Hum... Remontage iconoclaste mais comme la question a été posée et risque de l'être encore, autant que tout le monde voie la réponse.

La version de "La Petite femme aux cigarettes" qui paraîtra bientôt aux éditions Chloé des Lys n'est pas du tout celle postée sur le forum.

Je l'ai longuement remanié, étudiant notamment le rythme, c'est-à-dire la longueur de chaque scène par rapport au chapitre et à la globalité de l'histoire. Y a de nouveaux passages, d'autres qui tombent... Ce sera un très travail soigné, avec la participation du photographe et caricaturiste Gilderic que j'ai eu l'occasion de rencontrer.

Arf je suis en retard mais ON S'EN FICHE (CAPS LOCK, s'il vous plaît ^^)...

Bravo, Ex-Nihilo, c'est vachement classe (Non, je ne plagie pas, je pense ) de se faire éditer... Donc bonne chance pour faire connaître ton roman (que je lirai euh... Quand j'aurai fini les Misérables ? enfin bon nan dès que je pourrai x) )

C’est quand même sympa (intéressant) de pouvoir travailler à partir de son travail avec d’autres professionnels dans d’autres domaines.

Félicitations, un premier pas dans la cour...

Espérons donc qu'il y en aura d'autres.

Un deuxième un deuxième (tu vas le vexer)

Bon ben un deuxième alors...

Il a déjà publié "Black-out"à cette même maison d'édition (Chloé des Lys)

Félicitations

Merci pour vos mercis, ça me fait plaisir si si

(Même si j'avais posté pour dire que non, ce n'était pas la version qui se trouve dans les entrailles de JE qui sera publiée) XD

Super Ex ! Mais tu le vaux bien, rien de surprenant.

Wow. Félicitations !

Deux notes de lecture intéressantes sur mon deuxième livre - disponible depuis juillet.

http://paradoxaliz.skyrock.com/3020818243-Florian-HOUDART-la-petite-femme-aux-cigarettes.html

http://arrachecoeur.skyrock.com/3025344042-Critique-de-la-Petite-Femme-aux-cigarettes-par-Suzy.html

Bon, là, je cherche une boîte de prozac...Bon sang, ce roman fait un mal de chien...Déjà qu'en dehors des courses en montagne et bien entendu des gens que j'aime, ce monde me dégoûte jusqu'à la nausée. Mais alors, là, c'est le coup fatal.
Une destruction irréversible, l'abandon de toute humanité, rien à se raccrocher, les gens qui pourraient agir ne vivent que dans l'illusion générée par leurs douleurs, plus rien de vivant, de réel, aucune projection positive, les politiciens ne sont que les marionnettes qu'on connaît, les sauveurs potentiels ne sont que des âmes folles en sursis, les victimes identifiées sont encore plus folles, rien, il n'y a rien pour sauver qui que ce soit. Et certainement pas cette femme qui se consume jusqu'au mégot. La société la jettera et on ne se souviendra même pas de ses cendres. Ou alors juste le temps que la fumée s'évapore. Avant de s'intéresser à une autre victime parce que ça fait grimper l'audimat.
Une écriture ravageuse dans le détail. Une analyse extrêmement lucide de chaque situation. Une psychologie digne des plus sordides compte rendus de Freud. Il y a bien quelques sursauts de poésie dans cet espace destructeur mais ils sont comme des étincelles éphémères. Juste le temps d'une bouffée de cigarette, quand on tire furieusement et qu'on devine les crépitements. Juste une empoisonnement. Comme si les bonheurs fugaces renforçaient encore plus la dégénérescence. Aucun espoir et l'illusion de l'espoir n'est qu'une marche supplémentaire pour l'accès au tremplin. On finira quand même par sauter.

Bon, je vais aller marcher un peu moi...Il y a des étoiles.

eh bien, de bien belles critiques qui me feraient presque regretter d'avoir préféré Black Out (pas dans la style bien sûr, lui je t'ai tout de suite dit qu'il était de loin plus abouti).

Et de dix retours pour ce deuxième roman - (si je compte bien )

Il suscite le débat et des avis différents, j'aime cette variété qui me fait réfléchir sans cesse à ma démarche.

Je vais vraiment devoir faire gaffe avec Correspondances, glauque au possible, même pour moi-même qui considère la Petite femme aux cigarettes comme poétique avant tout... Pas envie de déprimer la terre entière avec un roman dont l'humour et la poésie se réduisent à quelques sarcasmes épars.