

Oui désolé, faute de frappe

Corrigé.

http://www.bernardwerber.com/unpeuplus/conseils_ecrivains.html

(Allez, juste pour rire )

Bernard Werber a écrit:

Souvent les gens qui racontent bien les blagues finissent par comprendre les mécanismes d'avancée d'une intrigue et d'une chute. La blague est l'haïku du roman. D'ailleurs tout bon roman doit pouvoir se résumer à une blague.

Bernard Werber a écrit:

Lire peut vous permettre de décomposer les structures comme si on démontait un moteur de voiture Mazeratti pour voir comment c'est fait. Cela ne vous empêche pas de construire autrement une Lamborgini.

Bernard Werber a écrit:

Par exemple quelqu'un vous a fait du mal; vous ne vous vengez pas par des actes, vous vous vengez par écrit en fabriquant une poupée à son effigie et en y plantant des aiguilles d'intrigue.

Bernard Werber a écrit:

Ils enfilent les phrases tarabiscotées avec des mots de vocabulaire qu'il faut chercher dans le dictionnaire comme on enfile des perles pour faire un collier. Cela fait juste un tas de jolis phrases. Pas un livre. Ils feraient mieux d'être poètes.

Bernard Werber a écrit:

L'idéal est de donner des handicaps au héros de manière a ce qu'on se dise il n'y arrivera jamais. Exemple: l'enquêteur est aveugle et le tueur est non seulement le roi de la maffia mais en plus il a des talents de télépathie et c'est quelqu'un qui a beaucoup de chance.

Bernard Werber a écrit:

Les lecteurs ont souvent des journées fatigantes, ils lisent pour se détendre.

Sacré Bernard.

Il serait temps qu'il se dégotte un Bescherelle, d'ailleurs.

Damn. Et ce gars est un best-seller ? Les gens font vraiment n'importe quoi.

Citation :

Souvent les gens qui racontent bien les blagues finissent par comprendre les mécanismes d'avancée d'une intrigue et d'une chute. La blague est l'haïku du roman. D'ailleurs tout bon roman doit pouvoir se résumer à une blague.

Son questionnaire est une blague. Enfin, ça redonne le moral ou ça nous enfonce encore plus.

Les pointes d'humour n'enlèvent rien à la stupidité du propos, d'autant qu'elles tombent régulièrement à plat.

M'enfin, inutile d'enfoncer des portes ouvertes. Le lectorat sait à quoi s'en tenir quant à Bernard Werber.

Citation :

On dit que pour réussir il faut trois choses: le talent, le travail et la chance. Mais que deux suffisent. Talent plus travail, on n'a pas besoin de chance. Talent plus chance, on n'a pas besoin de travail. Travail plus chance, on a pas besoin de talent. Vu qu'on ne peut pas agir sur la chance, mieux vaut donc le talent et le travail.

Citation :

Surtout ne vous laissez pas impressionner par les passages des écrivains à la télévision ou les interviews de ces écrivains... Ce ne sont que des attitudes. Le vrai artisanat ne peut pas être montré là-bas. Et n'oubliez pas que ce n'est pas parce qu'un auteur passe bien à la télé ou est beau ou souriant que c'est un bon artisan. C'est juste un bon type qui passe à la télé dans le rôle d'écrivain. En général plus ils sont sérieux, plus ils impressionnent.

Citation :

L'histoire ne doit ressembler à rien de connu. Le style doit être neuf. Si on dérange des imprimeries et si on abat des arbres pour avoir de la pâte à papier, c'est qu'il faut avoir quelque chose à apporter en plus avec son manuscrit.

Citation :

On a donc deux choix, soit le rafistoler comme une barque dont on répare les trous dans la coque avec des bouts de bois, soit en fabriquer une autre. Ne pas hésiter à choisir la deuxième solution. Même si l'informatique et le traitement de texte autorisent toujours des rafistolages. C'est un peu comme le "master mind". C'est parfois lorsqu'on a tout faux qu'on déduit le mieux comment faire juste.

Citation :

Mais ne soyez pas dupe. Mettez votre ego de coté. Fuyez les flatteurs qui ne sont pas capables d'expliquer pourquoi cela leur a plu.

Citation :

Tous les auteurs "non populaire" qui vivaient à la même époque ont été oubliés, qu'ils soient grand poètes, grands académiciens, grands écrivains de cours ou de salon. L'histoire les a balayés avec leurs jolies tournures de phrases et leur effets de manches. De même que tous les auteurs maudits qui revendiquaient comme un titre le fait de n'être compris que par un public restreint on en effet été effacés. Logique. Il est beaucoup plus difficile de plaire au large public qu'à un groupe de soit disant arbitres des élégances.

