Ce que je rencontre beaucoup dans les essais de roman de ce forum, ce sont les redondances.
Les répétitions fonctionnent dans un rythme, à la recherche du meilleur mot, mais on ne se pose pas la question et c'est bon. Si ça passe, on peut répéter mille fois le même mot. Mais souvent, l'auteur amateur manque de vocabulaire, et ce qu'il énonce ressemble à une boucle infernale. Et cela se ressent sur le contenu. Un professeur d'université disait : "la forme, c'est le fond qui transpire". Ainsi, les gens qui n'ont rien à dire tombent dans la redondance lourde.