Citation :

"la dame en noir c'est en fait le fils caché de la concierge déguisé en femme depuis son voyage au Brésil ou il a connu l'enfer et qui recherche l'identité de son vrai père"

Citation :

Tout le monde n'a pas forcément de talent. Et ce n'est pas grave. A la limite tentez la musique. Par contre les éditeurs qui proposent de vous de payer pour être édités ne distribuent que peu ou pas votre livre. Vous allez juste vous retrouver avec un tas de bouquins dans votre chambre à distribuer à vos amis. Autant faire vous même vos tirages avec votre ordinateur.

En effet, sacré bernard ! Remarque Hobbes, j'ai veillé à ne pas reprendre les mêmes passages que toi.

Par contre, je n'ai pas éprouvé l'intérêt de lire de la fantasy, et j'ai dû en écrire parce que j'en ai eu envie, et puis j'ai vu que mon récit était de la fantasy... alors, je ne suis pas d'accord avec ses propos sur la lecture.

Et si j'ai le malheur de devoir recommencer mon roman, eh bien... je ne le recommencerai plus du tout. Ou alors je voudrai aller trop vite car j'aurais le sentiment de devoir rattraper quelque chose. Alors que le raccommodage est un véritable plaisir de peintre impressionniste... encore un petit coup de pinceau... Moi, je n'écris rien tant que je n'ai pas potassé le sujet dans ma tête. Donc je ne dois pas recommencer 100fois un récit comme lui.

Mon maître, dans ce cas, est sûrement George Sand. Même si le maître chez moi, est celui qui m'a accepté chez lui pour partager quelques journées à analyser mon récit, en bon prof de français et écrivain qu'il était...

la réflexion sur les phrases tarabiscotées me rappellent Amélie Notthomb. Elle a réussi pourtant... que c'est malheureux...

Bon, ok la méthode Flaubert de brailler son texte aux autres, mais moi j'ai plein de gens qui haïssent ça, dans mes betas-lecteurs. Ca les empêche de se concentrer. Ecouter un récit, c'est insupportable. Soit tu écoutes une oeuvre déclamatoire, soit tu écris un roman. Mais un roman récité, c'est d'un ennui... les lecteurs aiment la minutie et le plaisir de lire à leur rythme, pour moi cette technique n'apporte rien du tout. Et puis, voir en direct ses lecteurs réagir est instructif, mais alors pourquoi ne pas les observer lire plutôt ? C'est tout aussi direct. Vu que le but est de vendre quelque chose qu'on lit, et non qu'on récite, c'est plus intéressant de ne pas passer par l'oral. A part pour une pièce de théâtre, à la limite un recueil poétique. Des nouvelles, allez, de temps en temps. Mais un roman, jamais...
Et le chapitre sur la relation entre l'oral et l'écrit, c'est mon domaine, j'anime à ce sujet et pas sur base de rien.

on peut se reconnaître dans des personnages, et les rendre attachants, sans passer par la carte d'identité façon administration communale ou dossier CIA. Il faut les laisser vivre, et nous entraîner avec eux.

la transmission du savoir... boh... on peut aussi gratifier le diner d'un "oh j'ai lu un super bouquin la semaine dernière, ça raconte..." Justement, la détente, c'est aussi l'évasion, l'irréel, pas le concret bien scolaire.

aller voir sur place... hum... c'est quel bus pour le moyenâge, la ville de Skulrbur ou le vaisseau 307.19 vers Gamma ?

La blague est l'haïku du roman. -> la différence, c'est qu'en général, les blagues, je comprends. Les haïkus, jamais.

Mais à part ça, je trouve ça assez intéressant de dire que ceux qui savent raconter une blague comprennent plus facilement la structure narrative. Bon sinon, évidemment, le ton employé par Weber machin, que je ne connais pas d'ailleurs, hum hum.

Hobbes a écrit:

Sacré Bernard.

Il serait temps qu'il se dégotte un Bescherelle, d'ailleurs.

C'est tout de même un peu intéressant, non ?

Sinon pour être un peu constructif, j'ai pioché ça sur un forum apparemment mort mais qui regroupe des conseils si vous voulez (de Bernard Werber entre autre) : >

Pis sinon, j'ai fini Paradis sur mesure mais je ne développerai pas mon avis.